Nous étions là, nous étions présent ensemble dans ce parc, il tenait fermement mes bras comme si il voulait que je ne le lâche jamais. Mais pour rien au monde j'arrêterai ce moment plus que magique. Voici un autre mot que j'avais rayé de mon vocabulaire, un mot que j'avais juste oublié de prononcer mais je n'y pouvais rien, elles étaient là, elles. Et elles m'empêchaient de sourire. Pourtant c'était comme ça que je l'avais rencontrer, Luka. Et qu'il m'avait sauvé pour la première fois, depuis ile le fait chaque jour, à chaque fois que je vois son sourire, même si une partie de son passé m'est étrangère, je sais qu'il sera là, et pour toujours.
Toujours dans ce parc, nous étions si proche, son souffle chaud me réchauffais les épaules, et mes bras accroché son dos. Nous étions enlacé, et aucun de nous deux ne voulait rompre ce moment que nous aimions. Nous nous lâchions par ma demande, je l'avais écarté, me rappelant que vu que son passé ne m'étais que très peu familier, il avait pu me blesser, pourtant mon cœur le pensé incapable de faire cela.
Je regardais son visage mais j'évitais ses yeux car je ne voulais pas replonger dans ses souvenirs. Je voulais vivre ma vie, pleinement cette fois-ci. Il avait sans doute du me briser pourtant je l'ignorais et cet état d'esprit me stressais énormément. J'ai toujours eu peur qu'on me trahisse comme ces sorcières l'on fait il y a 3 ans. Mes bras tremble légrèement juste à l'alusion d'elles dans mes pensées. Il me regarde avec attention et mes yeux me désobéissent reprenant alors le contacte à travers nous grâce à nôtre regard. Je savoure et je sais qu'il me dévore les yeux mais je m'oblige à répliquer, pourtant mon cœur refuse d'encore enlever ce contacte que je désire depuis longtemps, enfin seleument mon cœur désire cela. Mon âme est partagée, mon cœur lui, il m'ordonne, non, il m'oblige à lui ouvrir mon cœur mais mon cerveau et mes neurones rétorquent me faisant croire qu'il sera comme les autres. M'aimant pour me planter un couteau juste après.
J'inspire de l'air et j'ai l'impression qu'il me regarde avec pitié pourtant son regards vert est rempli de bonté. C'est si naturel chez lui, si unique. Je veux son sourire pourtant je sais que si je lui confie mon cœur il en souffrira, car il est brisé, on me la brisé comme quelqu'un qui casserait un vase en le faisant tombé exprès. Mon cœur c'est ça, mon cœur n'est que présent en millers de copeau sur le sol, pourtant je sais qu'il est reconstitué, car c'est comme ci je le voyais reconstitué cet organe qu'il me manquait. Depuis que je suis revenue, je souris, je dévoile mes dents, et je ne porte plus de masque, je porte mon vrai visage pour montrer au monde entier que je peux le faire, que je peux me relever alors qu'on m'avait enterrée plus bas que terre, j'ai été au enfer pendant longtemps mais maintenant en sa compagnie je suis au paradis. Grâce à lui. Ce garçon qui me fait sourire et qui fait chavirer mon cœur, qui me fais sauter d'une fenêtre.
Je replonge mes yeux noisettes sur lui, le contemplant avec attention, je fais comme une capture d'écran de son visage pour me rappeler chaque détail, chaque morceau de bonté dans son regards. Mes yeux pétillent ainsi que les siens. Il fixe mes lèvres et je me retint de lui sauter dessus et de l'embrassait, une pensée me turlupine sans cesse quand je suis auprès de lui, son passée je ne le connais pas. Ce moment magique encore plus que les précédents est encore interrompu.
Des voix familières me parviennent, ma mère sors de sa voiture et nous ordonne de nous avancer vers elle, une partie de moi refuse mais l'autre veux. Quelque chose m'en dissuade, je ne partirez pas mais mon cerveau refuse d'écouter mon cœur. Mes pieds se tournée légèrement, une infirmière, non cette infirmière sur le siège passager me contemple avec son sourire de diable. Ma mère persiste en voyant que je n'avance pas, Luka recule attrape mon sac, le foutre sur son dos, et me regardent pour me chuchoter:
- Ne retourne pas là-bas olympe, je refuse de te voir encore comme ça, de te voir pleurer à cause de cette infirmière sinon je te jure que je la tue.
– Mais ou allons nous, dis moi ?
Depuis mes jours sombres je n'arrive plus à réfléchir quand je suis stressée comme c'est le cas maintenant. Ses yeux me rassurent tellement que je finis par chuchoter à mon tour en continuant.
– A trois...?
– A trois...
Il me rassure avec son auras imposante et rempli de protection, je n'aurai échapper à ma mère si il n'avait pas été là pour m'en dissuader.
- 1...je dit
-2...complete t'il
-3 ! Nous l'avons dit en même temps comme si nos cerveau marché en symbiose ensemble.
Nous nous élançons, encore, comme toute à l'heure mais je ressens encore un poids de moins pesée sur mes épaules, je sais que je suis vivante, que j'ai un cœur qui est là et en plus qui bat, oui il bat. Même moi je n'en reviens pas. J'apprends tout les jours des leçons et le premier qui prétends le contraire et un idiot. Même moi je pensais qu'on ne pourrait rien m'apprendre et me trompe largement, on apprends constamment quelque chose.
Nous courons, vous pouvez pensé que c'est répétitif comme vie mais en compagnie de lui c'est comme si je pourrais écrire un livre sur juste nos aventures d'aujourd'hui. Le livre s'intitulerait, lui et moi. Car il est mon tout, mon meilleur ami, et moi je suis son ange et il est mon démon.
Nous courons en symbiose, nos pas martelant le sol au même instant, au même moment. Nous voulons juste vivre, vivre une vie loin de tout cela, loin de toute ces personnes qui m'ont brisé et de tout le passé qu'il a du reconstruire.
Des champs maintenant défilent devant nous, les maisons disparaissent au loin, le vent de l'hiver me refroidie les gens mais mon cœur fonctionne et il a
bat la chamade, pas à cause du froid ni de l'effort que je fournis. Il bat pour lui, car il est mon meilleur ami, il est une partie de moi.
Je manque de tomber et il s'arrête brusquement voyons mon rattrape d'une élégance incroyable, il éclate de rire, je lui met mon mageur devant le nez, très contente de mon action. Je m'assois, je n'en peux plus, il me regarde me tends la mains et me relèvent. Il tiens ferment ma main comme s'il croyait me perdre pour toujours, encore. Il me guide, dans les chemins, nous revenons paisiblement vers la ville, je marche à une allure normal, ma main accroché à la sienne. Mes pieds sont lours, j'ai couru avec des chaussures qui ne sont en aucun cas fais pour courir, je suis bien débile, je me retrouve ave des ampoules. Je m'arrête plusieurs fois, boitillent gentiment, tout le monde penserait que c'est uen technique de drague mais non, j'ai vraiment mal. Comprenant mon mal, il s'arrête et m'attrape, je me retrouve en sac-à-patates sur le côté de son épaule musclé, ile me porte avec facilité.
-Lâche moi !
lui dis-je en rigolant à moiti". Il tourne sa tête vers moi et me réplique.
- Non mi angel. De toute façon on est arrivés.
-Quoi ?
J'au à peine le temps de prononcé ces mots que je finit avachi dans un tas de neige. Je tombe dans la neige et je glisse jusqu'au sol sous 30 centimètre d'épaisseur. Luka s'assoit à mes côté. Il me prends la main, et je cale ma tête sur le revers de son épaule, il caresse mes cheveux à l'aide de sa main. Mes ce que je perçois le plus ce sera toujours son sourire. Lui qui dans mes souvenirs récent, ne souris que pour moi. Que pour ma personnes. J'ai toujours était le second choix, depuis lors et surtout depuis ce jour là. Le 14 février 2015. Mais je ne veux en aucun cas m'y attarder, je reste concentrer sur lui et rien d'autres que lui.
Son sourire, ses yeux ainsi que ses bras, m'enveloppent et forme un concon autour de moi. Me laissant dans une stabilité exemplaire. Je ne veux plus enfin j'essayerai de ne plus pleurer mon passé, je veux vivre dans le présent et dans le futur.
Un futur qui j'espère se passera à son côté. Avec nôtre symbiose et son sourire. Je suis son ange et il est mon démon, pour toujours et à jamais.
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The sun of the moon
RomanceSans lui, elle n'est rien, Son soleil, son sauveur divin. Son cadeau, son oxygène, Celui qui apaise ses peines. Pour lui, elle est sa lune, Qui éclaire ses nuits brunes. Pour elle, son cœur bat fort, Jusqu'à faire trembler son corps. Pourtant, là où...