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Plongez dans l'histoire palpitante d'Érika et Kenaya, deux sœurs jumelles réunies après des années de séparation.
Entre un père absent, un amour interdit, des peines de cœur, et une sœur haineuse obsédée par l'homme...
Haut d'environ 1m90, cet homme incarnait une beauté saisissante, avec une silhouette musclée qui témoignait de sa force et de sa prestance.
Son regard sombre et perçant semblait capable de pénétrer l'âme de quiconque croise son chemin, révélant une profondeur et une intensité captivantes. Sa posture était empreinte d'une assurance tranquille, et chacun de ses mouvements dégageait une aura de confiance et de charisme...
Il jouerait bien dans les séries télénovelas, se dit Érika intérieurement.
— Mr Peralta, en se raclant la gorge : Si je vous ai tous réunis ici, c'est pour vous présenter Mr Victor Lombardi, mon nouveau chauffeur ainsi que ses deux filles. Je vous demanderai de bien les accueillir et de leur expliquer comment tout se passe dans cette maison.
— Le personnel, en chœur : D'accord Mr.
—Mr Peralta, en se retournant : Ah! Voici ma femme, Marlène et mon fils, Alexandro.
Alexandro scruta les deux jeunes filles. Elles se ressemblaient tellement qu'il se demanda qui avait-il rencontré tout à l'heure. Mais en regardant l'accoutrement de deux et la teinte de leurs cheveux, il le sut. Érika avait mis un jean et un polo; Kenaya, elle, une robe.
<Celle qui m'a mordu la main était vêtue d'un pantalon, si je m'en souviens bien>, se dit Alexandro.
Puis il foudroya Érika du regard.
Cette dernière baissa la tête gênée, car elle conclut que le fameux Alexandro l'avait distinguée de sa jumelle.
Le lendemain...
— Bonjour ma belle
— Bonjour euhh...
— ...Cédric. Je m'appelle Cédric. Je suis le jardinier.
— Enchantée. Kenaya, lui dit-elle son prénom en lui tendant sa main qu'il serra à son tour.
— J'ai cru te voir t'à l'heure avec une autre coupe et une autre couleur de cheveux et d'autres vêtements, dit Cédric.
— Tu as sûrement vu ma jumelle Érika.
— Oulah ! Vous vous ressemblez comme deux gouttes d'eau!
— Si tu l'dis. Bon! Je dois y aller.
— Ravi d'avoir fait ta connaissance Kenaya.
Elle sourit juste comme réponse.
Dans la chambre des jumelles...
— Alice : J'imagine comment tu peux te sentir en ce moment ma puce, mais dis-toi que cela est arrivé pour que tu te rendes compte de qui était réellement Cameron, dit-elle.
— Érika : Mais ça me fait tellement mal ! Je l'aimais... Je l'aime Alice et c'est ce qui me fait encore plus mal. Ce qu'il m'a dit résonne encore en boucle dans ma tête. Il n'a même pas pris la peine de me contacter pour s'excuser tu t'y imagines ?
— Alice : Hey, ma chérie! Il ne mérite pas toutes ces larmes! Je m'en veux tellement de vous avoir mis en contact. Mais tu sais quoi? Qu'il aille au diable ce p*tain de Cameron ! Je te propose qu'on aille peindre, qu'en dis-tu?
—Érika, en faisant un léger rictus : Pour que tu refasses la bêtise de la dernière fois ? Tu avais juste renversé de la peinture sur le tableau lol.
— Alice : Mdr ! Avoue que ç'avait donné quelque chose de beau. Toi, peindre, c'est ta passion et pour te changer les idées c'est ce qu'on fera. "Quitte à me salir mes magnifiques ongles!", dit-elle en mettant la main sur son front comme pour montrer son malheur.
Érika éclata de rire.
— Alice : Tu vois ? C'est quand tu veux. Allez viens!
Du côté de Kenaya...
— Je suis quand même venue malgré le fait que j'aie dit ne plus jamais te revoir Brian, alors arrête de tergiverser et accouche, s'empressa de dire Kenaya.
— Toujours aussi directe. Mais entre nous, ne joue pas à la fille dure et stricte avec moi Kenaya, dit Brian en chuchotant. Tu es là parce que je t'ai parlé de pognon ma beauté, ce que tu aimes par dessus tout.
— Brian?
— C'est bon, c'est bon. Soyons sérieux maintenant.
— Je suis tout ouïe.
— Je dois te présenter quelqu'un
— Qui ça ?
Kenaya entendit des pas derrière elle. L'homme inconnu s'avança vers eux et prit place.
— L'inconnu, en regardant Kenaya : C'est fou comme elle lui ressemble comme deux gouttes d'eau!
—Kenaya : Je te demande pardon ?
L'inconnu observa Kenaya un court instant. Il comprit qu'elle était en fait la jumelle d' Érika et qu'elle ne le connaissait pas, puis il se ressaisit.
— L'inconnu : Bonjour Kenaya. Bon! On ne tournera pas autour du pot. Je m'appelle Cameron. J'avais besoin de quelqu'un pour un service et Brian m'a parlé de toi.
— Kenaya : Et ?
— Cameron : Je compte détruire la famille Peralta et j'aurai besoin de ton aide.
— Kenaya : Qu..oi ??
Pendant ce temps, Alice et Érika étaient en train de peindre... Érika avait pu se changer les idées grâce à la séance de peinture qu'avait proposé Alice sans vraiment elle-même y prendre part.
— C'est très beau ce que vous faites Mademoiselle Érika; dit Jade, la gouvernante.
— Merci, Mme Jade. Et s'il vous plaît, appelez-moi juste Érika et tutoyez-moi, dit-elle en souriant légèrement.
— D'accord Érika. Je suppose que toi, tu es une amie d' Érika..., demanda Jade à Alice.
— Oui Mme.
— Bien! Je ne vous dérange pas plus longtemps, bonne continuation.
— Mais non, vous ne nous dérangez pas. Merci, dit Érika.
Érika avait peint une femme qui embrassait son reflet à travers un miroir. Un peu comme ceci:
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Du côté de Kenaya, Brian et Cameron...
— Kenaya : Qu..oi ?? Tu rigoles là ?
— Cameron : Je n'ai jamais été aussi sérieux de ma vie.
— Kenaya : Attends une minute. Mais pourquoi tu ferais ça ? Et pourquoi je t'aiderais moi? Brian, c'est quoi cette histoire ?
— Brian : Kenny, écoute-le. Tu te souviens de mon pote venu d'ailleurs dont je t'avais parlé ? Bah c'est lui.
— Cameron : Tu vas m'aider à prendre une brosse à dent ou un peigne qui appartient au vieux Peralta.
— Kenaya : Mais pourquoi ??
— Cameron : Je compte faire un test ADN.
— Kenaya : Comment ça ? Écoutez! Expliquez-moi clairement les choses parce que là je ne vous suis plus, s'impatienta-t-elle.
