𝐒𝐞𝐜𝐫𝐞𝐭 & L𝐢𝐞𝐬

𝐂𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 𝟐 /c'est un secret

TW: viol
Je vais mettre ce symbole "⚠" au début et à la fin du passage en question.

Ne vous forcer pas à le lire surtout si vous avez vécus des choses ou si vous y êtes sensibles!!

Faites attentions à vous mes amours et bonne lecture 💞

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                « le silence...»

𝐒𝐚𝐫𝐚𝐡 H𝐨𝐰𝐞𝐫𝐬

Chicago,Sarah's house.

Pourquoi la police est-elle là ?

Après être passé entre toutes les voitures de patrouilles, nous sommes entrés dans la maison, confus face à ce qui est en train de se passer.

Le salon est rempli de policier qui fouille chaque recoin avec aucune douceur.

Je croise le regard de papa qui se situe dans les escaliers. J'essaye de percevoir une once d'émotion ou de réponse dans ses yeux mais il garde toujours cet air fermé qui le caractérise si bien.

Il doit voir que je suis troublée car il me sourit de ce sourire qu'il a toujours fait pour essayer de me rassurer, puis il descend les bras tendu vers moi avant de me prendre dans ses bras.

- Cariño, no te preocupes, no es nada, no te preocupes, puedes ir a tu habitación y descansar. - Cherie, ne t'inquiète pas, ce n'est rien, ne t'inquiète pas, tu peux aller te reposer dans ta chambre. -

Je déteste quand il parle espagnol, ça n'annonce jamais rien de bon quand il fait ça.

-Rien a signalé ici. Déclare un policier qui au vu de sa voix lointaine à l'air dans la cuisine.

- Rien ici, non plus. Déclare en même temps les cinq policiers dans le salon.

Combien sont-ils? Qu'est ce qui se passe ?

J'apperçois une policière montée à l'étage.

Je me détache des bras de papa avant de la suivre presque en courrant dans les escaliers.

Elle entre dans ma chambre et commence à tout renverser aider par une de ses collègues, sans même faire attention à moi.

Mais pour qui se prend-elle ?

Je vous en prie, faites comme chez vous. Carrément je pense que c'est pas assez en désordre.

Elles ont continué leur recherche pendant dix bonnes minutes, je les ai regardé faire silencieusement car quelque chose dans leur manière d'agir me disait qu'elles ne me donneraient aucunes réponses.

Puis d'un coup elles se sont regardées, ont secoué chacune la tête puis sont descendues sans me lâcher un seul regard. Je les ai suivis ne lachant pas l'espoir d'obtenir des réponses.

- Rien trouvé dans la chambre de la fille. Crie l'une des deux femmes.

- Nous n'avons rien trouvé pour l'instant. On va partir mais nous reviendrons, car vous êtes toujours sur la liste des suspects et je suis persuadé que ce n'est plus qu'une question de temps avant que vous finissiez sous les barreaux.

Mon père se met à rire face à ce qui ressemble, étrangement, à des menaces proférés par l'un des policiers.

- Je suis autant impatient de voir ça que vous lieutenant Scott. S'exclamme-t-il de cet air mi-décontracté, mi-autoritaire qui m'a toujours fasciné chez lui. Après vous savez ce que l'on dit: le temps c'est de l'argent donc si j'étais vous j'arrêterais de miser gros sur chaque homme riche que vous croiser.