chapitre 2

20 5 1
                                    


Vous connaissez se sentiment, se sentiment qui consiste à être perdue dans un monde qui vous est sensé être pourtant si familier. C'est ce que je ressens maintenant.

J'ouvre mes yeux noisettes lentement, je lève la tête et tout ce que j'aperçois n'est qu'un ampoule accroché par un fil sur le plafond blanc de la pièce. Je redresse ma tête avec une douceur que je ne pensais j'aimais avoir tellement j'ai mal au crâne. Je réalise que je suis allongé sur un lit dans un hôpital des objets ou bien machine de l'enfer sont présent autour de moi et un tuyaux traverse mon bras jusqu'à l'un d'entre eux. Je m'assois doucement une main sur le devant de mon frond, je ne suis pas chaude mais j'ai mal à la tête. Soudain je suis plaquée violemment en arrière par une douleur intense, j'ai les yeux grands ouverts et tout me réapparait brusquement, en un claquement de doigt. Je me souviens de la soirée mais pas du déroulement de cette dernière, je me souviens de ce lit dans lequel je me suis endormie pour quelque heures je crois. Tout ça était terminé enfin. Mon regards riva vers la pendule, dix heures et treinte minutes, puis je fixe dehors, de la neige tombe, mais quoi ? Il neige ? Hier il faisait encore chaud et là il neige ? Je me lève en faisant tourné l'appareil relié à mon corps avec juste un tuyaux. Je titube et manque de tomber bien comme il faut sur le sol dure et froid. Une fois ma marche retrouvé je marche vers la fenêtre, je me frotte les yeux en pensant que j'hallucine et je me pince l'avant bras droit pour me certifier que je ne rêve pas. Tout ça est donc réelle.

Mon cerveau était perdue entre deux pensées, je me souviens de la dernière fois ou j'ai du voir le ciel, il y avait quelque nuage qui arpentait la douceur du ciel azur, le vent chaud avait brulé depuis bien longtemps l'herbes devenu sèche et jaunâtre, le soleil se tenait haut dans le ciel malgré la fin de saison. Et là je regardais un paysages si beau.

Ma contemplation s'interromps à cause d'un bruit dans le couloir, je tourne la tête avec étonnement, j'aperçois un jeune homme d'âgée je pense de 17 ans, il possède une peau légèrement bronzé, de beaux cheveux blond formant des boucles sur le dessus de sa tête et ses yeux vert reflètent des nuances plus foncé. A l'instant où nos regards se croisent il s'arrête, me regarde avec attention me scrute de part en part. Il lâche brusquement le paquet de rose orangée qu'il tenait fermement dans sa main et cours, il coure merde, dans ma direction, pris d'un élan de panique je m'assois sur mon lit, à peine ce geste effectué qu'il entre en trombe dans ma chambre et m'attrape par l'avant de mon bras. Il se jeta sur moi et me sot fort dans ses bras comme si on c'était pas vu depuis une éternité. Je sens son souffle dans mon cou, je sens des larmes ruisselait de ses joues pour venir termine sur mes épaules. Ma tête explose, cette personne je ne sais pas qui c'est j'ai aucun souvenir juste le souvenir de son prénom, Luka. J'ai l'impression de connaître ce prénom comme ma poche pourtant mon cerveau m'indique le contraire.

Il relâche son étreinte à ma plus grande joie, son front atterit avec douceur sur le mien, il positionne ses paumes sur le creux de mes joues, ferme les yeux un petit moment puis les rouvres et ses larmes me font l'effet d'un poignard dans le cœur.
Il ouvre la bouche puis la referme comme si il cherchait ses mots, j'entends soudain le son de sa voix si douce que je rêverais de chanter par dessus se son si doux et mélodieux.

– Olympe, mi angel, je pensais que tu allais mourir, je pensais que je ne te reverrais plus, tu m'as tellement manqué. J'avais peur de te perdre pour tout jamais, je voulais revoir ton sourire une dernière fois avant que tu t'éteignes pour toujours.

Ses mots m'avait secoué, je ne sais pas qui il est mais il me donne envie de pleurer, quand il avait prononcé ce mot, le mot sourire mes dents était apparue dévoilant quelque chose que je pensais perdue, de la joie. Pourtant ma tête commence à tourner je le décale de l'étreinte qu'il avait pour moi, je pose une main sur mon frond brûlant et je pers l'équilibre et je tombe dans ses bras, mon cœur s'emballe, et je chute, mes yeux se voilent encore, j'ai l'habitude, d'un voile noir.

Je me réveille encore, sur le lit inconfortable, en fixant se plafond blanc livide, sous cette ampoule qui ne tient je ne sais comment.

C'est comme si je revivais sans cesse le même tourment. C'est comme un cœur qui s'arrête que quand il a compris que pomper ne serait plus à rien et que la vie n'était qu'un fardeau.

Je me relève doucement, et je croise se même regards, se regards empli de tendresse et de chaleur. A chaque fois que je lève la tête je l'aperçois, lui, Luka, son regards retient le mien comme quelqu'un qui tirait sur une corde pour pas lâcher un objet sur le point de tomber dans le vide. Une voix me sort de ce soi-disant paradis. Une infirmière au cheveux coiffés en un chignon qui à mon goût n'est pas très beau. La voix de la jeune femme enfin elle a la trentaine quoi, est monotone et rauque, elle ne doit surement pas m'aimer pour me parler comme ça.

– Mademoiselle Laurent Je vous fait un petit briefing: Tout d'abord vous étiez en boîte de nuit, puis vous êtes tomber dans les paumes ainsi vôtre cher ami ici présent. Luka leva la main à la nomination de celui-ci tout souriant. On vous a plongé dans le coma pour certaine raison que vous n'avez pas à connaître.

– Un coma mal maîtriser, non ? Luka continue la phrase de l'infirmière avec une voix moqueuse et un sourire narquois, je laisse passer un léger rire et je me prends un regards noir par cette femme sans cœur.

– Passons. Savez-vous des informations sur les personnes autour de vous ? Sa voix est de plus en plus sèche et sans âme, elle parle comme ci elle m'attaquée.

– Heu, ce sont mes parents, Agathe et Eric mais lui je connais juste son nom, il s'appelle Luka. Je parlais d'une voix peut être incompréhensible car je parlais bas comme si je chuchotait. Mais juste à la mention de son nom, mon regards recroisa encore le sien comme des aimants.

– Arretez de me mentir vous vous souvenez de vos parents alors lui c'est facile ! Elle me criait dessus à présent, je reculais sur me lit me planquant au fond comme un gamin qui aurait fait un cauchemar mais ce que j'étais, une lâche, on m'avait répétée ce mot si souvent, des larmes vinrent toucher le bord de mes joues. Luka me vu en panique, il arrivait à lire dans mon regards noisette, ce regards rempli d'effroi mais également de tendresse.

Il se leva se positionna devant l'infirmière, il était bien plus grands qu'elle du haut de son 1 m 85 et elle de son 1m70. Elle le toisait comme si c'était un gamin, elle voulait le prendre de haut et lui infliger une domination mais il n'avait pas l'air de rentrer dans ce jeu là.

– Vous allez arrêter ! Il lui avait craché cette phrase au visage. Mais il me protégeait lui, lui à qui j'avais oublié l'existence.

- Pardon ! Répondis t'elle en le regardant de bas en haut.

– Vous avez entendue non ? Je vous ai demandé d'arrêter gentiment, non ? Maintenant vous dégagez ou je vous fait sortir ! Ce dialogue effréné ne mènerait à rien, je le savais mais lui en revanche. Elle ne bougea pas d'un poil. Le regardant avec son regards qu'elle pensait noir mais devant lui elle avait juste l'air d'une gamine se faisant gronder pour une bêtises. Il l'attrapa par le col de sa chemise et la souleva de quelque centimètres. La faisant redescendre d'un coup, elle n'avait pas l'air d'avoir peur de lui mais je voyais dans son regards qu'elle avait la trouille, même un petit peu. IL avança d'un pas, elle recula d'un coup cette fois, les yeux exorbitées elle sortit en soupirant de colère.

– Luka...tu n'avais pas à faire ça. Dis-je d'une voix à peine audible. Ma mère s'approcha de moi d'un pas puis se ravisa d'un coup. Luka à mes paroles se calma comme instantanément, il vint s'assoir près de moi, attrapa mes joues à l'aide de ses larges mains, posa son frond contre le mien et me dit d'un ton que je perçut chaleureux.

– Ne t'inquiètes pas olympe, je suis ton meilleur ami, Luka et toi tu es Mi angel, ma meilleure amie. Ne me remercie plus jamais, on s'entraidera toujours.

The sun of the moon Où les histoires vivent. Découvrez maintenant