A Newtmas Story [arrêtée]

10. Partie, ou ne rien dire.

NDA.
Oh m'y goooood. On a atteint les 2k, et les 300 votes sont passés, se qui fait une moyenne de 200 vues et 30 votes pour chacune des parties précédentes... Merci beaucoup, j'vous love ❤
Mon histoire "DYLM∆S LOVE" va être traduite en russe par helene3377 c'est ti pas trop bien !? ^^
Ah ouais, et j'ai un recueil d'Imagines que je viens de poster. Je les traduits seulement, mais ils sont super !

Pdv Newt.
Je ne sais pas ce qui m'a prit. Je suis trop con, j'aurais du refuser, l'envoyer chier. Mais non, j'ai accepté. Et maintenant, me voilà devant sa porte, les mains moites, hésitant à sonner. Je songe d'abord à faire demi-tour, mais je n'y arrive pas. Alors j'appuie sur la sonnette.

Ding Dong.

La porte s'ouvre sur Thomas dans les quelques secondes qui suivent. Il a les cheveux en bataille, encore plus que d'habitude, il porte un simple t-shirt blanc et un jogging. Les yeux encore remplis de sommeil. Il doit être du genre à se lever tard, parce qu'il est 11:47 et que moi, je suis levé depuisqu'il est 9:24 exactement.

- Salut, il marmonne, la voix pâteuse. Entre.

Je passe le palier et il ferme derrière moi. Déjà de dehors, la maison semblait neuve et bien entretenue, mais à l'intérieur, il régne un ordre et un propreté à faire mal aux yeux tellement ça brille.

- Bon, voilà, c'est chez moi. Y'a personne jusqu'à ce soir.

J'hoche la tête et le suis tandis ce qu'il monte les escaliers et passe une porte sur laquelle est écrit Thomas avec une police destroy, un tag fait main. De l'autre côté, c'est comme un autre monde. Si on voyait une photo de la chambre à côté d'une du salon, on ne pourrait pas deviner que c'est dans la même maison. Le seul point commun est la parquet en bois ciré et les murs blancs. Au sol, un tapis rouge sang et recouverts de vêtements en désordre. Partout, sur le sol, le bureau, on peut voir des photos style polaroïd et des comics comme DC comics, Marvel... Seul le lit est épargné, mais lui est défit, la couette en boule sur le nord du lit, contre le mur. Thomas allume la console et s'assoit sur le bord du matelas, il saisit la manette et commence à jouer. Je ne sais pas quoi faire, je suis debout au milieu du bordel, en regardant le brun jouer. Au bout de quelques minutes, je m'assois à côté de lui, et sans même que j'ai besoin de demander, il me passe la seconde manette, et je joue avec lui. Jeu de combat, de course, ou de stratégie, on les enfile et au fur et à mesure, l'ambiance tendue qu'il y avait quelques minutes plus tôt s'évapore pour laisser place à la compétition et aux vannes. Je dois avouer qu'il est bien plus fort que moi. En même temps, je n'ai pas de console chez moi.
Au bout d'un moment, j'entends mon ventre gargouiller. Je regarde l'heure.

12:53

Je pose la manette et me lève en m'étirant.

- J'ai faim aussi, fait Thomas en éteignant la console. On se fait une pizza en ville ?
- Ça me va, j'acquiesce.

***

- Une chèvre-miel et une mexicaine ?
- C'est pour nous !

Le serveur dépose les pizzas et on commence à manger. Je dois dire que la pizza que j'ai est excellente, le fromage de chèvre et le miel se marient très bien.

- Bonne adreche, hein ? me fait Thomas, la bouche pleine.
- Oui ! je réponds, avant de prendre une bouchée de ma part.

Le reste du repas se fait en silence, à se régaler et pour moi, à écouter le conversations autour de moi. Deux amies discutent de ce qu'elles vont faire ce soir, une fête apparement. Un couple gronde ses enfants qui font trop de bruits, une fille et deux garçons d'une vingtaine d'années se disputent gentiment... On voit tellement de gens différents dans les restaurants, c'est amusant. Je jette un regard au brun, face à moi, et je vois qu'il était en train de me regarder. Je lui souris et il sursaute. C'est moi ou il rougit ?

Pdv Thomas.
Merde. Il m'a vu. Merde. Pourquoi il m'a vu ? Et oui, qu'est-ce que je faisait ?
Je lui rend son sourire et je fini ma pizza.

- Vous avez bien mangé ? demande le serveur en récupérant nos assiettes.
- Très bien, répond Newt. L'addition ?

L'homme hoche la tête, repart et quelques instants plus tard, apporte l'addition. Je paye et on s'en va.