Chapitre 5

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14 Février 2016: Le second choix

C'était jour là. Ce jour ou j'avais été le voir pour lui avouer ce que mon cœur ressentais pour lui, à ce garçon se prénommant Lohan. Ce garçon si beau avec son humour si majestueux.

Je m'étais avancée vers lui le cœur léger, j'étais prête, prête à faire le grand saut. Pas à pas j'avançais plus déterminé encore. Je me tenais devant lui et  je lui dis cette phrase;

– Je t'aime lohan.

Il m'avait regardée avec un regards surpris ses yeux bleu reflétaient  l'incompréhension. Il me dévisageait et me répondis d'une voix monotone

– J'ai déjà demandé à Kiara si elle voulait sortir avec moi, si elle me dit non je sortirais avec toi.

Mon cœur se fendu en deux, il ne m'aimait pas il voulait juste être en couple avec quelqu'un mais moi je le voulais le vrai amour, celui avec qui on reste pour toute la vie. Mais non, personne ne partageait cet avis. J'étais seule, et je le resterai toute ma vie.

– D'accord. J'avais répondue gentiment sans montrée le côté brisé de mon âme. Il s'était éloigné sans doute partie rejoindre sa valentine.

Assise sur un banc, je les regardait se béquetait, kiara me voyait bien évidemment et me narguait de son sourire narquois. Qu'avais t'elle de plus que moi ?
La vie n'est pas simple et je m'en suis rendue conte ce joue là, je serais toujours le deuxième choix, on ne me désirerait jamais.

Ils se béquetait et moi j'étais là sur un banc à les regardait faire, j'étais lâche et ma confiance que j'avais en moi m'avais quittée subitement. Je n'avais plus d'estime pour moi, c'était finit, il suffisait juste de ça pour qu'un monde s'écroule.

J'étais jeune et quand on est jeune on ne voit que les bonnes chose jusqu'au jour où vôtre monde s'écroule, mon monde est mort juste à cause de ce garçon. Je croyais en cet amour, je croiais en nous. Maintenant je ne croirait plus en l'amour avec quiconque.

Je me dirige vers un autre endroit que la vue de ses deux zigottos. Lohan je ne l'aimerait plus je me l'interdis. Mon cœur n'existe plus c'est finit. Une larme quitte mon œil et avance le long de ma joue puis atterrit avec son goût salé dans ma bouche. Je me dirige à pas lent vers les toilettes comprenant encore et encore que cette fille, Kiara qui me pourrie la vie depuis des années, à toujours quelque chose de mieux, de mieux que moi.

J'atterrit dans le couloir des toilettes en larmes, pourquoi tout cela pour moi. J'ai beau me convaincre que je suis forte mais là je me sens  nul et idiote d'avoir pensé qu'il pourrait être avec moi. Mon cœur se déchire une nouvel foi quand je prononce ses mots pour moi même;

– je me déteste, je veux mourir.

– Oui c'est vrai que tu devrais crever, tu ne sert à rien ! Une voie a parlait et je me fige en la reconnaissant, elle qui m'a volé l'amour de ce mec, qui a rendu ma vie en un enfer sans nom. Je préférais me faire manger par cerbère que de finir ma vie en pensant à cette fille qui me l'a brisé.
Elle s'avance et allume le robinet, bouche le conduit d'évacuation, puis quand l'eau est assez rempli pour cette fille de l'enfer, elle m'attrape par les cheveux me traîne, j'essaye d'hurler mais aucun son ne sort de ma bouche;

– Tu la fermes, compris ! Me dit elle sèchement.
Mes cheveux brun dans le creux de sa main, j'ai peur, je me fais traîner  mais je ne fais rien, je ne me débat pas. Je suis une lâche et elle le sait visiblement car son sourire en coin vient d'apparaître sur son visage. Elle me tire vers le haut et je me remets sur pieds je la regarde en pleurant, des larmes déferlent le long de mes joues, tombant sur le sol ensuite. Elle me regarde avec ses yeux marron,

– Tu n'es qu'une moins que rien olympe et puis tu ne sert à rien, va crever ça nous fera à tous du bien. Elle me crache dessus, et elle en a rien à faire, elle ne fait que rire pendant que je meurs à petit feu. J'essaye de nous séparait mais venant voir venir ma technique elle sert de plus ses doigts à travers mes cheveux.

– En plus tu t'es imaginée pouvoir sortir avec Lohan alors que tu es moche, et que ton existence ne sert à rien. Elle attrape ma tête, la fourre dans l'eau glacé et essaye volontairement de me tuer. Elle me relève la tête je respire elle me regarde et me lance en chuchotant vers le creux de mon oreille,

– Je ne vais pas te tuer, je veux juste te voir souffrir.

Nous étions jeune et elle était redoutable, elle avait la domination sur moi et elle s'en servait, elle le savait que j'avais peur.
Je me met à trembler, mes jambes bougent j'en ai perdu le contrôle. La porte grince, kiara me lâche et fait semblant de me parler comme ci elle me consolait, elle me pose des questions comme, Pourquoi tu pleures tout va bien ? J'aperçois ni un sauveur ni un enseignant, je vois juste les deux pestes amies avec kiara, voyant elle aussi ce spectacle elle me rattrape la tête et la refourrent dans l'eau. Elle la laisse trop longtemps, j'ai  beau essayé de lui résister sa force et bien trop supérieur. Je me suis toujours demandée pourquoi elle me faisait ça à moi, je me suis dis qu'elle pouvait souffrir mais elle m'avait dit un jour que c'était pour le plaisir, ou car elle s'ennuyait.

Des larmes arrivent à couler le long de mes joues alors que je suis plongé dans l'eau, devant se spectacle aussi violent qu'un meurtre en lui même, une de ses copines lance à mon agresseuse,

-Mais kiara arrête tu vas la tuer.

Celle à qui est adressait la phrase, me relève la tête et je vois la terreur dans ses yeux, pourtant son amie a peur ça se voit mais elle se contrôle et rétorque encore

– Arrête j'ai dit ! Je supporte cela depuis trop longtemps, tu la lâche maintenant, je t'en prie. Un soupire se fait entendre et kiara réponds avec son arrogance naturel

– Tu veux finir comme elle conasse !

Elle me laisse tomber sur le sol, et Anna, la copine de kiara s'en va, elle se tire mais elle avait pris ma défense pourquoi part t'elle, un spasme de sanglot me secoue, et je m'éloigne en rampant vers le fond du couloir, kiara me voit et m'ordonne de revenir mais pour la première fois de ma vie je secoue la tête, je la regarde et je lui dit un ultime non qui pour moi veut tout dire, dans ce mot je verse ma haine et me détresse, elle me toise durement mais je ne flanche pas, je fais un pas vers elle mais elle n'est pas intimidée, je la regarde durement et elle lève les yeux au ciel, juste ce moment m'a rassurait. Je sais que j'en suis capable désormais, que je peux lui tenir tête ce n'est en aucun cas si compliqué j'ai juste à me débattre à dire non. Pourtant je sais qu'au fond de moi, je ne pourrais pas, elle connais chaqu'un de  mes point faible de toute façon,  je ne suis qu'un livre dans lequel elle déchire chaque page.

Anne reviens accompagné de mon sauveur, un enseignant vint à ma rencontre, Il pose ses mains sur ss épaules et je ressent un poix s'évaporait de mon corps, ce professeur à le regards doux

– Tout va bien ? Me demande t'il,sa voix est si chaleureuse. Je fait un signe de tête.

– Tout va bien se passée.

Il se lève et au fond de moi je crie, je ne veux pas qu'on me laisse encore seule. Je redresse traverse les toilettes, courent vers l'infirmerie où je me sens en sécurité. Je ne toque même pas, j'ouvre la porte brusquement, l'infirmière émet un sursaut et elle me voie, les cheveux à moitié trempé, les yeux rouges et les larmes séchée de mes joues. Elle s'avance tendrement vers moi, me prends délicatement dans ses bras.

J'ai toujours aimé cet endroit car c'est le seul endroit ou on ne me trouver jamais. Je pouvais être libre mais également car l'infirmière était la seule au courante de ce que j'endurais tout les jours et elle m'aidait, comme elle le pouvait mais elle m'aidée, et pour moi ça contait beaucoup.

Une journée que j'espérais bonne se transforme comme tout les jours en un enfer immense comme jamais. Cette vie finira par me tuer ou je me tuerais moi même. Cette vie n'est pour moi qu'un fardeau qui ne sert qu'à me briser, des millers de gens sont heureux et moi je souffre, je ne suis qu'une exception à la règle pourtant être l'exception veut juste dire finir tout seul pour le reste de sa vie. Beaucoup de monde se font harceler je le sais mais ma douleur est trop grande pour que vous l'imaginait. Mon cœur s'est de nouveau brisé mais plus à cause d'un garçon juste à cause d'une fille qui fait ça pour le plaisir, le plaisir de la souffrance.

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