J'étais faite pour vous rencontrer [tokyo revengers]

Chapitre 11

-C'est vrai ?! demanda la mère d'Hanma en me regardant.

Aucun son sortait de mes lèvres, je ne trouvais pas les mots.
J'avais honte.

-Evidement que c'est vrai ! criât celui au tatouage

Sa mère, l'air infiniment peinée, me prit dans ses bras.

-Je vais me calmer dans ma chambre. Déclara mon meilleur ami.

J'eu ensuite une longue conversation avec sa mère, elle me disait qu'elle me considère comme sa fille et me proposait de me confier si j'en avais besoin a l'avenir.

Après ça Hanma revenu et voulu qu'on rentre au casino, j'acquiesçais et fis chaleureusement au revoir à sa mère.
On arriva chez moi, Hiroshi dormait, on fut accueillies pas Himari et Misa.

-Kei !!! criât la plus jeune en me sautant au cou.

Je lui fis un câlin et la reposa au sol.

-On s'inquiétaient pour toi ! avouât Himari qui me prit à son tour dans ses bras.

Elle remerciât Hanma d'avoir été là pour moi hier soir et rougis un peu. Je me demandai si elle n'était pas amoureuse d'Hanma.
On discuta un peu tous ensemble puis je montai à l'étage avec mon meilleur ami.

-Je t'ai réveillé tôt, tu te plaignais parce que tu es crevé, repose-toi maintenant. Sourit-il calmement.

-Je ne veux pas que tu partes ! Je vais encore êtres toutes seule... admis je

-D'accord je vais rester mais repose toi.

-J'ai plus sommeille !!!

-Essaye de dormir au moins.

-Naaannnn !!!!!!!

-Pense à un son qui t'apaise comme une fourchette crissant sur une assiette.

-Ça me donne envie de tout casser !

-Repose toi ! insistât-il

-J'ai paasss ennvvviiiieeee !!! rallais-je

-Bon sang ! Il soupira, Si tu veux je tu lis une  fanfic wattpad, tu te couches sur ton lit, si tu ne t'endors pas ce n'est pas grave mais au moins tu te reposes et puis si tu n'arrives pas tu te contentes d'écouter l'histoire, ça te va ? demandât-il

-D'accord... finis je pars céder

Hanma s'assit sur ma chaise de bureau qu'il mit près de mon lit pendent que moi je m'allongeai dessus comme convenu.

-Je te lis quoi ? m'interrogeât-il

-J'ai enregistré dans une de mes listes l'autre jour une fanfic qui avait l'air sympa, ça s'appelle « les larmes qui coulent sur mon cœur ».

-Le titre est glauque...je parie que c'est encore une histoire triste, t'es sûr de vouloir lire ça ? Si ça se trouve ça se fini par un suicide !

-Oui je suis sûr ! répondis-je en souriant de toutes mes dents.

Il prit mon téléphone, trouve la fanfic sur mon compte et entama sa lecture :

- « Les pièces sont sombres, ça sent la poussière qu'on peut d'ailleurs apercevoir sur les mobiliers. Les meubles son sobre, la déco est inexistante. Les murs et le parquet est banal.
Voilà comment j'aurais décrit ma maison si on me l'avait demandé.
-BIP-BIP-BIP-
Le fixe sonna dans le salon et résonnait dans la maison sans vie, je décrochai. C'était ma mère qui m'annonçait qu'elle rentrait plus tard de son « travail » et que je pouvais diner sans elle. Son travail, si on pouvait appeler sa comme ça, moi je considérais plus ça comme un bazar re dans lequel elle préférait s'engouffrer au lieu de penser à moi.
La déception m'habitait mais j'avais l'habitude. Je m'allongeai en étoile de mer sur le parquet encore sale de la journée, de la semaine, ou du mois, depuis combien de temps le ménage n'avait pas été fait ? Je l'ignorai mais les boulettes de poils sous les meubles prouvaient que ça remontait à longtemps. Le parquet sur lequel je passais le temps quand je m'ennuyais comme maintenant était froid, glacial, ou alors c'est la peine qui me donnait cette impression.
Sentant de petite patte me grimper dessus le visage je me levai, c'était le chat du voisin qui avait dû rentrer par la fenêtre comme à son habitude. Il aimait bien squatter chez nous quand ma mère n'était pas là, surement parce qu'il aimait ce silence que possède rarement les maisons. Pourtant ce silence ne m'évoquer pas paix et douceur, contrairement au chat, ça me faisait plutôt pensais à un silence morbide d'enterrement.
Il miaulait devant la porte de ma chambre, je lui ouvrit et rentra dans la pièce avec lui.  A peine rentrer dedans il fit demi tour et ressorti pour partir dans le couloir et aller dormir dans une autre pièce.
-Je suis d'accord avec toi je suis de très mauvaise compagnie. Murmurais je
Je m'affalai sur mon lit avant de susurré. 
-Maman aussi doit trouver que je suis de mauvaise compagnie... elle m'évite comme la peste....
Je m'endormis morte d'ennui.
Je fis réveiller par un bruit de porte qui claque, c'était maman qui rentrait. Je couru la saluer.
-Maman ! Criais en courant vers l'entré
Elle m'écoutait pas, elle était au téléphone et visiblement énervé :
-C'est bon ! Tu n'a pas à me dire ce que je dois faire ! Elle a que neuf ans ! Elle est grande ! Elle peut rester seule !
-Maman... ?
-Tu n'est pas couché ?! Dit elle en me voyant
Je secoua en signe de réprobation. Elle soupira.
-T'es grande lâche moi la grappe !
-Mais maman..
-Tais toi je suis au téléphone avec ton père !
J'avais bien entendu ? Je n'avais plus entendu parler de mon père depuis mes cinq ans.
-Papa ! PAPA !!! Criais je, Papa c'est moi t'a fille, tu m'entends ?!
Ma mère souffla et me passa son téléphone. Elle partie dans le salon ouvrir un pâque de bière, Comme chaque fois elle allait sûrement le finir dans la soirée. Et demain elle m'obligerait à aller en acheter en même le temps qu'un paquet de cigarettes à l'épicerie tabac du coin. Et comme chaque fois les épiciers ayant pitié de mes vêtements poussiéreux et de mes cicatrices laissé par les morceaux de bouteille de bière cassé que j'avais dû nettoyer après les crises de ma mère, ils m'en donneront même si je suis pas majeure.
-Ma puce, ça fait longtemps... à dit mon père dans l'interphone.
-Papa ! Tu me manques ! Tu rentres quand ?!
Il eu un blanc, plus aucun son sortait du téléphone.
-Papa tu m'entends ?
-Oui m'a puce, je t'entends... en faite je ne compte pas rentrer. J'ai une nouvelle vie maintenant avec ma nouvelle famille; ma femme, ma fille et mes jumeaux.
-Félicitations ! Je vous rendrez quand visite ? Je pourrais les rencontrer quand ? Me suis je exclamé toute excité.
-....tu ne les rencontreras pas, on ne pourra pas se revoir y'a mère va prendre soin de toi.
Je resta bloqué sur ses mots, aucun son franchi mes lèvres.
-Pourquoi ? Pourquoi tu part ? Au fur et à mesure que je parlais ma voix se brisait, Pourquoi Papa ?! Pourquoi tu me fais ça ?!
-Ma puce.. essayait il de dire
-Pourquoi Papa ?!!! Pourquoi tu me fais souffrir comme ça ?!
Je lâcha le téléphone de ma mère par terre, ce n'était pas possible ! Mon père ne pouvait pas m'abandonner ! Il ne pouvait pas briser mes espoirs comme ça !
-Ma puce calme toi, attend... essayait t-im de m'expliquer dans le téléphone .
-Non ! Tais toi ! Hurlais je
Je n'arrivais pas à penser, que se passait il ? Quel était cette douleur dans ma poitrine ? Je vu ma mère arriver et me gifler. »

Il lisait fluidement, sa voix m'emportait et me faisait vivre l'histoire comme j'y étais à tel point que je finis par m'endormir sans connaître la suite.