Alorsque Miles c'était garé dans le parking de l'immeuble, on descenddans la direction de celui-ci. Mais je ne comprend pas. Miles meprend la main pour me rassurer, pendant que nous avançons dans ladirection du bâtiment. Quand je vois la petite pancarte je comprispourquoi nous étions la. Mais pourquoi c'est lui qui m'emmène?
«Pourquoi c'est toi qui me conduit au psy ? » demandais-je le voixbrillent à cause de la ... Colère?
«Je.. T'a mère me l'a demandé, car elle ne pouvait pas ! »dit-il
«j'aurais très bien pu y aller seule !!! » m'énervais-je
Ilbaisse la tête mais continu d'avancer dans le bâtiments. Quand onarrive devant la secrétaire, Miles explique qui nous sommes et donnel'heure du rendez-vous. On se dirige vers la salle d'attente mais lepsy arrive à se moment la. Je pars directement avec lui, le psy.Miles reste dans la salle d'attente.
«Bonjour Ambre ! » s'exclame Victor, le psy.
Lorsde ma première cicatrice j'eus un grand choque... J'ai eu desérieux problèmes. Je voyais ces visages, de mes agresseurs,partout où j'allais. Je faisait tout les soirs des cauchemars ce quime rendais insomniaque. Je vomissais des qu'on me parlais d'école.J'avais peur, et je n'arrivais plus à m'en défaire. Je vivais dansla peur. Et Victor fut la seule personne qui réussi à me redonner''joie'' à la vie, il avait réussi pour la première fois à meredonner le sourire, ensuite il avait réussi à arrêter mesvomissement, puis les hallucinations, mais pas les cauchemars... Maisils n'avaient jamais arrêter, ils se sont juste diminué.
«J'ai appris ce qu'il c'est passé ! » commence Victor, « Comment tute sens émotionnellement ? »
«Les hallucinations on recommencé, aujourd'hui .. » m'exprimais-jeaprès quelques minutes de silence instable.
Laséance a durer presque une heure trente, Victor est peut-être unpsy, mais on sens, quand il vous parle qu'il ne fait pas ça parobligation. Il aime aider les gens. J'avais eu huit psychologue avantVictor et aucun d'eux fut efficaces. Ils n'avaient pas cette approchequ'à Victor. Ils voulaient savoir, tous, sur le moment. Mais c'étaitimpossible pour moi. Puis on a trouver celui-ci, et ça a tout desuite fonctionner. Il m'a aidé. Et grâce à lui je m'en suissortis. Il ne me demander pas de lui raconter cette soirée, maisplutôt que je lui raconte ce qui me rend heureuse, ce que j'aimefaire en dehors de l'école, il voulait que ce sois moi qui luiraconte et pas lui qui e demande, ce pourquoi je le trouve différentde autres.
Jerejoins Miles puis on se dirige vers la voiture. On rentre chez moi.Il est dix neuf heures. Je descend de la voiture mais au momentd'arriver devant la porte je me retourne vers lui avec un sourire.
«Tu veux manger la ? » demandais-je assez fort pour qu'ilentende.
Niune ni deux, blondinet descend de son pickup pour rentrer chez moi.Il n'y a personne, tant mieux. On se pose dans la cuisine et je luidemande ce qu'il veut manger, forcément il me répond "ce quetu veux" donc.. Je regarde dans le frigo et je vois le meilleurplat du monde : lasagne. Je les prend et met le plat au micro-ondespour les réchauffer. Cinq minutes après on se retrouve à table àentamer le plat. On commence à manger.
«C'est tellement bon ! » lâchais-je.
«Au moins ça ! » ricane Miles.
Jereçu un message à ce moment. Je sortis mon téléphone de mon sacpuis regarde de qui vient ce message.
Samiche-
Coucoumon amour, est-ce que tu va mieux ? - Sam
Moi-
Coucoumy heart, ça peut aller.. Je t'aime fort! <3
Jepose mon portable sur la table et range mes couverts et mon assiettedans le lave vaisselles. Je me retourne pour prendre mon verre. Milesse lève et fait pareil que moi. Il vient m'embrasser la joue puisprend son mentaux.
«Je vais y aller, ma mère m'a demander où j'étais ! » sourit-il, «À demain ma belle! Même heure chaton ! » m'informe-t-il en parlantde demain matin.
Jesouris et hoche la tête alors qu'il s'en va dans sa voiture.Maintenant que j'y pense, je ne sais même pas ou il habite, fin jeconnais presque rien de lui.
* *
*
Jesuis devant ma frayeur, un endroit au quel j'aurais voulu ne jamaisrevenir, cet endroit ou l'avenir d'une personne coupable et mis àrude épreuve, il peut changer à n'importe quel moment. Le tribunal...
J'avanceà reculons vers celui-ci. Ma mère et mon père m'accompagne. Voilàun mois que ça c'est passé. Que Karen Rivers m'a poignardé dansl'enceinte du lycée. Elle m'avait poignardé à deux semaines dubac. Mais malgré tout j'ai réussi an le passé, cet examen. Et jel'ai eu, avec mention assez bien, je suis énormément dessus car lesprofesseurs me disaient que j'étais capable d'avoir la mentiontrès bien, mais je n'ai pas réussi.
Jeme retrouve devant un tribunal pour la deuxième fois de ma vie. Pourune raison similaire à la première fois. J'allais rentrée dans cetribunal avec le boule dans la gorge. Je mettais jurer de ne jamaisrevenir dans ce tribunal mais j'ai rompu ma promesse envers moi-mêmeà cause d'une fille qui ne contrôle pas ces émotions. Mon pèreétait venu avec moi, car il en était obligé. Mais par contre pourSoyer il en était hors de question qu'elle m'accompagne,fort-heureusement.
Jem'installer à la place qu'on m'avait attitré et ça commença. J'airemarqué en entrant que des journalistes ce trouver dans la salle.La séance ce passa si lentement, j'en peux plus. À la fin ilannonce la sentence.
«Mademoiselle Karen Rivers, vous aurez trois ans de prison ferme, avecquatre ans de prison avec sursis, et vous aurez interdictions auxréseaux sociaux pendant le tout. Vous devrez aller voir unpsychologue, avec un suivit pendant les dix premières années devotre vie. Le séance est terminer ! » finit le juge en tapant sontmarteau.Elle ne devrait pas alleren prison, mais plutôt en hôpital psychiatrique... Jeme dirige vers la sortis j'en peux plus. Je n'aime pas ça. Ons'installe dans la voiture de mon père pour qu'il nous reconduise àla maison. Il s'arrête et repars ensuite à son boulot. Pour changer...
Jesors de la voiture, alors que ma mère demande mon état, je luienvoie un sourire faussement joyeux, et cours dans ma chambre. Jem'installais sur mon lit et me recouvre de ma chaude couverture, puisje m'endormis. Je n'avais pas envie de pleurer, je ne devais paspleurer.
Jeme levais de bon heure la matin et je me rendus compte que j'étaisen vacances, je le savais déjà mais avec les — mauvais —événement précédent je ne pouvais pas appeler ça des vacances.Je me retrouve devant le miroir à regardé mes deux ..cicatrice.
Laporte sonna, et je descendus ouvrir. C'est Sam. Je lui saute dans lesbras, et celui-ci m'embrasse langoureusement.
«j'ai une surprise pour toi ! » m'annonce mon amoureux !

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Cicatrice
AventuraAmbre Carter, une collégienne de 15 ans, vient de terminer sa dernière année de collège. Pour fêter leur brevet, avec ses meilleurs-amis, ils décidèrent de faire une fêtes qui regroupent tout les troisièmes. Mais elle ne se passera pas comme prévu...