Chapitre 8 : L'inconnue fait peur

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Pdv Lando :

Mon dos me fait souffrir. Je suis gelé et le moindre mouvement fait craquer mes articulations. L'odeur rassurante de Max et Lewis disparaissent petit à petit. J'ouvre les yeux. Je ne sais toujours pas l'heur qu'il est. Mais ma seule pensée est dirigée vars la nourriture et l'eau. Je suis affamé et déshydraté. Je suis sur les nerfs. Comme si la moindre personne proche de moi pouvait me faire sortir les crocs. Je suis sous forme lupine. Pourtant ma fourrure ne peut pas supporter la violence de ce froid. Je suis dans une cage miteuse. On est dehors. Je peux observer les usines désaffectées d'où je suis. Je veux fuir cet endroit nauséabond. Seule l'odeur de la peur peut être sentie. Je me dresse sur mes quatre pattes et m'approche des barreaux de la cage. J'ai autour de mon cou un collier en fer blanc relié à une énorme chaîne. Ce collier m'empêche de reprendre ma forme humaine. Je n'ai plus non plus la force de loup-garou que j'avais avant. Je patauge dans la boue. Je pense que je suis ici depuis quelques jours. Il y a beaucoup de chiens. Mais appart moi, Max et Lewis, je ne sens aucune présence d'autre loup-garou. Les chiens se grognent dessus et on peut voir de temps en temps des chiens se dévorer entre eux. Je n'avais jamais connu une aussi grande violence. Je pensais avoir tout vécu avec les autres meutes mais la violence animale peut être effrayante aussi. Puis le gardien entre de nouveau dans le domaine. Dans les chiens l'ont senti tout comme moi et ils se précipitaient vers les barreaux pour aboyer sur le visiteur. Mais il n'est pas seul. Il donne les rations aux chiens de gardes puis se dirige vers les autres pour leurs donner le peu de nourriture qui reste. Je suis le seul à n'avoir aucun chien dans ma cage. L'homme arrive en face de moi et me lance un bout de viande que j'attrape avant qu'il ne tombe dans la boue. Le gardien arrive et place une gamelle d'eau dans ma cage. Je dévore mon bout de viande et me précipite pour boire le peu d'eau qu'il m'a donné. Les chaleurs ne sont pas parties et de temps en temps je me mets à trembler dans ma cage. Le pire et ce qui me dégoût c'est le regard des chiens sur moi ça me donne envie de vomir. Le pire c'est les gardiens qui se moquent de moi. Je crois qu'il y avait quelque chose dans la viande car je me sens affaibli d'un coup comme en torpeur. Je ne suis pas endormi car je tiens encore sur mes pattes mais je n'ai plus de force pour me battre. Le gardien me sourit et part chercher quelque chose. Je regarde autour de moi et aperçois Max et Lewis au loin. Je ne les avais pas vu depuis que je suis arrivé. Je relève la tête mais impossible de jacter ni d'hurler. Puis le gardien revient avec une muselière et me l'attache fermement. Il détache ma chaîne et me tire hors de la cage. J'essaye de résister mais je n'ai rien pour m'opposer à lui. Je n'ai plus mes capacité lupine. Je le suis alors au pieds. Lorsque je me mets près de lui je peux remarquer la taille anormale que j'ai. En tant que loup-garou je savais que j'étais plus grand qu'un loup mais je n'avais jamais comparé avec un humain. Mon épaule arrive au niveau de son ventre. Mon pelage blanc immaculé est pleins de boue est se salit à cause des conditions de vie imposé dans ce chenil en pleine aire.

 Mon pelage blanc immaculé est pleins de boue est se salit à cause des conditions de vie imposé dans ce chenil en pleine aire

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( Ps : imaginé avec une muselière, un collier en fer blanc avec une chaîne)

Mon gardien se rapproche d'un autre homme qui bien soigné que celui qui me tient.

Homme soigné : Mets le dans le wagon 7, Il doit voyager seule et met le petit Théodore avec lui pour le nettoyer.

Puis il me fixe dans les yeux. Je ne peux que le regarder avec haine.

Homme soigné : Je sais que tu me comprends sale oméga. Mais tout le monde ne peut pas être un loup-garou. Je suis sûre que beaucoup d'alpha humain ou loup-garou vont payer cher pour t'avoir dans leur lit ou comme chien de compagnie. Tu en penses quoi le loup.

Puis avec sa cane il me frappe à la tête. A cause du calmant ma tête et l'avant de mon torse finit dans la neige. Il dépose alors sa canne sur mon museau est me force à rester collé à la neige froide.

Homme soigné : Petit loup tu vas me faire gagner beaucoup d'argent donc je veux bien te donner un petit conseil. Reste à ta place et rien de grave ne t'arrivera à toi et tes deux copains loups. Tu es celui qui à le plus de valeur au même titre que l'autre petit loup crème. L'autre en revanche nous est d'aucune utilité car il a déjà un alpha mais il est une bonne source de divertissement surtout lorsqu'on le met dans la cage et qu'on le force à combattre. Il a un don inné pour ça malgré sa condition d'alpha. Bon voyage le clébard.

Puis l'homme fini par me lâcher et le gardien me tire rapidement vers le wagon. A cause de l'autre psychopathe j'ai perdu de visuelle Lewis et Max. Les faits que m'ont raconté l'homme me glace de sang. Le concept que Lewis soit utilisé comme un bout de chiffon m'attriste. Pareiil pour Max. Ils vont nous vendre et je ne peux rien faire. Le gardien me fait rentrer dans le wagon 7.

Une fois dans le wagon, le gardien attache l'une des chaînes d'un côté et l'autre de l'autre côté

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Une fois dans le wagon, le gardien attache l'une des chaînes d'un côté et l'autre de l'autre côté. Puis un enfant est jetté à bord et le gardien ferme les bareaux de la cage puis la porte du wagon. Nous ne sommes plus éclairer que par une lampe torche et une faible lumière suspendu au plafonds. Mon regard se pause sur le jeune enfant. Il a une entaille à la joue et des bleus au poignée. Le jeune garçon brun me fixe. Je le vois tremblé un peu mais pas de peur mais de froid. Je jeune garçon doit avoir entre 10 et 12 ans. Le brun se lève et part vers le fonds de la cage et se saisit d'un brosse.

Petit brun : Mon patron m'a dit que tu serais tranquilisé jusqu'à la fin du voyage alors je vais te faire une beauté. Je suis payé pour ça.

Puis il commence à broser mon pelage avec sa brosse. Mais la masse de boue collé à mon pelage semble ne pas vouloir partir. Alors le petit part chercher du savon et un seau d'eau et commence ma toilette. Même si l'eau était gelé, cette douche m'a fait du bien je me sent plus léger.

Petit brun : Je m'appelle Théo, je suis un bêta. D'après Mr Hudson tu es un oméga. Je n'avais jamais vu un loup-garou avant. Tu sais je n'ai pas le droit de te le dire mais après le train tu partiras en bateau jusqu'en Angleterre. Je vais te suivre jusqu'à ce que tu sois vendu et après je vais aller m'occuper d'autre loup.

Je ne peux pas lui parler à cause de ma musolière mais j'ai comme une impression qu'il crois que je suis un petit toutou mignon de compagnie. Il me fait aussi un peu de peine le petit.

Théo : Si je ne suis pas mis dans le lot de vente avec toi je pourrais enfin partir.

Ces gens sont vraiment des monstres. Puis une grosse chaleurs m'assaye. Je comme à avoir super mal au ventre. Chaleur de crotte. Le petit me voie puis fonce vers une boite de medicament. Il saisit des comprimé et se redirige vers moi. Il enlève la musolière et m'enfonce le supresseur dans la gueule. Je laisse une larme coulé puis finit par être terrassé par le médicament. Théo me fixe avec pitié.

Théo : Je suis désolé mais je n'ai pas le choix si je ne leur obéit pas, ils vont me tuer moi et ma famille.

Moi : Lando

Théo : Quoi ?

Moi : Je...je m'appelle...Lando

Puis le médicament eu raison de moi et je m'endort sur le plancher moisie du train. J'espère sincèrement que Carlos va venir nous sortir de là. Il va venir surement pour Lewis mais j'aimerais qu'il vienne pour moi aussi. Je m'endort avec la boule au ventre. J'espère que Max ne souffre pas de ses chaleurs et que Lewis va bien.

A suivre...

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