Chapitre 18

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• VALENTINE •

📍 Barcelone
🗓 Samedi 18 mars

Neuf heures.

C'est l'heure qui est indiquée sur mon téléphone. Je réveille les filles dans l'intention de nous préparer et de rejoindre les garçons au salon.

Une fois tout ça de fait, nous nous dirigeons vers le salon.

- Coucou !

- Bien dormies ? demande Pedro.

- Grave bien, dis-je en faisant la bise à mes amis et en embrassant mon copain.

Nous discutons tout en prenant le petit déjeuner.

- Gros ? tu veux rester avec moi ici aujourd'hui ? Je ne peux pas marcher trop longtemps, lance Raphael à son ami Victor.

Ce dernier accepte en demandant l'avis du propriétaire.

- Ouais, mais comme j'ai dit hier; je ne veux pas voir ma maison sans dessus dessous, ne ramenez personne, ne partagez pas votre localisation.

Les deux acquiescent tout en le remerciant.

- Merci Pedro, lance mon copain.

- Continue à m'appeler Pedri, je préfère.

Rapahel acquiesce sans rien dire pour la seconde fois, quand, soudain, je remarque Pablo arriver de la porte d'entrée.

- Ah ! Mec ! Tranquille ? lance Pedro en voyant son meilleur ami débarquer dans la salle à manger.

- Bien et vous ? Comment vous allez ? demande-t-il à l'intention de mes amies et moi.

Il passe faire la bise à tout le monde et Pedro lui demande s'il veut déjeuner.

- Ça va, merci, j'ai déjà déjeuner chez Aurora, lui répond-il.

Au même moment où Pablo prononce les derniers mots de sa phrase, Raphael lâche son verre sur la table, heureusement que celui-ci était vide.

- Désolé, ma main a lâché, lance-t-il sans un regard.

Après le petit déjeuner, Jules nous rejoint et nous finissons de nous préparer. Ensuite, nous disons au revoir à Raphael et Victor et rejoignons les voitures.

Assise dans la voiture de Pedro avec Ava et Pablo, celui-ci nous annonce ce que nous allons faire dans la journée. Ava sort son téléphone pour rechercher sur internet et me montre son écran, alors, pour mieux regarder, je pose ma main sur le siège du milieu et sans que je n'attende quoi que ce soit, Pablo vient glisser la sienne sur la mienne. Je détourne mon regard vers lui en retirant ma main de son emprise.

Je lui souris timidement pour lui faire comprendre que je suis navrée mais ça ne se fait pas, je suis en couple et ce matin il était chez une fille, je ne comprend pas à quoi il joue.

~

La visite s'est très bien déroulée, ma galerie photo en est remplie de souvenir et mes yeux ne sont qu'admiratifs. Assise sur une chaise d'une terrasse pour nous hydrater, les garçons se font interpeller par des fans, ils prennent quelques photos avec et lorsque nous voyons qu'il y en a presque plus, ils se mettent à parler de foot et du match de demain soir.

Maïa leur demande s'ils se sentent plutôt positifs ou non pour la rencontre.

- On va se montrer fort car on l'est mais, oui, je me sens plutôt positif sur le match et le résultat, lui répond Jules.

𝐉𝐔𝐒𝐓 𝐀 𝐃𝐑𝐄𝐀𝐌 - 𝐏𝐀𝐁𝐋𝐎 𝐆𝐀𝐕𝐈Où les histoires vivent. Découvrez maintenant