Chapitre 12: "Him"

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Lorsque j'ouvre son message, je sent instantanément mon corps s'emballer. Cela faisait des années depuis notre dernière conversation, depuis qu'ils s'étaient perdus de vue après plusieurs échanges plutôt torrides, mais qui n'avaient jamais abouti. Il semblait avoir changé, plus mûr, mais toujours aussi sûr de lui. Nos échanges repris comme si nous étions encore au lycée.
Un jour, alors qu'on parlait de tout et de rien, il me fit comprendre de façon douce, mais très claire que je lui faisais encore de l'effet, ce qui était bien évidemment réciproque.
Mais c'est après que ça devint intéressant...

Un soir alors que je travaille à la maison, je reçois une notification, je fis une pose sur mon pc et regarda je savais déjà de quoi il s'agissait avant même de l'avoir ouverte. Même si cela ne m'a pas empêché de l'ouvrir bien évidemment.

En l'ouvrant, je comprends rapidement qu'il était dehors en train de rentrer, car je pouvais voir le ciel et quelques bâtiments cachés par le peu que je pouvais entrevoir de son visage accompagné d'un petit texte :
"-J'ai pensé à toi toute la journée."

A peine commençait-il comme ça que mon cœur s'emballa et je sentis se créer en mon bas ventre une douce pression.
"- Ah oui, il est vrai, ce mensonge " lui répondis-je sur une photo relativement vague du côté droit de mon visage.

La réponse ne se fit pas prier: son torse nu laissant percevoir un début de son tatouage, sa lèvre inférieure emprisonnée entre ses dents, ne demandant qu'à être goûté. Cachant tout ce qui se dissimulait en dessous de ses clavicules
"-Je ne mens jamais, sache j'en eu envie de ton corps toute la journée et toute la nuit "

Je me déplaçai dans ma chambre pour pouvoir être tranquille et m'allongea dans mon lit. Une fois installé je releva doucement mon tee-shirt de telle sorte à ne pouvoir laisser entrevoir la forme de mes seins, le pris la photo et lui envoyait :
''-J'aimerais bien voir ça "

Une photo s'afficha sur mon écran ou je pouvais voir son sexe raide à travers son caleçon, dépassant juste assez pour me donner envie de le goûter. Il était torse nu, une main posée derrière sa tête, l'autre tenant le téléphone. Je pouvais voir son corps sauvagement attirant. Il est musclé, mais pas trop, décoré de quelques tatouages Son cou était juste visible sur la photo, Mais je l'imaginais déjà entre mes lèvres. Ses cheveux blonds qui iraient parfaitement bien entrelacés dans mes doigts pendant qu'il serait en train de faire jouer sa langue sur mon clitoris, son torse qui se trouverait au dessus de moi, me prenant profondément. Toutes ces pensées, plus que salaces, eurent comme conséquence de me faire mouiller encore plus.

Cela faisait bien longtemps que j'avais envie de le goûter. Je commençais donc à vraiment a avoir envie de son corps

Chacune de ces photos était pour moi un supplice, mon corps agonisant devant ses mains si loin de lui, alors qu'à la place elles pourraient se balader sur mes seins, passant par mes fesses, finissant leur chemin dans mon cou pendant qu'il serait en train de me prendre durement sur la table de sa cuisine ou les miroirs accrochés au mur pourraient refléter l'image de cet ébat tant attendu. Je n'ai pas besoin d'autres encouragements. J'en avais vraiment envie alors - malgré les dangers du sexting - j'en profitai. D'une main, je tiens mon sein nu de manière que mon téton déjà dur passe entre mes doigts. On ne voyait rien de plus. J'envoie la photo sans texte.

Immédiatement après, je prends une autre photo : cette fois sans ma main avec mon bras sous mes seins de façon à ce qu'ils soient pressés vers le haut.
"J'aimerais pouvoir te sentir maintenant, tes mains, ton corps, en goûter chaque parcelle, jusqu'à descendre entre tes jambes pour finir par te prendre en bouche "
Ce petit jeu entre nous deux m'excitait et mon corps me faisait bien comprendre qu'il avait envie de bien plus. Ma main se glissa en dessous de mon short, j'écartais les jambes, et je vérifiais d'abord à quel point je mouillais. Mes doigts tremper, remontaient doucement sur mon clitoris, cette danse créait en moi alors doucement des picotements. Ma respiration s'accéléra, et je finis par agrandir l'écart entre mes jambes pour profiter un peu plus du plaisir.
Je reçois une photo de lui allongé sur son lit, bande, ne demandant qu'à être soulagé accompagné de :
"- Cela fait des années que j'ai envie de te sentir sur mon corps, il m'est difficile de voir cela sans pouvoir le sentir sur mon torse te servant de moi comme objet de plaisir "
Ce genre de phrases avait le don de me faire tourner la tête, mais pas que. Un gémissement incontrôlé sortis d'entre mes lèvres pendant que je m'amusais encore à me toucher devant ces photos. J'enlève mon short et avec mon pouce, je tire légèrement sur le bord de mon tanga. Je prends la photo et lui ajoute que l'on pourrait se servir mutuellement l'un de l'autre.

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