Chapitre 6: "ABUSÉ PAR UN VIEUX PERVERS" (gay)

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Histoire vrai!
Merci à cet abonné de m'avoir permis de mettre des mots sur cette expérience c'était un vrai plaisir

Dès mon plus jeune âge, j'ai le souvenir d'avoir eu une certaine curiosité, pour ne pas dire une fascination, pour le membre viril. Pas étonnant qu'avec l'arrivée de l'adolescence et le bouillonnement d'hormones qui l'accompagne, j'avais littéralement le feu au cul. J'avais la chance d'avoir un meilleur ami qui éprouvait les mêmes chaleurs nubiles. Très jeunes, nous en avons donc profité pour devenir de vrais petits pédés en herbe.

À dix-huit ans, j'étais donc relativement expérimenté et avais eu également deux ou trois plans avec des hommes plus matures (trente-quarante ans) rencontrés sur le NET et franchement, j'avais trop kiffé ! Je pense qu'ils avaient également su tirer parti de mon petit cul affamé de minet demandeur de bites. Du coup, je dois dire que j'étais un peu blasé par mon pote qui évidemment ne luttait pas dans la même catégorie...

C'est à cette époque que mon attirance pour les daddies a débuté. Cependant, les mecs trop âgés ne m'attiraient pas du tout ! Je vous rappelle que j'avais dix-huit ans ! Les daddies, OK ! Les grandpas, faut pas déconner !

Je chassais donc le daddy sur internet et n'avais jamais été déçu de mes rencontres, lesquelles ne faisaient qu'attiser ma flamme pour les hommes matures. Du coup, estimant que j'avais une certaine maîtrise dans cet exercice, je devenais moins exigeant sur les garanties fournies par mes interlocuteurs derrière l'écran (notamment l'envoi de photos au préalable).

En effet, il arriva un jour où, dévoré par l'envie de me faire prendre par une bonne queue paternelle, j'acceptais de rencontrer un homme qui ne m'avait envoyé qu'une photo de sa bite. Et quelle bite ! Un bon gros gourdin qui semblait se dresser bien dur ! J'en salivais tellement que j'ai dérogé à la règle de la photo. En plus, il m'avait assuré avoir quarante ans et être plutôt bel homme. Il justifiait de ne pas montrer son visage, par discrétion, le type étant marié et père de famille. Me faire tringler par un véritable papa m'a totalement convaincu. Par luxure assumée, j'ai l'ai cru. Bien mal m'en a pris...

Comme je le faisais souvent avec mes rencontres précédentes, j'avais proposé à « Grosse Bite » de me récupérer en voiture à deux rues de chez moi afin de nous rendre dans la proche campagne, où il y avait un petit bois discret et isolé. L'endroit parfait pour s'adonner à une bonne partie de baise en toute quiétude.

Arrivé au rendez-vous, « Grosse Bite » était déjà là, assis dans sa voiture ; une vieille Mercedes vert bouteille, dont je me souviendrai toute ma vie. Il portait une casquette et des lunettes de soleil. Et c'est donc tout naturellement que, porté par ma folle envie de me faire tringler par un bon manche de père de famille infidèle, je me suis assis sur le siège passager sans réfléchir, les hormones en ébullition, la queue déjà dure et le trou frétillant d'excitation.

Et là, en une fraction de seconde, à peine avais-je fermé la porte, que j'entendis le claquement des verrous qu'on enclenche. J'ai tout de suite compris que « Grosse Bite » m'avait baisé. Et bien profond !

En enlevant ses lunettes, ce qui me permit de prendre pleinement conscience que j'étais à côté d'un pervers à la soixantaine bien tassée, il me dit d'une voix vicieuse, qui me glaça sur mon siège :

- Alors, c'est dans quelle direction ?

La scène est tellement soudaine et son regard si lubrique que je bafouille et lui réponds sans réfléchir :

- Prenez par là.

Tellement pris au dépourvu de me retrouver dans cette situation, avec un homme de plus de soixante ans, je l'ai vouvoyé spontanément. À dix-huit ans j'étais peut-être déjà une vraie salope qui prenait régulièrement des queues, mais une salope polie ! Cet emploi du vouvoiement lui fit émettre un dégoûtant rictus d'excitation que j'entends encore résonner dans mes souvenirs aujourd'hui.

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