Quand deux timides se rencontrent. (Tamaki Amajiki X Oc )

Le diné

Ils étaient tous attablé a la grande table à manger de la demeure Kanjō. Aika et Enji ne faisait que parler . Tora se contenter de regarder la scène . Un peu stressé . Aiko et Ryūku rigoler de leurs côtés. On pourrait les prendre pour des petits enfants alors qu'ils avaient 13 ans . La fratrie Todoroki ne parler pas . Fuyumi observer Ryūko, Shoto regarder son assiette et Natsuo regarder par la grande fenêtre non loin de lui . Ryūko, elle , tenter de se concentrer sur sa nourriture. Elle en avait mare de ressentir la satisfaction de sa mère , la peur de son père.

Elle fini par soupirer , discrètement. Enfin , pas assez . Sa mère le remarqua , et la regarda d'un mauvais yeux .

Aika : Qu'est-ce qui ne va pas ?

Il n'était pas prononcé, mais Ryūko cru entendre un " encore " sortir . Elle tourna la tête vers sa mère .

Ryūko : R-rien ...

La voix douce et clair de l'aîné des Kanjō fit relever la tête à tout les Todoroki. C'était la première fois qu'ils l'entendaient parler . Et il fallait avouer qu'elle avait une très belle voix .

Aika : Tu te décide enfin à parler ?! C'est pas trop tôt !

Aika ressentait une certaine satisfaction. Elle était satisfaite de mettre sa fille dans une telle position. Ryūko savait que si elle faisait un pas de travers , ça finirait mal pour elle . Elle n'avait aucune issue. Sauf obéir à sa mère.

Enji : Passons au mariage .

La mère de famille se tourna vers son invité, le sourire au lèvres .

Aika : Oui , nous avions convenu que ma fille viendrait vivre chez vous à ses 15 ans . Est-ce toujours bon ?

Le père hocha la tête .

" Ils ont discutaient de quoi pendant mon absence ? " Ne pu s'empêcher de se demander Ryūko.

Il est vrai que , normalement, tout ces points devrai déjà être règlé. Seulement, Aika avait préféré y aller en douceur . Éviter de brusquer ses invités et de faire rater l'alliance. C'était très important pour elle , une importance capitale. Sa fille allait être mariée aux " prodige" des enfants d'Endeavor. N'était-ce pas génial ? Ça aurait pu , si Ryūko avait aimer le bicolore.

Ryūku regarda sa sœur . Il n'avait pas besoin de l'alter de sa mère pour savoir que sa grande sœur ressentait un profond désespoir. Il savait, aussi , qu'elle ne savait toujours pas comment partir . Comment quitter cette demeure qui les détruisaient à petit feu. Cette femme , qui était leur mère , n'était qu'un monstre de glace qui éteignez la flamme de la vie de ses enfants. Doucement, patiemment . Mais sûrement.

Aiko , elle , regardait son père . Cet homme d'une lachêter sans nom . Cet homme, incapable de tenir tête à sa femme . Comment pouvait il se faire passer pour un quelconque père ? Il n'avait rien d'un père . Il ressemblait plus à un petit animal sans défense qui subissait patiemment. Mais , à la différence d'un animal, il n'attendait pas de pouvoir partir. Non , il subissait juste .

Une heure passa . Une heure qui parrut être un siècle aux yeux de Ryūko. Sa mère n'avait fait que la traiter d'incapable. Bonne qu'à donnait naissance et encore, c'était parce que c'était naturel. Enji semblait être entre satisfait et dubitatif.

Ryūko n'avait qu'une envie. Répondre à sa mère . L'envoyer boulet en lui disant qu'elle n'était pas qu'une incapable. Qu'elle pouvait devenir une grande héroïne. Qu'elle en avait les capacités. Mais elle avait peur. Peur des conséquences. Il n'était pas rare qu'Aika punisse sévèrement ses enfants. Que se soit Aiko ou Ryūku. Mais elle prenait un malin plaisir à punir Ryūko. Tout simplement parce que c'était la seule à la défier .