Chapitre 4: "rêve jouissant"

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J'ai enfin décidé de venir, de te rencontrer je sais que je ne vais pas assumer de te voir en vrai mais il fallait que je me lance.

Alors j'ai pris le train en direction de chez toi après 5h de route je me suis retrouvé dans ton petit village perdu. À la sortie du train j'ai sorti alors mon téléphone pour regarder où tu habitais je ne pouvais pas me permettre de te dire que j'étais là car c'était une surprise. J'ai traversé toutes les rues pour enfin arriver devant une maison qui je suppose était la tienne je me suis lancée et j'ai toqué. Tu étais là devant moi surpris, et sans aucune hésitation tu m'as fait rentrer, je l'ai senti j'étais devenu rouge cramoisi en même temps comment ne pouvait-on pas le devenir face à TOI. Depuis le premier jour où on s'est parlé je t'ai direct apprécié puis on a commencé à se parler tous les jours et j'ai apprécié ta compagnie même si tu habitais très loin de chez moi.

J'ai déposé sur une chaise les mangas que je t'avais proposé les dessins que je t'avais faits et ton cadeau de Noël. Soudain tu m'as alors pris dans tes bras, surprise je n'ai pas bougé après un petit temps d'adaptation j'ai répondu à ton étreinte elle était douce chaleureuse; Nous nous sommes éloignés l'un de l'autre et je me suis perdu dans ton regard. Ce regard brun intense était probablement banal pour les autres filles mais il ne l'était pas pour moi. Il a fallu peu de temps pour que je m'éloigne très loin de la réalité puis par un élan de courage je t'ai embrassé, à mon grand bonheur tu as répondu à cette marque d'affection, j'avais rêvé si longtemps de ce moment. Tu m'as alors soulevé posé sur la table et nous avons continué de nous embrasser ta main au départ poser dans mon dos, descendis contre ma cuisse pour la caressé doucement mais passionnément, tu as enlevé ton t-shirt révélant ton torse magnifique puis le mien. En quelque seconde nous nous sommes retrouvés en sous-vêtements j'ai senti ton regard s'attarder sur mon corps que tu avais l'air de d'apprécier. Nous avons alors repris nos baisers passionnés mais cette fois-ci ta main étais sous mon dernier bout de tissu.

Sous l'effet de l'excitation je n'ai pu m'empêcher de lâcher quelques gémissements, tu as donc décidé d'intensifier les mouvements de tes doigts, ce qui eut pour effet d'amplifier mon plaisir. J'ai alors décidé d'avoir le dessus, je suis descendu de la table et je l'ai pris en main. Surpris tu me lanças un regard approbateur, ma main commença ses doux vont et vient mais pour que tu ressentes même plaisir que j'ai ressenti je le pris alors en bouche donnèrent des petits coups de langue, l'insérant en entier dans ma bouche. De là où j'étais je pouvais entendre les grognements roques et sensuelles que tu ne pouvais plus retenir, cela faisait bien trop longtemps que j'attendais ce moment je ne pouvais plus attendre, je voulais te sentir en moi alors je me rassis sur la table et te guida. Mon être totalement mouillé avait déjà préparé le terrain tu ne ressentis aucune difficulté à t'insinuer en moi ce qui me procura un plaisir intense, comme si je venais d'être libéré, je poussa un profond soupir.

tu ne restas ainsi quelques instants le temps que je m'adapte, tu te délectais de ce moment puis entrepris ce long chemin. Nos gémissements mutuel ne faisait qu'augmenter notre excitation, tu pris alors la décision d'approfondir les coups de reins ce qui fit monter le plaisir bien plus rapidement, je cherchais un endroit auquel je pouvais m'accrocher mais malheureusement sur une table il y en a aucun. Alors j'ai mis ma main devant ma bouche et cria ton nom.

Je sentis le résultat de notre ébat couler en moi, à la fin de ce merveilleux moment malgré ton essoufflement tu décidas de m'enlacer et m'embrasser.

C'est à ce moment-là que je fus persuadé de mon intuition je ne pouvais plus me passer de toi.

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