Chapitre nº29

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Chapitre n°29

J'étais assise en face de lui, nous étions en train de parler de l'appartement. Je suis tellement heureuse du fait que lui et mon père m'ai fait un appartement rien que pour moi! Je retrouve mon père! Je suis simplement heureuse. Mais nous parlions aussi de ma futur faculté de droit, et mes années d'études, ils avaient prévus le coup en prenant l'appartement à deux cent mètre de la faculté.

« tu ne m'as jamais dis, tu compte aller où l'année prochaine ? » demandais-je alors que je me rendais conte que je n'avais aucune réponse sur cette partis, vous l'auriez demander n'importe quoi sur lui je vous aurez répondu facilement mais la je ne savais pas, il ne m'avait rien dit à ce propos, mais je n'avais pas demandé non plus..

« J'ai quelque chose de très importent à te dire, je t'ai menti d'une certaine façon, je m'en veux beaucoup, tu sais ! Je t'ai dis que je voulais aller en faculté marketing, sauf que.. J'ai toujours eu ce rêves, de partir en Australie, et je viens de retrouver toute ma famille, et la sœur de mon père habite en Australie, je pars dans deux semaine ! » avoua-t-il avec hésitation. « J'ai tout prévu, ma futur faculté, mais je pars que une années, je reviendrais pour terminer en France, je te le promet ! » termine Sam d'une voix enthousiaste

Je restait choque ! Il ne sera pas avec moi ? Je ne comprend rien, comment peut-il partir ? Il m'avait dit qu'il resterait avec moi, toute la vie..

« tu m'en veux ? » questionne-t-il d'une voix espérantes.

« Je t'en veux ? » riais-je nerveusement, « t'es entrain de me dire que nous deux c'est 'finis' en quelques sortes et tu me demande si je t'en veux ? » commençais je an hausser le ton. « Ça fait trois p*tain d'années qu'on est ensemble, et lors de notre soirée tu me dis ça ? »

« QUOI ? » cria Sam, alors que tout le monde se retourna vers nous deux, avec des air hautains ou interrogateur, mais retournèrent à leurs occupation après leurs petit coup d'œil. « Jamais je voudrais te quitter, jamais je pourrais, on pourra se parler, tout les jours, tu m'appellera quand tu veux. Et je viendrais te voir dès que possible, je me suis d'ailleurs arrangé avec ton père pour te payer un billet pour l'Australie comme ça tu pourras venir me voir quand tu veux ! » m'explique-t-il d'une voix étincelante, pleine d'amour.

« Tu m'explique deux seconde ? Comment on va pouvoir se parler avec le décalage horaires ? On vas se voir rarement ! Ce ne sont pas les mêmes périodes! Je sais que je suis injures, mais tu m'avais PROMIS de rester avec moi TOUTE la vie !!! » m'énervais-je au bords des larmes, c'est comme si on m'enlever l'amour de ma vie, une année..

« non.. Je ne veux pas qu'on se quitte, je t'aime comme c'est pas permis.. Je viendrais le plus souvent possible !! Ça fait trois ans qu'on est ensemble, mais je veux que dans quatre-vingts dix ans, on regarde nos petits enfants et qu'on se dise 'On a été séparé pendant une année par cette distance, et on c'est toujours aimé, on a fondée la plus belle des familles, on s'aime fort' voilà ce qu'on se dira !!!» dit-il avec la plis de sincérité possible.

Suite à ce qu'il venait de dire, une larme, puis deux, puis plusieurs se frayèrent un chemin le long de mon fin visage, ce qu'il m'a dit m'a tellement touché. Je l'aime, et à ce moment précis, je me suis rendus compte que c'était mon premier amour, et je ferais tout pour que ce soit le dernier. Je ferais tout pour lui, pour nous. Et ça je le jure!

« je t'aime » soufflais-je alors qu'avec son pousse il essuie les derniers larmes.

On termine ce long dîner une heure après notre discutions. Puis on décide de, pour la première fois, passer la nuit dans mon premier et nouveau appartement, ensemble. J'envoye rapidement un message à mon père pour lui faire part de ma joie et lui communiquer mes remerciements.

On repartit en taxi, direction l'appartement.

-/ Quelques jours plus tard \-

Aujourd'hui je vais voir le médecin, pour la cicatrice et mon état moral. Je m'habille le plus simplement possible, un long t-shirt neige, avec un bas de jogging qui fait classe, et simple. Je prend ma carte vitale et de quoi payer, puis je prend le bus pour me dirige à l'hôpital. Je n'ai prévenu personne à propos de ce rendez-vous, je n'ai pas envie que mes parents ou bien Sam sachent que je vais à l'hôpital pour cette cicatrice, elle a causé assez de problèmes comme ça, ça suffit.

Je rentre dans les corridors blanc et m'avance vers l'accueil pour prévenir de ma venu. Il m'indique donc la salle dans la quelle aura lieu mon entretien avec le médecin qui m'a opéré pour ma cicatrice. Devant cette porte, je frappe faiblement, légèrement panique par ce rendez-vous.

Le docteur me dit d'entrée, et de m'installe en face de lui. Ce que je dit directement. Il commençait à me parler, de lui demander de lui expliquer ce qu'il c'était passé, car la dernière fois j'en étais incapable, sauf que j'en suis toujours incapable, car je ne me rappelle plus de ce qu'il c'était passé. Il m'explique alors :

« L'evenements qui c'est produit dans l'enceinte de votre lycée à du provoquer un état de panique, ce qui a fait que votre cerveau à totalement oublié ce moment la, il vous reviendra peut-être par la suite comme des 'retours', mais ne vous étonnez pas si vous ne retrouver pas votre mémoire, votre cerveau à voulu effacer cette instant de votre mémoire. Ça ce produire rarement, dans les cas les plus extrême!» m'informe le docteur aimablement, « j'ai consulter votre dossier à propos de vos première cicatrice, pourriez vous me dire ce qu'il c'était passé ? »

« c'était à ma première soirée, en troisième, comme j'en sorte de soirée d'adieux, vu que chacun partez de son côté. J'étais dans un groupe, ou l'on s'adore a tous, mais il y avait une autre bande avec qui on ne s'entendait pas, sauf qu'ils m'ont pris à pars, et avec un couteau, ils m'ont coupé la joue... » m'expliquais je avec quelque problèmes de prononciation du au fait que j'ai mal de cette épisode.

Une heure après le début de la consultation, le médecin me dit que ça ira, que si j'avais des hallucinations il fallait absolument que je revienne, ou autres soucies liées à cette cicatrice.

Je sortis de l'hôpital, et respirait un bon coup, au moment de partir je vis...

CicatriceOù les histoires vivent. Découvrez maintenant