Chapitre 16 : Douce noblesse

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Bonjour/ bonsoir à tous,

J'espère que vous allez bien. Toutes mes excuses pour cette absence, mais je suis actuellement en train de visiter des villes merveilleuses et du coup je n'ai pas beaucoup de temps pour écrire.

Ça n'ira pas en s'arrangeant, car je suis en vadrouille jusqu'au 21 août 🥲 (le Canada, les États-Unis, le Mexique...) : je raconte un peu ma vie, oui 😂.

De plus, ce chapitre était horrible à écrire 💀. Vous comprendrez en lisant... J'espère que vous saisirez toutes les subtilités et, si ce n'est pas le cas, il faut me le dire, car cela voudrait dire que le texte demande un changement 🥰

Bonne lecture 🍿

DM

« Ce qui fait la noblesse d'une chose, c'est son éternité. » Léonard de Vinci

**

- J'ai un message à délivrer.

L'assurance de Zoryn, inébranlable, contrastait avec l'expression inaltérable de son visage, qui ne laissait transparaître aucune crainte malgré l'arrivée croissante des gardes.

Pour ma part, une angoisse atroce serpentait dans mon estomac. Une dizaine de gardes nous enserraient, entravant toute tentative de fuite, tandis que l'un d'eux s'efforçait d'immobiliser la silhouette imposante de Zoryn.

À ma grande surprise, il se laissa faire, jusqu'à ce que son torse se trouve plaqué contre le mur, moment où on entreprit de le fouiller.

- Les mains derrière le dos, ordonna l'un des gardes à Zoryn, dont le corps se tendit sous l'injonction.

Nos regards se croisèrent, pesants d'une intensité sombre.

Il obtempéra, me faisant comprendre d'un signe que je devais garder mon calme et qu'il contrôlait la situation.

Il me fallait demeurer muette, simplement muette.

Je sentais qu'on me palpait également, mais toute mon attention était focalisée sur Zoryn.

Mes yeux ne le quittaient pas, alors que ma joue était à son tour brutalement pressée contre la paroi glacée du couloir.

Un grognement étouffé s'échappa de ses lèvres lorsqu'on lui déroba son épée.

Je savais que pour lui, cette lame avait la valeur d'une part de son âme.

- Que faites-vous ici ? questionna un garde avec une voix dénuée d'émotion.

Après un bref silence, Zoryn rétorqua, d'un ton acerbe :

- Je dois remettre un message à la reine.

Le garde esquissa un sourire narquois avant de railler :

- Désirez-vous également une audience privée avec Sa Majesté ?

La tempête qui semblait se former dans le regard de Zoryn trahissait son irritation face à cette moquerie :

Un royaume d'ombre et de lumière : La sorcière T2 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant