Chapitre 12

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Il s'approcha de moi avec le couteau, je sentis mon cœur battre mais je fit mine de rien.

-Je sens ton cœur battre sa ne sert à rien de vouloir jouer la fille forte.-Dit-il en souriant.-

Il prit le couteau et il me le mit sur ma jambe. J'étais en survêtement oversise, heureusement car je ne voulais pas être dénudée face à lui.

-T'es habits sont très modestes.-Dit-il en me regardant de haut en bas.- Remonte ton jogging au niveau de ta cuisse.

Je le regarde ahurie et je mit mes mains sur mon corps par choque, non non je ne veux pas me faire...

-Violer ?! Tu n'es pas sérieuse là, jamais je n'ai eu à faire sa et jamais je le ferais rassure toi sur ce point je suis un homme bien.

Il lit dans mes pensée ce n'est pas possible, j'acquise de la tête et je remonte mon jogging du bas vers le haut, comme il le demande au niveau de ma cuisse a contre cœur. Une jambe est dévoilé.

En voyant ma jambe, sa tête se se décomposa et il
émit un souffle, je sais que je n'est pas le plus beau des corps, je m'en moque et je ne veut pas surtout pas l'attirer.

L'interrogation va commencer... et je sens que sa ne va pas être de tout repos.

POV Massimo

Ont ne va pas se le cacher, c'est une très très belle femme... Putain si ce n'était pas la fille de Fabrizio, je...non non je ne veux rien d'elle.

Je reprends mes esprits, et je la regarde dans ses yeux yeux vert rare, son procès va enfin commencer.

-Pour commencer Sawsen ou devrait-je dire Inaya ? Ou Tania ? Pourquoi ces trois prénoms ?

-Avoir trois prénoms c'est commun.

-Oui mais pour toi c'est différent donc réponds si tu ne veux pas que je te plante dans ta si jolie cuisse sa serait dommage de l'abîmer non ?

J'avais difficilement ma salive du à sa menace.

Je m'attendais à pire comme question que des questions sur mes prénoms, après c'est le début aussi...

-Mon premier prénom c'est Inaya suite à la mort de mon père, j'ai préféré qu'ont me nomme par Sawsen mon deuxième prénom. Et Tania c'était le prénom de ma grand mère, tout simplement.

-La mort de ton père ? Ton père se fais passer pour mort mais ne l'es pas. Pourquoi tu pense cela ?

-Je je...en faite je ne sais même pas. Chaque fois que je parle de mon père je ne sais pas si je dois utiliser le mot "disparus" ou "mort.

-Développe.

-Ont c'est fait cambrioler, mon père a reçu une balle. À l'hôpital ont n'avait pas accès à sa chambre, ensuite nous avons trouver le moyen d'y rentrer  mais il n'y étais pas. Il n'étais pas dans cet hôpital. Ma mère et moi avions enterré un cercueil vide...-Dit-je avec un haut le cœur.-

-Oui, une mise en scène digne d'un film hollywoodienne quoi.

-Non en aucun cas c'était une mise en scène...je ce n'est pas possible il a reçu une balle ! Par ma faute.. en plus.

-Par ta faute ?

-Il ne fallait pas bouger sinon ils allaient tirer...et un des cambrioleurs, voulais voler le porte feuille de mon père... et mon père n'avait pas d'argent il travaillait dans un restaurant puis il a arrêter du coup même si ma mère travaillais, ont avais plein de dette c'était compliqué. Alors du haut de mes six ans j'ai voulus sauver mon père, dès que l'homme s'était approcher de papa, j'avais accourue vers lui. Mais il ne pouvais pas tirer sur moi car je n'étais qu'une enfant...du coup...il a tirée sur papa...J'ai étais qu'une pauvre idiote...

Tout s'explique, et je commence à avoir du mal à croire qu'elle c'est quelque chose elle... ou essaye t-elle de me tromper en racontant des baliverne ?! La salope.

-Ton père ? Fabrizio qui n'a pas d'argent ? Ahahah.-Fi-je en m'esclaffant.- Tu rigole là ?

-Non non je ne mens pas, je ne vois pas ce qui a de drôle d'être dans la difficulté financière... je vois que sa ne concerne pas à toi...

-Tu veux dire quoi par là ? Tu crois que dans ma vie j'ai toujours rouler dans de grosse voiture ? Tu te trompe, j'ai connus la difficulté la merde mais tu n'a pas à savoir sa de moi comme tu le dit sa ne concerne pas donc tu va gentiment éviter de sortir des remarques a mon égard, sinon je vais vraiment finir par te planter.

C'est vrai depuis le moment où je l'a menace je ne passe pas à l'action... cela m'étonne de moi car chaque fois que j'ai des prisonniers je ne me gêne pas du tout je l'es plante de partout sur le visage le corps, je les rues de coup, je l'es frappes, je l'es brûles aussi... bref et avec elle je me retiens ? Mais reprends toi Massimo !

-Je... ne savais pas.-Fit-elle d'un ton neutre.-

-Bien, maintenant tu m'écoute. Ton père n'est pas un cuisiner, et pour lui c'est impossible d'avoir des dettes car c'est le chef de la mafia Joligandaise et qu'en plus de sa il nous a voler une somme colossale.

-Mais...non non non je ne veux pas y croire.... Ce n'est pas possible... Ce n'est pas possible... une mafia ? La mafia ? Non non... arrête.-Dit-elle choquée en respirant fortement.-

-Tu joue bien ton rôle, tu crois que tu vas me berner ? J'en ai eu à faire à des cas comme toi sa ne marche pas cette solution donc sois tu coopère sois

Je prit mon couteau et je lui planta dans sa magnifique cuisse, avec de grosse cuisse comme celle-ci je ne pense pas que sa lui fait mal ah ah.

Elle se mit à hurler de douleur, je n'en ai rien à faire. C'est une menteuse elle essaye de me faire croire qu'elle est au courante de rien.

-Je déteste qu'ont me prends pour un imbecile sache le.-Dit-je en retirant le couteau.-

-Non... je ne mens pas...je...ne savais pas...je ne sais rien...

-Mais oui c'est sa, en plus je vois que ta une belle trace juste à coter de ma blessure donc tu a déjà étais amener à être confronter avec quelqu'un j'imagine ?

-Parle allez !-Crié-je.-

-Le talon...de ma mère...

-Ah ta mère ta planter avec son talon c'est sa que t'essaye  de me dire ? Fabrizio aime les femmes de caractère tient bref je ne m'arrêterais pas de te faire du mal tant que tu n'es pas sincère ok ?!

-Je ne mens pas putain de merde...Si tu pense que tout le monde te mens c'est que ta des problèmes au fond... Ont ta trahis je pense... Félicitation à la personne... maintenant que tu sais que c'est toi le soucis va te faire soigner. T'es un...fils de pute.-Lâcha-t-elle.-

Ni une ni deux, je pris son bras et je l'a traîna au sol jusqu'à arriver dans l'angle de la pièce où y a des chaînes, je plaça les chaînes en haut et je l'attache de sorte à ce que ces mains soient suspendues en haut et du haut de ses un mètre soixante cinq c'est à peine si elle touchait le sol même si le plafond n'est pas haut.

Cette vicieuse cette salope va regretter ses dires et ses insultes, personne a oser me tenir tête comme elle le fait.

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Heartless Où les histoires vivent. Découvrez maintenant