Chapitre 7

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Je reste là, sans bouger, placée au coin du mur en regardant Papa ouvrir le porte. Heureusement que Laura est partie en voyage scolaire , il y a une heure ... Voyage scolaire de dernière minute en plus ! Un homme plus grand et plus musclé que Papa, avec un smoking noir, une cravate grise et des chaussures avec des petits talons de 2 ou 3 centimètres, entre.

Maman : Nous ne sommes pas intéressé !L'homme en smoking : Je ne suis pas là pour faire de la publicité, chère Madame LeBlanc ! On m'a envoyé, ici, pour remmener une personne qui ne veut plus rester ici

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Maman : Nous ne sommes pas intéressé !
L'homme en smoking : Je ne suis pas là pour faire de la publicité, chère Madame LeBlanc ! On m'a envoyé, ici, pour remmener une personne qui ne veut plus rester ici.

Alors je me fige angoissée : je ne croyais pas qu'il le dirait si franchement ou si clairement ! Papa et Maman se regarde avant de tourner leur regard vers moi. Alors, outrée, Maman se relève de sa chaise en bois et la fait même tomber au sol.

Maman : Ma fille reste ici !
L'homme en smoking : Elle n'est plus en sécurité, dans cette maison, Madame. Et de plus, "la princesse" {en insistant sur ces deux mots} ne veut plus rester ici !
Maman : Et comment pouvez-vous le savoir vu qu'elle ne vous a pas appelé !
L'homme : Et bien ...

Alors je décide de prendre les choses en mains. Je tourne les talons, entre dans ma chambre et prends ma valise - qui est plutôt lourde. Ensuite, je sors avec, et me dirige vers l'homme vêtu de noir. Très aimablement, il prend ma valise.

Moi à l'homme : Vous pouvez aller à la voiture, j'arrive tout de suite.
L'homme : Bien, princesse.

L'homme tourne les talons et se dirige vers la voiture.

Maman : Comment as-tu pu savoir qu'il allait venir te chercher si tôt et de plus aujourd'hui ?!
Moi : Je les ai appelés.
Papa : Impossible ! Le papier n'avait pas bouger d'un poils !
Moi : J'étais en colère et mon envie de vengeance à cédé sur mon amour que j'ai eu pour vous, alors j'ai replacé le papier comme il était placé et j'ai fais semblant de ne pas te voir le prendre. Maintenant, ma vraie famille m'attend alors je voulais vous faire des excuses de ne pas vous avoir informés de mon départ. (Après un instant) Je vous souhaite une très belle et très longue vie.

J'imite alors une révérence, tourne les talons, prends mon sac à main qui était accroché au porte manteau et ferme la porte. Alors dehors, la fine brise me caressant les joues, je sens qu'une nouvelle vie commence pour moi. Mais il ne faut pas que je reste plantée là, alors je marche jusqu'à la voiture qui n'est autre qu'une limousine noire. L'homme est près de la porte et attend que je monte.

Moi : Comment vous appelez-vous ? Si cela n'est pas indiscret ...
L'homme : Je me nomme Daniello mais mes amis m'appellent fréquemment Dan ...
Moi : Et vous me considéré comme une amie ?
Dan : Je serais très heureux d'établir une relation d'amitié avec vous, princesse.
Moi : Très bien, alors allons-y, Dan !

Je monte dans la voiture et au moment où Dan ferme la portière, je vois Papa serrer Maman contre lui, sur le palier de la porte d'entrée. Je ne peux plus faire marche arrière. Ma nouvelle vie va peut-être réussir à calmer mon envie de vengeance que j'ai envers mes faux parents.
Pour l'instant, je ne pense qu'à une chose : ma nouvelle vie ; dont ma nouvelle famille.

D'une vie normale à une vie royaleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant