Chapitre 1

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            Marseille- Quartier Nord. Vendredi 18 Mai .9h01.

*: OH RÉVEIL TOI PUTAIN, TON RÉVEIL IL REVEIL TOUT LE MONDE A PART TOI !

A peine j'ouvre les yeux, que j'aperçois Nabil dans ma chambre l'air énervé.
Purée toujours à crier celui la.
J'enlève la couverture qui recouvrait l'entièreté de ma tête et m'adosse sur ma tête de lit.

Nabil : Enfin réveille la grosse.
Moi: oskot. ( tais-toi).

Nabil sort de ma chambre, je regarde ma montre et regarde l'heure.

9h02

Ce matin je devais me ren-
IL EST QUELLE HEURE PUTAIN !!!????
9H02 !!!!!!????
JE DEVAIS ME PRÉSENTER AU TRAVAILLE À 8h30 !
Purée c'est foutu.

Je me lève et cours me préparer.
Un ensemble en coton, une queue de cheval, du mascara , gloss et je cours rejoindre la voiture.

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18h59.
Institut de beauté.

Moi :*rigole haha je te promet c'était tellement tordu son histoire, j'arrivais à peine à savoir si elle me faisait une blague ou que c'était une excellente menteuse !!

Laura : hahaha je te jure Nesayem, c'est pas croyable!

Je continuer à nettoyer mon plan de travaille et ranger mon matériel.
J'avais fini mon service pour aujourd'hui, j'étais plus que fatigué.
Une fois fini je lance un Salem Aylekoum a toute l'équipe et m'en vais rejoindre ma voiture.( Oui, un Salem ! On est a Marseille ici l'entièreté des travailleuse étais d'origine magrebine ! Haha).

Une fois rentrée chez moi , en enlevant mes chaussure je distingue qu'il y'a une paire de chaussur en trop , une paire de mocassins noir vernis.

A peine rentrée dans le salon, j'aperçois un  homme d'une cinquantaine d'années, assis a côté de mon père.

Moi : Salem Aylekoum.

Les deux hommes se retournèrent immédiatement,
L'homme avais une allure soigné.

L'homme : Salem Aylekoum.
Mon père : Viens dire Salem a monsieur Mounir Nesayem.

Je m'approche en direction du se fameux Mounir , il avais l'air bizzard, à chaque pas que je faisais, il examinais chaque partir de mon corps, bout à bout.

En lui serrant ma main, on se fixa du regard, j'avais l'impression qui voulais transpercer mon âme.
En regagnant ma chambre, j'avais un mauvais pressentiment.
Mon père est un homme très solitaire, il n'a pas d'amis, il me répétais toujours « Un ami, c'est un ennemi mais pas au bon moment ».

Donc voir ce fameux « Mounir» m'a réellement surpris.


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Nidal : Tu pense ?
Moi : Vasy ! II va rien faire ! Et si il te touche je lui la.

Il se rapproche de plus en plus avec son seau remplis d'eau, près à asperger Nabil qui étais concentré sur sa play.

El la BOUMMMM.
Nidal glisse à cause du tapis laissant le seau d'eau remplir la pièce.
J'étais littéralement morte de rire, accroupis par terre, j'arrivais à peine respirée.

«Est-si j'aurai dit non ? » Le Mariage Forcé de Nesayem.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant