Chapitre 32

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Ikram : Ce que je veux c'est que tu te marie avec moi.

Je le regarde.
Il étais sérieux en plus.
Donc se psychopathe m'enferme ici et il veux que je le marie ?
Mais.
Attendez.
Je suis en pleine allusinations.

Moi : Je suis déjà marier, je veux pas de ta proposition.
Ikram : Je t'ai pas demander ton accord.

Il veux me l'a faire à la Wijdan celui la, encore purée !
Il étais sérieux dans son regard, c'est pas possible.
Je ne croyais toujours pas ces paroles.
Mais je savais pourquoi, cette fois ci.
Pour l'empire de mon père, il veux l'hériter.

Moi : Wijdan va te trancher la tête s'il ose juste savoir que tu as déjà penser ça ?

Il sourit et s'approche de moi.

Ikram : Tu penses réellement que je vais gober ça ? Tu crois que je ne suis pas au courant de tout ? Wijdan ne t'aime pas, au contraire je pense que ça lui plairai même de te voir souffrir.

Je garde la tête stoïque, mais au fond il avais raison.
Mon père a tuer le sien, comment il peux m'aimer ?

Moi : Maintenant qu'on a fini ce cirque détache moi.
Ikram : Tu crois partir aussi facilement beauté ? Tu ne verra pas une lumière du jour avant que tu ne sera ma femme.

Il étais sérieux en plus, j'allais parler mais un homme entre dans la pièce, dit un truc en espagnol et sort de la pièce.

Ikram : Je reviens trésor, sois sage. Faudrait pas qu'on emploie la manière forte.

Il sort de la pièce et ferma la porte.
J'étais seule, face à cette pièce immense.
À repenser encore comment je me suis mise dans cette merde.
Et en rajoutant que maintenant Ikram veux aussi l'empire de mon père.
Au fond de moi cette fichu empire n'étais comme une condamnation pour moi.
Est-il obligé de me marier pour accéder à ce cartel ?
Je ne pouvais pas salir mon nom de famille:

Tandis que je me dandine pour le détacher, je suis quelque chose tomber, l'arme.
J'avais oublier mais j'avais un putain d'arme derrière mon dos.
J'essaye de prendre l'arme mais sans réussite.

Il fallait absolument que je libère mes bras pour pouvoirs accéder à cette arme.
J'étais attacher grâce à des chaîne extrêment fines , si j'arrive à les entre-mêlée je peux les casser.
Je tournes mes mains, la rotation que je faisait grâce à mes bras me fait extrêmement mal.
Et-

CLAC.
J'ai réussi.
J'AI RÉUSSI À ME LIBÉRER.

Les chaînes se cassent enfin.
Je prend possession de mes mains et les regarde, j'avais des énormes tache sur les mains.
Mais le principal c'est que j'ai les mains libre.
Je prend mon arme qui étais derrière moi, enlève le cran de sûreté et me détache les pieds.

J'avais réussi.
Au final je serai peux être pas une criminelle née ?

Je m'examine, j'avais dans ma poche mon téléphone.
Parfait.
Dans mon autre poche j'avais mon passeport.
Putain mais tout est parfait.
J'avais dans la main gauche mon arme.
Je regarde la chambre et voit qu'il y'a une fenêtre.
Je m'approche d'elle et voir qu'elle est au deuxième étage.

Si je tombe je risque de me faire assez mal..
Mais qui ne tente rien n'a rien, et c'est sur de l'herbe donc en soi, sa se serai pas si compliqué que sa en a l'air.

«Est-si j'aurai dit non ? » Le Mariage Forcé de Nesayem.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant