«Est-si j'aurai dit non ? » Le Mariage Forcé de Nesayem.

Chapitre 29

Mon père : Partez d'ici, tu sait où son cacher les faux passeport et l'argent, ils vont me tuer mais ce qu'ils veulent réellement, C'est Nesayem.

Qui va tuer mon père ?
Je rêve.
Je vais me réveiller de ce cauchemar putain.

Moi : Quoi ? Mais qui va te tuer !
Mon père : Wijdan, tu sais ce qu'il te reste à faire.

Wijdan, s'en perdre une seconde, s'en va à la chambre.

Moi : C'est quoi se bordel papa ? De quoi tu parles ? Hyn ? Qui va te tuer !
Mon père : Nesayem, y'a beaucoup de chose que tu ne sais pas, beaucoup trop de chose.
Moi : Explique le moi alors, Baba, explique moi ce qu'il va se passer.

Il chercher un papier dans sa poche droite.
Il le sort.
C'était une photo.
Il me le tend, je l'attrape et vois un homme d'une cinquantaine d'année.

Moi : C'est qui ?
Mon père : Celui là, C'est Youssef, mon grand frère.
Moi : Quo-
Wijdan : Allez sortez maintenant.

Je le voie sortir avec toute ma valise de faite.
Après avoir checker que tous est en place.
On suis Wijdan.
Prend un taxi et il nous ramène à l'aéroport.
Mon père se tordait de douleurs.

Moi : Wijdan, s'il t'en plait mon père est en train de se tuer a petit feu si on continue comme ça !
Wijdan : On peu pas rester ici, c'est trop dangereux.
Moi : C'est l'hémorragie qui est dangereuse pour l'instant.

Wijdan réfléchi, et on décide de l'amener à l'hôpital.

___

J'étais en train d'attendre.
Wijdan tremblait tellement des jambes que je sentais le sol tremblait aussi.

Je pose ma main sur sa jambe.

Moi : Pourquoi tu trembles autant ?
Wijdan : Si il nous trouve Nesayem.
Moi : Si il nous trouve quoi ? Hyn ? Et en plus c'est qui ces gens-

DRING
DRING
DRING

Mon téléphone sonne à nouveau.
Mais cette fois ci, c'était un numéro du Maroc.

Wijdan : C'est qui ?

Je lui montre mon téléphone toute effrayée.

Moi : cette fois ci c'est un numéro du Maroc..

Il arrache mon téléphone, et l'éteint.

Wijdan : Prépare toi, on y vas.
Moi : Et mon père !
Wijdan : Un de mes hommes viendra le récupérez.
Moi : Mais-

Il prend mon bras et on sors en urgence de l'hôpital.
Il était en PA-NI-QUE, à peine sortie qu'il passe des coups de fils à droite et à gauche.
J'étais assise cote passager, à attendre que l'autre se calme.

Wijdan : Allo ? -Oui ? -Parfait je suis devant de toute façon.

On arrive à l'aéroport, Wijdan s'empresse de sortir de la voiture je fais de même, il prend le bagage qui étais derrière et on y vas directement à l'aéroport.