Chapitre nº25

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Chapitre n°25

Je suis dans le noir. Je ne peux pas bouger. J'entends tout. Je ne peux pas parler. J'essaye de bouger, de faire ce que ces voix qui me paraissent étrangement familière, mais je n'y arrive pas, je fais tout mais je n'y arrive pas.

«Est-ce qu'elle va s'en sortir ? » demanda une certaine madame Carter.
«Elle doit s'en sortir !» marmonna une voix près de moi qui fit frissonner la parti gauche de mon corps. Il dit ça spontanément.

Mais je ne comprend pas, de qui parlent-ils ? Pourquoi cette fille devraient-elles s'en sortir? Dans quelle situation ce trouve-t-elle ?

Mais la question qui me reste introuvable, celle qui me stresse, m'énerve, me rend colérique, serait celle-ci : "Que se passe-t-il ?".

Puis tout d'un coup, je me sentis tomber, comme si quelqu'un m'avait poussé d'un pont et que j'essayerai de m'accrocher à la chose qui me venait sous la main, je réussi à bouger un membre de mon corps. J'entends un énorme cris qui disait qu'elle était réveiller, qui ? Puis je réussi à ouvrier les yeux au bout de quelques minutes. La lumière blanche me fit si mal que je ne pu restait la moutier d'une seconde les yeux ouvert. Je sentis un main caresser tendrement mes cheveux. Et quelque chose de mouille dégringoler sur mon visage, puis je vis une tête plus que familière au dessus de mon visage. Mon blondinet, qui pleurait, au dessus de moi. Ce qui me dit sourire. Mais, celui-ci disparu quand je vis ma mère dans les mêmes conditions. Que se passe-t-il ?

Puis plusieurs hommes à blouses blanches suivit de quelques femme à blouse bleu et blanche les suivirent, ils se postèrent devant moi. Les femmes, anis que trois hommes furent quelques examens alors que je compris que j'étais à l'hôpital. Le dernier homme, le quatrième, me posa des questions, basiques. Mon prénom, âge, poids, tailles, pour savoir si je n'avais pas perdu la mémoire mais aussi d'autre questions sur ma santé , si je me trouvais bien. Mais quand je décidais de me relever je sentis une atroce douleur dans le ventre qui m'empêche de faire d'autre gestes. Puis je sentis ma tension baisser. Et le pires arriva. Je cracha du sang, pas un petit peu comme lors qu'on reçois un coup de poing, non, là, je vomis du sang.

Puis je me sentis partir, et c'est à ce moment précis que mes souvenirs refond surface ...

Je revis ce moment, quand j'étais petite. Je jouer au bord de l'eau, nous habitions dans une grandes villes avant, et nous avions une très belle maison, pas une maison de riche, mais elle était parfaite pour moi. Et ma mère avait décidé de faire une piscine. Alors je joue au bord chaque soir, sauf qu'un jour, ma sœur est arrivé derrière moi avec la sœur de Sam. Sam et moi avons toujours vécu ensemble, fin pas dans la même maison mais nos parents faisaient les mêmes boulot. Mais au moment de sauter, elles se stoppèrent et me poussèrent dans l'eau, mais je ne savais pas nageais alors en tombant de je me suis accroché au bord de la piscine et je me suis faite ma première cicatrice. Une entaille sur ma cuisse. Suite à ça m'a mere à déménagé la où nous sommes actuellement. Voilà dix ans que nous sommes ici..

Je repris peu à peu mes force et cette fois ci, les médecins me demandent de ne pas bouger, car c'est - à parement - la douleur de ma blessure qui à causer ça. Mais comment me suis-je faite ça ? Je le demande alors aux gens qui m'entouraient, autrement dis : Ma mere, Sam et le blondinet, ainsi que trois médecins.

Et alors, c'est blondinet qui m'explique la situation. Il m'informe que, une certaine Karen m'aurait agresser - plusieurs fois - mais celle-là fut la pire, elle m'aurait alors agresse verbalement puis ensuite, elle m'aurait plante un couteau dans le ventre, et par la suite j'ai perdu connaissance pendant une semaine et trois jours.

Je me suis réveiller il n'y a que vingt huit heures et je ne me sens pas très bien.

L'un des médecins l'avertis que je pourrais sortis dans deux semaines, à conditions que je ne mente pas sur mon état. Oui, parce que je me suis tout juste légèrement énervé sur le personnelle de l'hôpital ainsi que ma famille - ma mere ... - pour dire que je détestait fortement les hôpitaux. Je déteste l'odeur, je déteste cette endroit blanc, sans vie, je déteste cette endroit pleins de personne qui se prennent pour des dieux, ou qui font semblant de connaître tout. Je déteste ça, simplement.

Il se faisait tard, tout le monde devait sortir, mais les médecins autorisent une personne à rester le soir. Hier soir c'était ma mere, se soir c'est Sam, mais je ne le comprend plus...

Alors que tout le monde, ainsi que les médecins, sortent de la salle. Sam s'approche de moi. Il m'embrasse longuement le front puis la joue, et enfin la bouche.

Il se positionne à côté de moi, en se mettant assis sur le lit et ouvre le bouche en prenant une grande inspiration, puis commence à parler.

« Je m'excuse, pour.. Pour tout ce que j'ai fait de mal avant! J'étais censé te protéger et j'ai fait l'inverse, un jour ou tu n'étais pas la, je me suis fait de nouveau amis, et après je leurs parler, je l'ai trouver tellement cool que je restait avec eux au lieu d'être avec la personne que j'aime le plus! J'ai merde.. Je t'ai laisser seule et c'est cet abruti de blond qui t'a sauvé. J'aurais du être la mais je n'y était pas! Je m'excuse, sincèrement! Je t'aime comme un fou..» explique Sam

« je sais pas quoi dire.. Mais ne te réprime pas car tu n'étais pas là pour me sauver, c'est faux! Juste tu ne pouvais pas savoir! Je t'aime aussi ! » avouais-je

Il restât quelques minutes sans rien dire, à me caresser l'avant bras, ce qui me détendis! Puis on finit par marcher quelques phrases, il me parlait de ce qu'il c'était passer pendant que j'étais profondément endormis. Il m'expliquait la situation de Karen. Elle est en prison, fin du moins en garde à vue. Et je vais devoir aller en prison pour porter plainte contre elle. Mais il m'a aussi avoué que ni mon père ni ma sœur sont venu me voir. Mais ma mère m'avait dis que mon père était soi-disant passé, Sam ne l'aurait pas vu ? Puis on finit par s'arrêter de parler.

Puis je finis par m'endormir...

CicatriceOù les histoires vivent. Découvrez maintenant