Chapitre nº28
J'entends Laporte sonner, et je descend ouvrir. C'est Sam. Je saute dans cesbras, et celui-ci m'embrasse langoureusement.
«j'ai une surprise pour toi ! » m'annonce mon amoureux
«ah oui ? Et que me vaux cette "surprise" ? » demandais-je
«le fait d'être la femme la plus courageuse, la plus belle et la plusadorable ! Je t'aime, maintenant va te préparer, ma femme » medit-il avec un sourire tellement craquant que j'eus envie depleurer de joie du fait d'avoir ce garçon comme copain, je l'aimeénormément.
Samme suit jusque ma chambre, s'installe sur mon lit et regarde machambre, ça fait un petit moment qu'il n'était pas venu. Je regardedans ma chambre et décide d'opter pour une robe décontracté. Elleest beige mais ne fait pas robe de soirée ni robe de dîner, justeune robe de tout les jours. J'accompagne la robe avec des ballerinesque j'ai depuis plus d'un an et que je n'ai mis qu'une ou deux fois.Puis je pose le tout sur le lit et me déshabille, sauf que j'avaisoublié que Sam était la. Non, je ne suis pas gêner devant lui, ilm'a vue plusieurs fois nu, mais la présence de ma cicatrice mebloque, fortement. Et Sam n'arrange aucunement les choses car ilreste les yeux rivés sur ma cicatrice. Il s'avance vers moi, et posesa main sur ma cicatrice en la caressent délicatement, il remonte samain à mon visage et m'embrasse. Il sort de la chambre en m'informequ'il m'attend en bas.
Jem'habille rapidement et pars me maquiller légèrement. Cachant macicatrice. Me permettant de me soulager.
Jedescend et rejoins Sam en bas, avec son sourire qui fait dixkilomètres. On par dans un taxi, pour aller a ma « surprise».
J'arrive,au bout d'une bonne heure et demie, devant un grand immeuble qui àl'air plutôt luxueux. Sam descend devant moi et m'aide, il donne del'argent au chauffeur. Il me prend la main et m'emmène àl'intérieur de l'immeuble. Le rez-de-chaussée est grand, le sol eten carrelage beige foncé, et les murs sont de couleurs agréable,vert calme. On prend l'ascenseur et monte au troisième étage,l'immeuble compte huit étage.
Arrivéedevant la porte avec le chiffre "4", Sam ouvre celle-ci. Ils'arrête au salon et je vois mon père sortir de la pièce voisine.Que fait-il là ?
«voici ton futur appartement princesse ! » me dit-il d'une manièrecharmeuse.
Attendez,quoi ? Pourquoi mon futur appartement ?
«Étant donné que l'année prochaine tu es prise dans la faculté dedroit de cette ville, avec ton père nous avons passé deux semaine àfaire cette appartement rien que pour toi ! »
Jesaute dans les bras de Sam et me met à pleurer de joie, etl'embrasse. Puis je saute dans les bras de mon père. Je l'entendss'excuser a voix basse, ce qui double mes pleure. Je quitte alors cesbras et commence à viser l'appartement.
L'entréedonne directement sur le salon, il est assez grand et plutôt joli.Les couleurs sont crèmes. Il y a un grand canapé au centre de lapièce face à la télé écran plat. Une jolie table basse en verrenoir. Ensuite on passe à la cuisine, c'est une cuisine américainesur les ton rouge et gris. À l'opposé de la cuisine, a coté dusalon se trouve un couloir. Il donne sur une toilette et une sale demain, de couleur crème, toujours, la salle de bain est spacieuse,une grand baignoire, avec un super miroir. Il y a aussi deux chambre,la mienne est de couleurs bleu clair, à la limite du violet. En facede la porte se trouve une armoire, à côté de celle-ci ce trouve ungrand lit deux place en blanc, avec un cadre au dessus, et à droitce trouve la fenêtre avec un meuble et un bureau. Dans l'autrechambre, pour des amis, ce trouve un lit double place, une armoire etun petit meuble. Une fois le tour de l'appartement fait, mon pèreexplique qu'il doit partir chercher Soyer.
«Je t'emmène au restaurant, pour fêter nos trois ans de couple ! »dit-il, ce qui me rappelle notre premier baiser, mais aussi cettesatané fête..
°passe °
"Calioppe,ma pire ennemie, s'approchait de plus en plus de moi, pour arriverprès de mon visage et y poser son couteau tranchant. Ils avaientcommencé à rigoler face à mon inquiétude, à mon anxiété.Ensuite, les autres m'entouraient de plus près, puis me posaient desquestion : "Que préfère tu entre vivre ou mourir ?", ou bien :"Crois tu en la mort ?", Et pleins d'autres questions quiressembla à celles-ci. Mais voyant que je ne répondais pas,mademoiselle avait fait son caprice et avait commencé par me donnerdes claques qui, au fur et à mesure, devenaient de plus en plusforte et douloureuse. Austin s'imposait entre elle est moi, et luiavait dis que c'était le "moment". Je comprenait pas de quoi ilparlait, mais quand elle remit le couteau à lame tranchante sur majoue droite, elle me souriait, ce sourire sadique et sans cœur quirestât gravé à l'intérieur de ma tête pour toujours, comme unegravure sur une pierre.. Elle bougeât la couteau en appuyantfortement dessus. Il partait de ma narine droite pour rejoindre monoreille mais s'arrêtait au milieu de ma joue droite. Pendant l'acte,je criais de douleur. Puis j'entendis la porte s'ouvrir d'une façonsi violente que le petit groupe eu peur à leurs tours.
Jesentais le sang me couler le long du bas de mon visage pour arriversur ma robe et la tacher. Sam se jeta sur moi et me pris dans cesbras. Ils était hors de lui en voyant ce qu'elle m'avait fait, et ilse leva pour coller sa main sur le visage parfaitement maquillé deCalioppe, et posa ensuite sa main sur le visage des garçons.Quentin, lui c'était occupé d'appeler les ambulance qui arrivèrentsuite à son appel. Les pompiers me prirent en charge. Arrive àl'hôpital on m'opérer directement. Ma famille fut mise au courantdans l'heure suivante. Une fois ressortit de la salle d'opération,le docteur me plaçait dans une chambre. Je ne voulais voir personne,je pleurais et criais comme une folle. Ils m'avait ligoté les mainsau barreau du lit pour ne pas que je prenne un objet tranchant ettente de mettre fin à mes jours. Je ne savais pas ce qui se passerdans ma tête à ce moment la, mais je n'étais pas dans mon étatnormal, j'étais paniqué. Ils m'avait donc place dans une chambrespéciale, où il n'y aurait aucun risque que je me suicide. Jevoyais un psychologue différent chaque semaine, mais à chaque touraucun ne me plaisait et je leur faisait ressentir, alors ilschangeaient, puis j'eu le dernier, un psychologue remarquable quiavait réussi à me faire sortir de cette sorte de transe abominabledans la quelle j'étais. Je ne dormais plus à cause de cescauchemars, je ne mangeais plus, je criais dès que je le pouvais,j'avais des hallucinations, je devenais folle mais grâce à cepsychologue, j'eu la chance de revenir à mon état normale.
Lespersonnes qui avait refait mon visage n'avait rien eu, mise à parsune journée au tribunal..
J'avaisréussi à m'en sortir grâce à ma mère, ainsi que Sam. Mon pèreet ma sœur, à partir de cette incident, m'avaient complètementignorer, et me parlais plus, enfin presque.. "
°Retour au présent °
Nousétions au restaurent avec Sam, assis l'un enfance de l'autre dansune restaurent sympathique en bordure de mer. Il faisait encore chaudmalgré l'heure tardive.

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Cicatrice
PertualanganAmbre Carter, une collégienne de 15 ans, vient de terminer sa dernière année de collège. Pour fêter leur brevet, avec ses meilleurs-amis, ils décidèrent de faire une fêtes qui regroupent tout les troisièmes. Mais elle ne se passera pas comme prévu...