Elara

Chapitre 13

Je reviens calmement sur le navire de notre école, je vais rapidement à ma cabine, range mon balai, je remarque l'heure qui se fait un peu tardive, je m'en vais de ce pas vers la grande salle. Je rejoins mon ami, et à peine assise.

— tout le monde parle que tu as reçu un colis étrange !

— Eh bien, les nouvelles vont vite, je n'ai pas reçu de colis étrange, mais un cadeau venant d'une personne qui met chère...

— Ahh... T'as reçu quoi du coup ?

— C'est une robe pour le bal de fin d'année.

— Elle est belle ?

— Elle m'ira parfaitement !

— Mais on va comme même au près au lard demain ?

— Oui, on ira pour-

— pour aller boire une bière au beurre

— je soupire ... Si tu veux, mais faut aussi que je trouve des chaussures et des accessoires...

— Oui oui...

— T'as demandé à Granger ?

— Je ne trouve pas le bon moment ...

— Tu veux que j'aille provoquer le "bon moment" ?

— Surtout pas, ! Je le trouverai tout seul ! Et toi ? Avec Géorgie !

— tais à toi Viktor ! Et puis pourquoi lui ?

— Peut-être parce que c'est un "ami" et que dès que tu es là, ses yeux ne regardent que toi !

— Il est en train de me regarder là maintenant ?

— regarder un est mot un peu trop doux, je trouve, je dirai plus mater ! Ce mot-là est bien mieux approprié !

— ferme la Viktor, et toi ! Avec la Gryffondor !

— Et bien, je n'ai rien à te dire, le destin fait son chemin.

— C'est ça ouais, t'as juste avant de lui embrasser quoi ?!

— Mais non-putain !

— Oh si, je suis sur là si elle se lève de sa place, tes yeux ne quitteront pas ses fesses !

— Bah voyons et si c'est toi, Géorgie aussi, ton postérieur sera bien encré dans sa mémoire !

— C'est ça !

Il se fait tard, nous allons nous couchez pour la plus part...Je sors discrètement de ma cabine, je marcher quelques minutes dans l'herbe fraiche, je me pose à même le sol, je lève la tête vers le ciel noir, les étoiles sont visibles cette nuit.

j'observe les étoiles, les différentes constellations, le croissant de lune, le silence reposant est présent autour de moi, je sifflote un petit air...

Je me couche sur l'étendue d'herbe, j'analyse les étoiles, je redessine avec mon doigt les constellations, j'essaye de trouver les galaxies depuis la terre sans microscope ou outils de mesure, ce qui est insensé.

Un sourire est né sur mon visage depuis que j'observe le ciel nuit noir, je chuchote toute seule, imaginant quelqu'un à côté de moi...

— Et là, c'est la constellation du Grand Chien... Une étoile porte ton nom... Sirius... Tu te souviens de moi papa ?

Je me réveille de mon petit lit, hier soir, j'ai regagné ma cabine après des heures d'analysation sur l'herbe devenu presque blanche au fil des jours, je me lève, lasse, fais ma toilette, porte un gros pull ainsi qu'un pantalon, je prends un petit gâteau volé hier soir en cuisine, j'ai peut-être y laisser quelques plumes.