On dit toujours « ce que femme veut Dieu le veut » alors évidemment, je m'exécute afin de satisfaire une nouvelle fois ma femme... La voir me déshabiller timidement me rend encore plus fou d'elle. J'ai aimé des femmes timides, des femmes entreprenantes et même des femmes sauvages mais là c'est un degré encore au-dessus de l'amour. Je vénère mon âme-sœur, je la porte aux cieux, elle est et sera dorénavant toute ma vie...
Une fois nu allongé près d'elle, je deviens moi aussi fébrile ! Où est passée mon assurance ? J'étais sérieux quand je parlais de ne pas tenir longtemps, j'ai pu constater l'étroitesse de sa féminité et maintenant qu'elle regarde mon érection avec horreur, elle doute même de la possibilité de la chose :
- Tu ne vas pas...
- Rassure-toi je serais doux ma chérie.
- Non ! non, tu ne vas pas rentrer ça dans ...
- Ok ! alors laisse-moi simplement te faire plaisir avec mes mains ?
- Ça, d'accord...
Je recommence doucement à embrasser ma déesse, afin de l'apprivoiser. Je sais qu'une fois dans l'ambiance, elle me demandera elle-même de venir cueillir sa fleur, peu importe la taille de mon... sécateur !? Oh la métaphore est mauvaise !!! heureusement que je ne l'ai pas dit tout haut... Ma douce Dolly recommence à se tortiller et contre toute attente, elle empoigne ma queue, qui était déjà bien énervée. Ne sachant trop quoi faire, je lui montre avec ma main posée sur la sienne de quelle façon elle peut elle aussi me faire plaisir, si tel est son souhait. Et ce doit l'être car ma déesse ronronne de plaisir face au pouvoir qu'elle sent avoir sur moi.
- Ça te plaît ?
- Beaucoup ma chérie, mais je devais me concentrer sur toi normalement...
- Alors ne t'occupe pas de moi, je gère...
Hum, elle prend de l'assurance et j'adore ça. J'adore tellement ça que je commence moi aussi à grogner de plaisir pendant que je dévore sa délicieuse poitrine. Mes caresses sur sa féminité se font moins précises... Sans réfléchir, les mots sortent tout seuls :
- Putain bébé, c'est trop bon, j'ai trop envie de toi...
Et contre toute attente :
- Oui viens mon amour, viens...
- Tu es sûre ?
- Dépêche-toi avant que je change d'avis !
- Je ne ferai rien que tu ne désires ma douce...
- Viens !!!
Ok, ok ! elle s'énerverait presque ! Alors fébrilement, je me glisse entre ses cuisses et trouvant sa douceur trempée de désir, je caresse l'entrée avec mon gland. Rien que ça, lui coupe le souffle :
- Respire bébé, je serais doux.
- Je t'aime Vicente, et j'ai confiance en toi.
- Je t'aime aussi Dolorès, et pour le restant de nos vies.
Sur ces jolies déclarations, j'entre doucement en elle, embrassant chaque centimètre de son visage, jusqu'à sentir la barrière de sa virginité céder sous l'assaut de mes légers coups de reins. Je viens recueillir d'un baiser une petite larme qui s'échappe sous le coup de la douleur furtive, puis recommence doucement mes va-et-vient :
- Ça va aller mieux bébé maintenant...
Elle hoche la tête puis se perd dans l'exploration de mon cou qu'elle lèche et embrasse, jusqu'à ce qu'elle commence même à mordre, sa respiration devenant difficile et ses soupirs se transformant en délicieux gémissements :
- Ouiii, oohh ouiii Vicente...
- Ça va mieux ?
- Oui c'est bon mon amour...
- Pour moi aussi c'est délicieux ma chérie...
Je savais que ma performance pour notre première fois ne serait pas glorieuse et effectivement, ma queue bien trop à l'étroit dans le doux fourreau de ma femme est bien trop à son aise et c'est dans un mélange de cris et de gémissements que nous gagnons le paradis... N'y tenant plus, pendant l'orgasme, mon loup, Guerriero sort de la surface pour marquer sa femelle. Je ne m'y attendais pas vraiment, normalement Guerri fait ce que je lui demande, il ne prend jamais d'initiative, mais là, il a clairement décider, et sans que j'aie le temps de prévenir Dolorès, je plante mes crocs dans la chair tendre de son coup et la marque à tout jamais comme mienne... Dolly qui redescend à peine de son nuage de plénitude me regarde avec les larmes aux yeux, merde j'ai dû lui faire mal soit en la marquant soit en la... enfin, j'vous fais pas un dessin ?
- Pardon bébé désolé, je t'ai fait mal ?
- Ce sont des larmes de bonheur mon cœur, des larmes d'amour... je suis à toi, à toi pour toujours...
- Pour toujours ma déesse, je t'aimerai pour la vie...
- Je t'aimerai pour la vie aussi Vicente... Mais je ne sais pas comment te marquer, qu'est-ce qu'il faut faire ?
- Ta louve saura le moment venu ma chérie, on a le temps...
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Le frère de l'Alpha
WerewolfVicente, le frère de l'Alpha Lorenzo, rencontre son âme sœur et devient le Zêta de la Meute Mediterraneo.