𝑳𝑶𝑽𝑬𝑳𝑰𝑮𝑯𝑻

𝑬𝑽𝑰𝑬 & 𝑺𝑪𝑶𝑻𝑻

CHAPTER EVIE SCOTT
Scott voulait que je dorme dans son lit, car vu que je suis l'invité et que j'ai fait tout ce chemin pour lui, il voulait, mais je préférais dormir dans le canapé. Au final, on a eu un débat sur ça et j'ai accepté de dormir dans son lit et lui sur le canapé.
Il est allez changer les draps si j'aurais pu j'aurais désinfecter son lit vu toute les filles qu'il a eu mais je pense que la seule différence entre elles et moi c'est que je ne ferais rien avec.
— Ta eu combien de filles dans ce lit ?
- Ah... ouais... bon Evie tu peux allez dans le lit.
Vu sa réponse, j'ai compris qu'il n'allait pas me dire, mais je me dis que ça doit être un record. — Prend tes couvertures pour ton canapé. Dis-je en le regardant. Alors, il a pris les couvertures et il est parti, allant les mettre sur son canapé. Il est revenu et a pris dans son armoire une couverture plutôt épaisse.
— Tiens, miss, toute propre. M'annonce-t-il en la mettant sur moi. J'ai l'impression d'être quand j'étais petite, quand mon père me couvrait et me bordait pour que j'aie bien chaud. J'aimerais venir à cette époque.
— Merci, c'est sympa, Scott.
– Un bisou sur la joue aussi ? Il souriait en me disant ça, j'ai pris le coussin et je lui ai foutu un coup avec.
– Dans tes rêves. 
— Dommage, dommage. Réveille-moi quand il faudra que je te ramène chez toi pour que tu te prépares. Puis, il a éteint la lumière et il est sorti de la chambre, fermant la porte, me laissant seule. Le bruit de la télé de l'autre côté du mur se fait entendre. Je me suis couché confortablement et j'ai regardé la fenêtre. La couverture sentait son parfum comme ses vêtements que j'ai sur moi. J'ai pris mon téléphone et j'ai envoyé un message à Joyce.
— Tu dors ? Demandai-je, je regardais la conversation, puis quelques minutes après, le remis s'est transformé en vue, puis en réponse.
- "Non pourquoi ?"
- "Je suis chez Scott..je dors chez lui..."
- "QUOI ? Depuis quand ? Evie....."
- "Non. Ne pense pas à ça. Je t'expliquerai demain matin. »
— T'es avec lui dans son lit ?
— « Non, je dors dans son lit et lui sur le canapé. »
- "Quel homme...demain ta intérêt de tout dire de a à z hein Evie hein ?"
- " Oui Joyce.. tout."
— « Bien, j'ai oublié de te dire que j'ai une connaissance qui fait une soirée pendant les vacances, tu veux venir ? »
Une soirée ? Je n'y suis jamais allé à une soirée, je pense que cela sera différent de celle qu'on fait quand on a 11,14 ans. Puis je me dis que je serais avec Joyce, mon regard a aperçu un nouveau message d'elle.
— "Tu pourras dormir chez moi !" Mes parents accepteront que tu dormes chez moi, puis n'inquiète pas, je peux venir te chercher pour qu'on se prépare ensemble et ma maman te ramènera chez toi ! (« Ou même si tu veux, tu dors chez moi ! »)
J'ai souris, au moins elle pourra m'aider à me préparer. Je sortirai de ma zone de confort. Mais il faudra que je mette un col roulé ou une veste et des collants qui cacheront tout ce que j'ai sur mon corps.
— Bien, j'accepte. C'est quand.
- "Vendredi la. Vu que c'est les vacances...
— « D'accord, on ira chez toi pour se préparer... ça sera la première fois pour moi ».
- "Super ! Hihi, merci Evie, je taime <33 Je vais aller dormir avant qu'en cours je m'endorme et que tu vas devoir me réveiller à chaque fois !
- "Bien, Bonne nuit Joyce (:"
- "Bonne nuit Evie ! Miss hehe.."
- "Arrête. Va dormir.
- "Oui oui... à demain eheh.."
J'ai lié son message, puis j'ai entendu la porte s'ouvrir, j'ai regardé et j'ai vu Scott.
– Le canapé n'est pas confortable. Laisse-moi dormir dans le lit.
– Dans tes rêves.
Un soupir se fait entendre, j'ai allumé mon flash et je l'ai regardé mettre ses mains devant ses yeux.
— Evie, enlève-moi ce flash de merde ! Me demande-t-il en rallant mais je n'ai pas écouter sa demande. 
– Retourne dans le salon alors.
— Allez, Evie, c'est chez moi. Promis, je reste éloigné de toi.
— Ohlala, je ne te crois pas du tout, tu es un animal, tu vas me sauter dessus quand je vais tourner le dos.
- Bahh... on aura cas se fixer puis après...
J'ai pris le cousin et je lui ai jeté dessus, je sais qu'il va dire une connerie. Je le connais trop bien pour ce genre de choses.
— Vraiment ferme ta gueule avec tes conneries.
— Oui, ma jolie, oui, ma reine, allez, laisse-moi.
– Tu restes loin de moi.
– Promis...
Il a pris le cousin et me l'a jeté sur moi et il s'est mis à côté de moi, mettant son cousin. J'ai éteint le flash de mon téléphone et je l'ai posé sur la table de chevet et j'ai pris mon cousin, le remettant derrière moi.
— Tu as déjà dormi avec un gars.
- Non. Et toi, ce n'est pas la première fois avec une fille.
— Ta tout juste.
J'ai pris une couverture et je l'ai mise entre nous en boule.
– Ta partie, ma partie. Tu t'approches, je t'étouffe avec le cousin.
— Je ne peux même pas te faire un bisous ?
– Jamais de la vie.
— Oh, t'abuse, allez ?
- Non...
Il s'est approché en furtif pour essayer. Je lui ai remis en coup avec mon cousin.
– Bonne nuit.
J'ai remis mon cousin et je me suis couché, dos à lui-même, si la couverture me sépare de lui.
— Connasse.
— Allez, tais-toi, sois content que j'ai accepté que tu dormes avec moi.
Je l'ai entendue soupirer et se mettre à coucher dans le lit. L'aspect était gênant, pourquoi j'ai accepté ? Mon envie de retourner dans le passé pour refuser et dire que je dors sur le canapé est présente.
POV SCOTT.
Sérieusement, elle a mis une couverture entre nous. Je sais qu'elle me voit bizarrement, mais je ne vais pas lui faire de mauvaises choses. J'ai du respect, mais bien si ce qu'elle veut est d'accord. Je regardais la couverture qui ne séparait pas, me demandant si elle dort déjà. Alors j'ai commencé à enlever un peu la couverture pour voir, mais sa main frappa la mienne.
— Pas touche, bouffon.
— Je voulais juste voir si tu dormais. Dis-je en reculant ma main. Au moins, elle ne dormait pas.
— À force, je vais rester éveillé pour surveiller. M'annonce-t-elle en baillant.
— Je ne vais rien faire hein, si tu as tellement peur, je me casse dans le canapé, même si je dormirai mal, Evie.
Elle ne m'a pas répondu, donc j'ai regardé par-dessus la couverture.
— Non, c'est bon, reste. Me dit-elle en me regardant.

...

J'ai ramené Evie ce matin chez elle pour qu'elle se prépare chez elle et que je la ramène vu que tout est chez elle. Je me suis garé plus loin comme elle me demande chaque fois et j'ai attendu en regardant mon téléphone. Il était tôt, le soleil commençait à peine à se lever, mais au moins elle aura le temps.

Le temps est passé et elle n'était toujours pas revenue. Peut-être que cela prend du temps de se préparer chez les femmes. Je n'allais pas lui envoyer un message pour se presser, mais j'espère qu'elle ne viendra pas en retard.

Puis, après plus de 45 minutes, je l'ai vu marcher vers moi, mais elle avait l'air étrange, comme si quelque chose s'était passé, la tête abaissée, ses mains qui tenaient le bout de ses manches. Je ne l'ai jamais vu comme cela d'un aspect suspect, son uniforme était mal mis comme son sec qu'il l'es aussi.Elle est rentrée dans la voiture sans dire un mot, elle était silencieuse son regard n'a jamais croisé le mien. Je l'ai regardé, puis j'ai démarré la voiture et j'ai commencé à conduire vers son lycée. Devrais-je lui demander si tout va bien ? L'aspect me dérange.

— Tu vas bien, Evie ? Demandais-je en lui jetant un coup d'œil, elle regardait par la fenêtre.

- Oui. M'annonce-t-elle, j'avais du mal à la croire, surtout quand elle a commencé à gratter sa main comme signe de stress. Elle fait toujours ça sans se rendre compte. Alors, je lui ai pris sa main pour la faire arrêter, elle me regarda sans comprendre. Sa main était froide, comme la dernière fois. Elle doit l'être chaque jour. Elle n'a rien dit et elle a regardé devant elle, pendant que je gardais sa main en conduisant, en me demandant si un jour sa main deviendra plus chaude.

J'ai l'impression de revivre à peu près la même scène quand je l'ai croisée pour voir son frère. C'est étrange, je lui ai jeté des coups d'œil quand nous étions aux feux verts, sa jambe tremblait et son regard n'a pas changé de vue. Quelque chose clochait chez elle, en fait, non, des choses clocheraient chez elle ou bien des choses cloches dans sa famille.