Un repos bien mérité.

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La vie de la fratrie Kanjō n'avait jamais été une partie de plaisir. Mais malgré tout , leurs parents leur manquaient. Ils rejetaient se sentiment, ils le détestaient . Ils devraient être heureux, pas nostalgiques. Pas de cette vie pourrie jusqu'à la moelle. Ils n'avaient pas le droit !

Mais , Ryukō le savait mieux que personne. On ne peut échapper ou réellement changé se qu'on ressent. Elle pouvait détourner les sentiments de ses frère et sœur pour quelques minutes. Mais guère plus . Et ça la beaucoup frustré. À quoi pouvait servir un tel pouvoir si on ne pouvait pas aider les autres ? À faire le mal ? Mais n'y avait-il pas plusieurs façons d'utiliser un même outil ? Pourquoi en serait-il autrement pour les alter ?

Côté relationnel, Ryukō s'était rapprocher de Momo . Les deux jeunes filles avaient retrouvé leurs complicité. Jamais elles ne le diraient mais elles s'étaient manquaient. Elles adoraient passé de longue heure à raconté des bêtises ou simple a ne rien dire . Rester l'une à côté de l'autre dans le silence.

Yuna et Kazutomo avaient mit du temps à se faire à la quantité d'enfants sous leurs toit . 4 enfants, ce n'était pas rien. Surtout que , enfin libéré Aiko laisser libre court à son caractère. Elle ne cessait de faire bêtise sur bêtise . Elle courrait partout , crier surtout , s'émerveiller d'un rien . Et j'en passe . On aurai dit un bambin qui découvrait le monde .

Ryūku, plus calme que sa jumelle, se contentait d'apprendre le plus possible dans les livres . Il s'était pris de passion pour la grande bibliothèque Yaoyoruzu. Il dévorait tout les livres à une vitesse allusinnante . C'était a croire qu'il y passer sa vie . Se qui n'était pas faux .

Tout le monde avait, petit a petit, pris sa place . Même Akane . Seulement deux mois étaient passé , pourtant ils auraient juré vivre ensemble depuis toujours. D'ailleurs, la fratrie Kanjō ne pouvait plus se faire appeler ainsi . Ils étaient devenus Yaoyoruzu, pour être en sécurité. Et cela les rendait particulièrement heureux. Ils avaient trouvé une famille, un toit , dans ce monde étrange .

Plusieurs fois , Ryukō et Fuyumi se conctatèrent . Elles se recontrèrent même . Les deux filles passaient de très agréables moments l'une avec l'autre . Il arrivait même que Fuyumi reste dormir chez l'ancienne Kanjō. Yuna était toujours profondément exaspéré. Mais ne disait rien. Ryukō avait besoin de cette présence. Même si , elle ne le dirait jamais. Elle avait du mal avec le fait d'avoir " besoin de quelqu'un ".  C'était un fait particulièrement agaçant à ses yeux . Elle aimait aider ! Mais elle n'aimait pas recevoir de l'aide . Pour elle , s'était un signe de faiblesse. Et il était hors de question qu'elle soit faible.

Et c'est ainsi que se passèrent deux mois suivant. Plus le temps passer, plus l'arrivée de la rentrée au lycée arrivait. Momo et Ryukō iraient à Yuei , grâce aux recommandations des Yaoyoruzu. Fuyumi avait annoncé à la blonde cendré que Shoto irait lui aussi . Elle s'était contenté de soupirer . Elle n'en avais pas fini avec sa mère , elle le sentais. Et ça ne lui plaisait pas .

Il lui arrivait souvent de penser à Aika . Cette femme préparer certainement quelque chose. Il fallait rester sur ses gardes elle pouvait arriver a tout moment. Ryukō n'arrivait pas à s'enlever les craintes de sa tête . Elle avait peur. Peur de retourner sous les ordres de sa terrifiante mère.  Elle avait peur de devoir se marier avec ce garçon qu'elle n'aimait pas comme ça . Et puis , il avait un alter de feu et de glace et elle de " contrôle des émotions" et de métaphore dragon. Ce n'était pas très compatible.

Ce matin-là , Ryukō se réveilla avec un léger sourire. Elle sortit de ses draps soyeux et s'habilla de sa tenue mauve. Elle sortit rejoindre sa famille. Aiko courrait dans le jardin, sûrement derrière un petite insecte. Ryūku était installé dans le salon avec un livre sur l'anatomie. Momo s'entraîner à faire de poupée russe . Yuna était partie en mission et Kazutomo aussi .

Ryukō s'installa sur le canapé, en face de la télévision. Elle n'était pas d'humeur a s'entraîner ou à courir de partout . Elle alluma la télé et passa de chaîne en chaîne ne trouvant rien d'intéressant. Elle soupira , sous le regard amuser de son jeune frère. Elle lui lança un regard et il pouffa devant son air boudeur . Elle leva les yeux aux ciel , puis se reconcentra sur la télé . Elle était tombé sur une chaîne qui diffuser des anime. Elle décida , donc , de regarder .

Les heurs passèrent, et le dîner arriva . Yuna et Kazutomo étaient rentrée, Aiko s'était calmée et Momo était épuisée. Ryukō était très intéressée par ce qu'elle regardait et Ryūku était toujours plongée dans son livre . Les reste de la famille soupirèrent désespérée d'un tel comportement.

Momo : Allez , venait avec nous . On va mangez .

Ryukō : J'arrive Mochan .

Ryūku : J'arrive Onēsan* .

Aiko , agacé de comportement de sa fratrie, piqua le livre de son frère et éteint la télé de sa sœur. Les deux la regardait avec de grands yeux . Elle , souriait de toute ses dents. Finalement , ils soupirèrent et se mirent à table .

Le repas se passa dans la joie et la bonne humeur. Les rires se faisaient entendre dans toute la pièce. Du moins , jusqu'à se que Yuna abordé un sujet sensible. Elle se devait d'en parler . Elle devait être rassurée.

Yuna : Vous avez des nouvelles de Aika ?

Le silence lui répondis. À peine le prénom de " Aika " fut prononcé, plus personne ne parla . Les enfants, biologique, de la femme baissèrent la tête d'un même mouvement. Leurs yeux emplis de tristesse et de nostalgie. Bien malgré eux . Les mains de Ryukō se serrèrent, sa mâchoire se contracta . Tout comme pour Aiko et Ryūku. Momo posa son regard sombre sur son amie . Inquiète pour elle . Kazutomo, lui , regarder sa femme . Il savait se qui l'avait poussé a en parler . Mais c'était encore trop frais pour les anciens Kanjō. Finalement, Ryukō pris la parole. À la surprise de tous.

Ryukō : Okāsan** ... Tous se que je sais c'est qu'elle prépare quelque chose . Ou plutôt, je le suspect.

La voix douce et calme de la jeune blonde résonna dans la pièce.  Yuna se tendit légèrement a cette réponse incertaine. Les autres regardèrent Ryukō avec insistance. Autant parce qu'elle avait parler devant tout le monde que pour ce qu'elle avait dit .

Ryukō : Cependant, je ne pense pas que cela arrivera de si tôt.

Il lui semblait plus que nécessaire de rajouter se détail . Elle ne voulait inquiétait personne, mais c'est vrai qu'il ne fallait pas se relâché. C'était trop calme , beaucoup trop .

Aiko : C'est pas grave ! On sera la pour l'arrêté !

Ryūku : Que veux tu que nous fassions face à l'héroïne n°20 ?

Aiko : Bah, se battre .

Ils la regardèrent, décontenancés . Avait elle vraiment dit ça ? Oui, Yuna et Kazutomo étaient des héros . Mais ils n'allaient pas se battre entre héros . Et des civils n'allaient pas se battre contre des héros.

La soirée se passa sous les débats. Savoir comment réagir peu importe la situation a la quelle il seront confrontés. Cette soirée fut particulièrement fatiguante pour Ryukō, qui dormi comme un bébé . Bien que hantait par de lointaine craintes .

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Onēsan : Grande sœur en japonais.

Okāsan : mère en japonais.

Salut !

Comment vous allez ?
Bien j'espère !

J'ai fait apparaitre des mots japonais pour faire la différence entre les différents personnages. Grande-sœur, par exemple , c'est Ryukō. Alors que Onēsan c'est Momo .

Sinon ...

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D'Aiko ?

Bonne journée/soirée et Plus Ultra !

Quand deux timides se rencontrent. (Tamaki Amajiki X Oc )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant