- je t'aime me dit il.
- euh... Comment te dire... Tu préfère la vérité et se que ça va engendré ou un mensonge sans souffrance pour toi ensuite ?
Il en resta bouche bée.
- et bien... La vérité, toujours la vérité !
- non pas toujours justement, mais bon c'est toi qui choisit, répondit-elle.
- je t'aime aussi, il est vrai. Mais je ne peux pas t'aimer. Je ne le peux pas car... Je vais t'apporter trop de souffrance, trop de problème, trop de chose compliqué et... Ou ! Bizarre. Je ne suis pas fait pour être aimé. Je ne peux me laisser aimé, se serai égoïste : car m'aimer est une souffrance. Je te protège, je t'aime alors je te protège. Je ne peux t'accepter dans ma vie, je ne le peux pas. Donc c'est parce que je t'aime que tu ne me reverra plus jamais...
Elle partit. Le laissant là comme ça avec ni plus ni moins d'information. Ils étaient tout deux des adultes, et lui toujours seul et elle le sera à jamais.
Elle fuyait tout le monde, elle fuyait l'amour, l'amitié et aussi elle fuyait toutes personnes pouvant l'aider. Elle fuyait.
- espèce de fuyarde !!!! Lui cria-t-il.
- Oui !! Tu as raison, je le suis effectivement !!! Beugla-t-elle pour toute réponse.
**ellipse de plusieurs d'années**
PDV lui :
- mais pourquoi insistes-tu !! Clama-t-elle en pleurant, Pourquoi !!?
- Parce que je t'aime.
- mais arrêtes !! Par pitié !
- mais pourquoi repousses tu tout le monde ? Pourquoi repousses tu tout prétendant, alors que tu les aime ! Je sais que tu m'aimes, je l'ai vu. Tu sais que par le regard je te parle, par le regard, je sais qui tu es. Et je vois, oui je vois des choses, je vois : la mort, une coquille, une distance je ne sais pas avec qui mais je la vois, je la vois. Je vois beaucoup d'autre chose que je n'arrive pas a comprendre... Éclaire moi ! S'il te plait, éclaire moi. Que je comprenne. S'il te plait.
- je ne peux pas. Car si je fais ça, je vais redevenir une ermite, redevenir agressive et méchante, ainsi que sur les gardes et ne pas pouvoir m'empêcher de frapper toutes personnes ne me respectant pas... Pourquoi ? Parce que les gens m'exaspère. C'est bizarre, hein ? Mais je suis comme ça, c'est ma vie.
- dis moi tout. Dis moi, je peux encaisser, et je pense que tu garde tout pour toi, et que la distance que j'ai vu, et entre toi et les choses qui te font mal, qui te détruise, tu les gardent à distance pour ne rien ressentir, pour pouvoir blaguer même dessus, mais ce n'est pas la bonne méthode, car tu ne fait qu'exister du coup.
- j'avais trouvé l'amour, dit elle entre deux profonde inspiration pour pas pleurer, on était heureux, j'avais découvert ne pas pouvoir porter d'enfant, c'était dur pour elle de ne pas pleurer, mais on voulait un enfant. Alors on a fait appelle à une mère porteuse, mais alors que j'attendais au urgence que l'homme de ma vie arrive avec elle. Ils ont eu un accident. Et ils sont arrivés effectivement aux urgences, mais lui morts. Elle pleurait à présent, et elle, en mort cérébrale... Donc j'avais perdu l'homme de ma vie et mon ...... Bébé .... En une après midi...
Elle se tordait, la douleur quel éprouvait la faisait se tordre. Son visage se crispait. On voyais, oui on voyais qu'elle ne s'était jamais accordé de les pleurer, lui et son bébé. Mais ça n'allait pas me faire fuir, je l'aime, avec son passé.
- et ...
Oh non c'est pas encore finit !! Pensais-je.
- et depuis j'ai repoussé tout le monde. Mais toi, oui toi ! Tu lui ressembles en certains point, mais tu es aussi totalement différent, et oui je t'aime, je t'aime a en crever, et même si je veux te repousser je n'en ai plus la force...
Puis elle se laissa tomber par terre. Tout bonnement, elle se laissa tomber, se tordant de douleur. Mais elle n'était plus seul maintenant. Elle m'avait accepter et non repousser comme tous les précédents si j'avais bien compris, donc j'étais là pour elle maintenant.
Je me mis à genoux et la serra fort contre moi, tout en étant doux et protecteur, je la serrai et elle essayait aussi malgré qu'elle n'en avait plus la force.
Je la tiendrais de cette façon toute la vie si il le faut, mais je serai là, oui maintenant je serai là pour elle.
Je vais probablement souffrir, non enfaite, je vais souffrir, car en effet l'aimer est belles est bien une souffrance, mais j'ai fait un choix, et je le referai chaque jour, donc c'est pour que je te pose cette question : veux tu m'épouser ?
Et c'est là, par terre l'un contre l'autre, alors que je lui tourne autour depuis 2 ans, que je lui dit tout bas que je l'aime, qu'elle me répond positivement mais me dit que si je lui dit, je ne la reverra plus, que je l'ai demandé en mariage.
Suite à cela, alors que mon regard se plongeait dans le sien et qu'elle en faisait autant, elle pencha la tête. Et comme si nos esprits étaient synchronisés, nous nous embrassâmes avec passion. Ce fut intense, Beau et remplie de passion et certes un peu mouillé, elle était fuyarde, elle est devenue ... Ma femme.
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Moi et mon cerveau...
PoetryMoi et mon cerveau avons créé cela pour vous, j'espère que ça vous plaira. Voilà les choses que certains ont peut être ressenti je l'ai aussi ressenti mais j'ai tenu bon... Mais je vais aussi écrire des choses sur la vie en général. Soyez indulgent...