Chapitre nº16

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Je rentrée chez moi après un matinée de cours. Ça fais deux semaine que je subit, insultes, moquerie, rabaissements, et coups. Je n'en peux plus. Sam est malade depuis le début de la semaine, et mes autres amis ne me parle pas, Sam est le seul moyen que je leurs parlent. C'est quelque chose d'insupportable de savoir qu'à partir du moment où on à un problème physique, personne veux nous parler, et qu'on reçoit des moqueries. J'en ai marre de voir cette mauvaise mentalités venant des gens, j'aimerais changer ça, mais c'est impossible..

Je filais, comme à mon habitude, directement dans ma chambre. J'y restait toute l'après-midi, n'ayant pas cours le vendredi après-midi, je ne faisait rien, puis je me retourne et regarde ma tête de lis. Ou se cache mon journal. Puis j'ouvrais mon journal, et je relis cette page que j'avais écrite, cette page qui signifie plus que beaucoup pour moi, qui je pense est la seule page, la s'il chose qui m'aide a tenir debout. Oui, vous vous dites que ce n'est qu'une simple page, mais non. Certains leurs pilier sont leurs parents, meilleurs-amis, ou animaux, même un objet précieux et bien moi c'est une page, la vint-huitième page de mon journal intime.

- Jeudi 26 novembre.

Cher journal, je suis désolé de mon absence, je n'écris plus, à cause de ce que je subis.

À partir de maintenant je vais faire ... -

Puis quelqu'un entra brusquement dans ma chambre se qui fais que je ne pu continuais de lire, je relève la tête en cachant le livre et je regarde mon père. En colère.

Papa:_ Ambre! S'écrit-il
Moi:_ O..oui , répondis-je apeuré
Papa:_ Je suis, mais alors pas du tout satisfaite de toi, tu es ma fille, mais je me demande si je t'ai bien éduquais.

A se moment la, j'eu mal, si mal.. Les mots les plus blessant sont ceux de mon père et de la soeur, ils savent comment m'atteindre. Comment m'attriste, me torture.. Puis il reprend..

Papa:_ j'ai apris que tu a séché l'autre jour ? S'enerve-t-il
Moi:_ Quoi ? Mais non! Je sèche pas!
Papa:_ Ah oui ? Pourquoi ta soeur ma dis que tu a sécher?
Moi:_ j'étais malade.. Elle ne cherche qu'à me pourrir celle la! À peine eu-je finit, qu'une lourde chaleur s'abat sur ma joue, ce qui me fit tomber à terre, je criais de douleur, il est devenu si agressive avec moi, au point de me frapper.
Papa:_ si, un jour, je t'entends mal parler de ta soeur, sache que tu n'en ressortira pas qu'avec une minuscule rougeur petite ingrate! Lance-t-il

Puis.. Je me mis à pleurer.. Je pleure depuis des heures.. Pourquoi tant de haine..

Je balançais mon livre sur le bureau, et aller dans la douche, je la laisse couler, et me gratte le joue, je veux enlever cette rougeur. Il n'avais pas le droit, pas lui. Je gratter avec le plus de force possible, je pleurer, j'avais mal mais peut m'importe a ce moment, je ne savais pas que j'allais le regretter.

Je m'écroule par terre alors que je pomme de la douche se cale entre le mur et ma jambe. J'ai mal, et je pleure de douleur. Il ne m'a pas gifler pour une correction, il m'a gifler car sa journée de travail était trop dur et que monsieur devait se défouler. Je sort enfin de la douche et, yeux fermé je me place devant le miroir, au moment ou j'ouvre mes yeux, je vois ma joue toute déchirée, avec quelques point de sang, je sortis avec ma robe de chambre sur moi, puis je croisé mon père.

Papa:_ C'est quoi ça ?
Moi:_ Une joue! Ironisais-je
Papa:_ C'est moi qui.. A fait c-ça ?

Je ne dis rien, car en quelque sorte c'est lui.. Je cours jusque ma chambre et m'y enferme, mais il reste derrière le porte, a hurlais.
Je me dirige devant l'armoire ou je m'habille, t-shirt blanc à bretelle avec une bande noir au niveau de la poitrine. Une pantalon noir moulant. Une veste bleu marine, et mes converse blanche. J'ouvre la porte et descend.

Papa:_ STOP !
Moi:_ Non, tu me donner une gifle, un poing pardon! Et j'ai voulu enlever cette putain de marque que tu ma fais, et j'ai tout aggraver, tu ne m'aime pas alors fais pas genre de quoi que se soit! Hurlais-je à mon tour. Je sortis en courant me réfugier dehors, un bus arriver à se moment. Je montais dedans et montré ma carte de bus, quand je me rendis compte que mon téléphone est presque déchargé.. Il ne reste que 15 %, une heure..

Le bus s'arrête à de nombreux arrêt, je commence à m'éloigner de la ville, je ne connais pas du tout cette endroit, quelle idiote de suis, puis arrive à un point le bus fais demis tour pour refaire son trajet et il s'arrête enfin, je descend, c'est l'arrêt de Sam. Je cours jusque chez lui mais je trébuche, puis me relève et re commence a courir, ma main est rouge à cause de la chute. J'arrive chez lui et sonne. Il ouvre et me regarde de haut en bas, les yeux à moitié fermé, tellement mignon. Puis d'un coup il ouvre c'est yeux regarde ma joue et me demande :

Sam:_ Qui ? QUI T'A FAIS ÇA ?
Moi:_ Moi..
Sam:_ dis le !!!

Je lui raconte alors en détails se qui c'est passer. Il semble être encore plus énervé. Ce qui me fais peur, puis il me prend dans ces bras.

Sam:_ Je t'aime, et même avec ta cicatrice je continuerais à t'aimais, jamais, ô grand jamais je ne t'abandonnerai !
Moi:_ Je t'aime aussi, j'ai faim.. Je me plains alors qu'il souris

On se dirige dans la cuisine et II sors quelques ingrédients des placard : pâtes (toutes les sortes), crèmes fraîche "président", lardons en gros paquet, et du sel. Il sors ensuite une casserole et une poile , il verse de l'eau dans la casserole ainsi que du sel et verse un quart du sachet de pattes d'une sorte, puis un quart d'un autre sorte. Ensuite il met la poile à chauffer, et met les lardons dessus.

Une fois cuit il assemble tout ensemble et me sers une grande plâtré dans mon assiette. Puis lui aussi.

CicatriceOù les histoires vivent. Découvrez maintenant