Chapitre 17: Et si je meurs ? Partie une.

84 11 1
                                    


<< Si la personne en face de vous ne donne, pas ce qu'elle reçoit arrêter tout , même si ça fait mal , arrêter Tout maintenant >>.

Djibril Futuriste 🥀.





Pdv Richard

C'était bien la première fois qu'une femme faisait ça pour moi .
Se battais pour nous , j'avais dû mal à croire qu'elle était là devant moi .
Elle avait des yeux qui marquaient des cernes que je ne lui avait pas connue .

Était-ce moi, la faute ? Elle avait toujours été très belle femme , et le flux de larmes qui commencèrent à couler malgré moi .

Me confirma que oui , je ne voulais personnes d'autres , je ne voulais pas la perdre .
Il en était hors de questions , sans plus attendre elle se jeta dans mes bras et je la serrais tellement fort que j'eu crue . Qu'elle devait suffoqué, manquer d'air .

Putain j'ai été con , je ne peux pas vivre sans cette femme .
Je passais ma main dans ses cheveux soigneux qui sentaient la lavande, elle ne cessait de pleuré et là c'est elle qui resserre l'étreinte .

Moi- Plus jamais je ne te laisserais , pardonne moi , s'il te plaît , cesse de pleuré mon amour .

Elle se calma petit à petit après plusieurs minutes, elle se détacha de moi et sont visage était emplie de colère .
Elle me donna une gifle que je pense n'oublierais jamais , avant de fondre sur mes lèvres affamées, un baiser remplie de désir , brûlant , incendient , incontrôlable.

À bout de souffle, elle se décolle de moi et me regarde émets un petit rictus et enlève tout doucement sont pull à capuche .

Elle- Richard Yasine baise moi comme le premier jours .



Je m'approchais, juste d'elle et là dévorais de la bouche jusqu'à en perdre haleine .
Nous étions en pleine terrasse avec vue sur la petite ville à des kilomètres du sol.

Aux 32èm étages et moi je ne faisais que m'enfoncer en elle, un peu plus fort un peu plus profondément.
Je pressais ses fesses et léchais littéralement ses tétons , de mon autre main je tirais ses cheveux en arrières .

Sont bassin colé contre le fer de la protection qui nous séparaient du sol , ce-que nous faisions était fou , incontrôlé.

À tout moment, nous pourrions être surpris mais cela ne faisait qu'augmenter l'adrénaline .
Elle gémissant de plus en plus fort et putain qu'est-ce que j'aimais quand etchang gémissait .

Ça me rendais fou,  j'avais l'impression qu'elle ne faisait que regonfler mon énergie . Qu'elle me ressourçait, elle tourna sa tête légèrement vers moi et elle m'embrassa, mais cette fois , plus doucement, avec plus de Tendresse .

Je lâcha ces cheveux et appuyèrent  ses seins avec délicatesse, avant de me vider complètement en elle .
Nous nous écoulions sur le sol essoufflés  et nues , reprenant nos différentes respirations.

Le regard rivé vers le ciel plus brillant que jamais , plus étincelants .

Elle posa sa tête sur mon torse et me fit un chaste baiser sur les lèvres , tout ça pendant, qu'elle prit ma main et là déposa sur sont fessier .

Elle- Je préfère quand tu m'arrêtes par là.

Je souriais et là regardais de plus près les cheveux en batailles , ce regard profond et c'est là que je me rendis compte qu'elle avait les yeux marrons.
les plus beaux qu'ils m'avaient été permis de voir .








Satyriasis Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant