POV Deirdre
Je tourne en rond depuis un moment et je commence à perdre patience pourquoi m'avoir emmené ici s'ils ne veulent pas me parler.
- Deirdre. Résonne la voix éraillée du général. C'est bien comme ça qu'on t'appelle maintenant ?
Je me tourne lentement vers lui l'analysant des pieds à la tête.
- Vous avez pris du poids général. Dis-je narquoisement.
Il ouvre la porte de la cellule et s'approche doucement de moi.
- Espèce de petite merdeuse. Crie-t-il en me mettant une claque.
- Vous frappez toujours comme une fillette.
- Garde en mener là !
- Bah alors, vous ne pouvez pas vous occuper de la sale besogne générale. Criais-je alors que je me fais fait traîner par deux gardes.
Ils me font monter trois étages avant de me jeter sur une chaise, il m'attache les mains dans le dos avec des menottes et les pieds avec une chaîne qui cadenasse.
- Bien et si on commencé Deirdre ?
- Je ne vous dirais rien. Dis-je froidement.
- Qui a tué Scar et Wilde ?
- Oh, ils sont morts ? Bon débarras et j'ai une question moi aussi, vous m'avez donné quoi pour inhiber mes pouvoirs que vous m'avez donnés au passage.
- Ne joue pas la débile, je sais que tu sais qui les as tuer. Et nous ne t'avons donné aucun pouvoir nous les avons simplement amplifier.
- Même si je le savais, je ne vous dirais rien.
Il fait alors un geste de la tête a ses gardes qui me font reculer et basculer en arrière. Je tourne la tête pour admirer un gouffre dont je ne pouvais voir la fin.
- Si vous me tuez vous n'aurais pas ce que vous voulais. Dis-je calmement.
- Deuxième question quelle sont les plans du S.H.I.E.L.D. pour nous arrêter ?
- Comment voulez-vous que je le sache ?
- Je vais te raconter une petite anecdote tu vois ses cicatrices a on appell
- Vous n'avez aucun droit de parler d'elles.
- J'ai enfin trouvé le point sensible, mais on a terminé pour aujourd'hui. Garde ramener là en bas.
Il enlève les chaînes de mes jambes et me met comme un sac à patates sur son épaule. J'ai les pieds libres donc je pourrais le frapper, mais je me retrouverais dans une sacrée merde.
Je me retrouve à nouveau seule dans cette prison frigorifiée suis, je condamnais à revenir encore et encore ici. C'est tout de même drôle, j'ai passé ma vie entière à avoir peur. Peur de ce qui risquait d'arriver, pouvait arriver, pouvait ne pas arriver. 21 ans que j'ai passés comme ça. Je viens enfin de comprendre que c'est la peur qui est ce qu'il y a de pire. C'est elle qui est notre pire ennemie. Ça me fait penser à la fin d'un podcast où j'avais dit pour répondre à un téléspectateur :
" Je pense que la vie est précieuse parce qu'on ne peut pas la revoir. Je veux dire que vous pouvez croire en une vie après la mort si cela vous rassure. Cela ne veut pas dire que c'est vrai. Mais une fois que vous réalisez que vous ne serez pas là pour toujours, je pense que c'est ce qui rend la vie si magique. Un jour, tu mangeras ton dernier repas, tu sentiras ta dernière fleur, tu serreras ton ami dans tes bras pour la toute dernière fois. Tu ne sauras peut-être pas que c'est la dernière fois. c'est pourquoi tu dois faire tout ce que tu aimes avec passion."
J'ai l'impression que la vie ne veut pas de moi après tout, pourquoi voudrait-elle d'un mouton noir.
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Let's cry together
FanficLa douleur ne fait pas d'exception, elle exige d'être laissée. Si elle vous veut, elle vous emmènera dans les profondeurs de l'enfer et vous en reviendra sans pitié, brûlant chaque fois que vous pensiez l'avoir surmontée. Mais le pire est derrière v...