Un rêve, n'est qu'autre un songe que l'on veut transformer en sa vie, et un cauchemar ce n'est que le fruit de t'es plus grande peur.
Bip ! Bip !
Ce n'est qu'autre que mon réveil interrompant le fruit de mes rêves et cauchemars multiples. Je repense à la dernière semaine que je viens de passer, je n'ai même pas eu le droit de sortir de chez moi. C'était ma punition pour être sortit de l'hôpital avec Luka. Cette journée magnifique, ou elle avait retrouvé une proximité proche avec lui, Il avait été effacé de sa mémoire mais revenait à petit feu, elle se rappelait de son enfance de chaque sourire qu'il lui avait donné quand il était petit, il ne manquait plus que la partie adolescence. j'y arriverais et même si j'en suis incapable je me bâterais pour cette vérité que je meurs d'envie de connaître. J'avais fait un bon, le son strident de mon réveil que je n'ai jamais pris bon de changer, ça m'aurait évité bien des journées de merde si je m'étais réveillée plus doucement.
Je m'éclipse de mon lit, le fais et me dirige vers mon armoire, j'opte pour un pantalon noir, large, comme toujours. Je me dirige vers mon miroir, me coiffe et me maquille rapidement.
Je descends les escaliers menant à la cuisine et je remonte subitement ayant oublié le plus important, mon livre, le livre que j'ai beau lire des centaines de fois me passionne autant, My missing piece, d'Acacia Black.Je m'assois cette fois sur un des tabourets présent devant le plan de travail, ma mère empile des pan-cakes sur une assiette, elle est de bonne humeur ça se voit, j'aime tellement la voir comme ça, elle est souriante et surtout rayonnant. J'aurais aimé être comme ça et ne plus me sentir autant lâche encore et encore.
J'enfile ma doudoune, entrouvre la porte, prends mon sac à dos et sort en regardant la neige déferlait dans le ciel gris. J'inspire et j'expire lentement. Aujourd'hui c'est comme hier tu as juste à sourire et out va bien. On a beau me répéter sans cesse de lâcher le masque que je porte pourtant c'est mon étiquettes sans ça je ne suis rien et mon cœur l'ai encore plus. Je pense à Luka, chaque pensée que j'ai est souvent rivée vers lui, mon meilleur ami. Je marche faisant craqué la neige sous mes semelles et mes cheveux sont désormais recouvert de millers de petit flocon ridicule. Je lève la tête et essaye comme tout les gamins qu'un flocon viennent toucher ma langue. Je continue ma marche. Regardant ce blanc rempli de bon sens et de pureté. Mon cœur que j'entends battre doit être heureux pour moi, sans doute.
Je descends la route menant à l'arrêt de bus, d'autres étudiant m'attende. Malheureusement je vois pas Jeanne ni Anna. Je vois par contre ce connard de Lohan. Mon cœur se brise encore et encore quand je le vois. Il porte toujours sa casquette qui lui procure un charme exemplaire. J'ai sus plus tard qu'il voulait devenir pote avec moi et j'avais refusé depuis ce jour quand je le vois il essaye de m'aborder, il a oublié le mal que sa meuf m'a cosé pendant des années, d'ailleurs il sont toujours ensemble mais moi je n'oublie rien. Et ses pensée qui sont les miennes me font vivre un enfer permanent, je voudrais qu'on me sauve, comme Anna l'avait fait ce jour là. Il me vois, et me fait un signe de la main, je lui envoie un léger sourire par politesse et me retournes pour qu'il reste dans mon dos.
La neige est à son comble, je ne vois même pas le bout de mon téléphone. Après 40 min d'attente pour le bus, je sais qu'il ne viendra pas. je me décide de prendre le chemin de chez moi ou non je préfère que mes pas me guide là ou je me sentirait bien.
Je traverse des routes et des chemins, je passe devants de multiples arbres enneigé et maisons. Je me retrouve dans un chemin, celui que nous avions empreintée avec Luka. Je savais que je finirais par ici, après tout avant de se quitter la dernière fois il m'avait dit, que si je voulais le voir je devais me rendre là-bas, juste pour le voir. J'aurais pu lui envoyer un texto ou un truc de nôtre époque mais non je lui faisant confiance, lui et sa voix douce et rempli de gentillesse. L'endroit où nous étions me parer si familier, comme si j'y étais allé toute ma vie. Pourtant ce n'est juste qu'un champ et un tronc d'arbre coupé et de la neige. Mais je m'y sentais en sécurité, je m'y sentais chez moi.
Des pas raisonnent dans ma direction, je me tourne et l'aperçois, lui, Luka. Mon cœur bat la chamade, et je me lève doucement, il lâche la rose qu'il tient dans ses mains, et me fait un léger signe de la main, il se gratte l'arrière du crâne à cause de sa bêtises. Une fois à mes côté il me tent la rose.
- Tiens c'est pour toi. Quand je suis passé vers le fleuriste j'ai aperçu cette fleur et je me suis dis qu'elle t'allait bien sa couleur orangée te vas bien.
- Merci c'est gentil.
Je suis gênée mais pas de sa rose ni de lui, je suis juste mal à l'aise quand on me donne quelque chose car je n'ai jamais rien reçu dans ma vie, je préfère gagner la reconnaissance des gens en leur montrant de quoi je suis capable plutôt qu'on me donne ceux dont je n'ai en aucun cas mérité. Une mèche atterrit sur le devant de mon visage et je n'eu même pas le temps de la remettre qu'il passe sa main sur ma joue et repousse ma mèche, il est si beau avec la neige qui tombe sur ses cheveux bouclés, il est si unique. je le regarde et inversement. Nous échangeons des messages à travers nos yeux.
Si c'est ça l'amour je souhaite ressentir ça toute ma vie.
Je ne sais pas ce qu'on qualifierait d'amour, il est mon meilleur ami, alors ce que je ressens n'est pas de l'amour c'est de l'amitié pure et dure. Je n'ai jamais vraiment ressentit de l'amour envers quelqu'un enfin je pense, si ce que Lohan m'a fait ressentir est de l'amour alors que pour moi ce n'était juste de l'attirance. Quand on est petit même nos amis sont nos petit amours, mais quand on deviens grand on apprend que ce n'est que de l'amitié ou de l'attirance physique ou mental. C'est comme avec les homme dans les livre, je mourrais d'envie d'embrasser, ash' mais surtout Liam. Cet homme capable. Pourtant mon cœur me dit que mon homme capable c'est lui avec sa paume sur ma joue et son regards perçant dans le mien. Il lit en moi, il voit mes défauts et mes peurs lui qui connaît mon passé comme sa poche peut être. Pourtant ma raison me répète que ce n'est que mon ami et que son cœur appartient sans doute à une autre. Cependant, je refuse de rompre un moment repli de cette complicité que j'aime. J'ai beau ne pas me souvenirs de tout les détail de sa vie à lui je sais juste par son attention envers moi qu'il ne m'en veux pas. J'ai toujours souhaitée quelqu'un de gentil avec qui partageait chaque poussière de mon existence.
Ça me rappelle le jour ou avec Jeanne on s'est rencontré, c'était pareil c'était magique. Luka prend ma main et me fait signe de me lever, mon téléphone sonne, je regarde sur ma montre et aperçois un message de la compagnie de bus, il nous prévienne que maintenant. J'enlève ma veste car j'ai chaud, je lance mon téléphone dessus, il m'imite, il prends ma deuxième main et commence à tourner, nos ressemblons à deux débiles ayant perdu quelque neurones mais aucun de nous deux n'a l'air de s'en soucier Nous tournons, nous ne faisons que cette chose banale mais juste ça me fait sourire et nous rigolons aussi fort que nous pouvons. Il me lâche et il s'écrase dans la neige et je fais de même, nous sommes mort de rire et j'en pleure, j'essuis mes larmes et me redressent, je le voix devant moi de la neige à la main. Je n'ai même pas le temps de bougeait que je me retrouve avec la boule de neige en pleine figure
- Non mais ! Criais-je en rigolant
– T'en veux d'autre ! S'écria t'il
- Non c'est bon !
Je n'eu pas le temps de m'essuyer le visage correctement qu'une autre atterrit sur moi.
- Pardon, après tout tu as dis que t'en voulait d'autre faudrait savoir !
Il rigolait tout ce qu'il pouvais et je faisait de même.
– Mais non j'ai dis non !
- Quoi j'entends pas !
Cette fois sans était trop, avec un sourire malicieux, je lui sauta dessus et on roula dans la neige. Mort de rire nous avancions à travers les flocons. Sa joie de vivre immense m'envahissait le cœur et l'entourait comme une couverture. Mon cœur de glace virevoltait comme une flamme à présent. Son sourire restait gravé dans le reflet de mes yeux.
Je le retrouvais mon démon.
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The sun of the moon
RomantiekSans lui, elle n'est rien, Son soleil, son sauveur divin. Son cadeau, son oxygène, Celui qui apaise ses peines. Pour lui, elle est sa lune, Qui éclaire ses nuits brunes. Pour elle, son cœur bat fort, Jusqu'à faire trembler son corps. Pourtant, là où...