Chapitre 3 : Malmener.

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Mon dos se cambre, ma tête est renversée vers l'arrière et je sens l'orgasme arriver quand d'un coup il ralentit tout en mettant un coup de reins qui touche mon fond. Après quelques coups je n'arrive plus à me contrôler et j'en veux plus, beaucoup plus, j'ai enfoncé mes ongles sur l'avant bras de l'homme et il commence à aller plus vite en gardant la profondeur.

Et d'un coup j'ai l'impression de flotter vient l'homme s'effondrer sur moi, je comprends alors qu'il se retenait de jouir depuis un moment ce qui me fait sourire car il voulait me faire plaisir avant lui.

Après une quinzaine de minutes juste allongé sur le dos, nue caché par les draps à jouer avec ses cheveux noirs je repense à Atlas, je pense qu'il serait surpris de voir ce que les garçons voulaient dire par plus d'expérience qu'eux.

Fin bref je ne le croiserai plus, ni lui ni cet homme.

Je sens qu'il s'endort et je me lève doucement en en déplaçant délicatement sa tête qui était posée sur ma poitrine sur l'oreiller.

Je me douche, et puis remet mes sous vêtements ainsi que ma robe, j'attrape mon sac en faisant attention à ce que je n'oublie rien et je sort de la chambre. Je paie la chambre d'hôtel et part, comme si je n'étais jamais venu ici, il est deux heures du matin , je suis à New York depuis deux jours pour des affaires.

Mon père est revenu d'Italie depuis une semaine, et nous a félicité d'avoir même encore plus consolider notre relation avec la famille Elizi.

Moi qui avais peur de l'avoir un peu dégradé, finalement c'est le contraire même si je pense que c'est loin d'être grâce à moi. En parlant d'eux j'aperçois un grand immeuble qui est le siège social de l'entreprise familiale des Elizi, Elizi Compagnie qui est connu pour ses alcools de luxes et plus encore mais ils produisent vraiment des alcools excellents, cette entreprise est là aussi pour cacher la vraie nature de la famille, ses vraies affaires.

J'arrive aux appartements de notre famille à New York après une heure passer sur la route alors qu'en réalité sa ne devrait même pas me prendre vingt minutes, mais bon y a des bouchons de partout dans cette grande ville. Je sors du garage, et monte à mon appartement, ou plutôt l'appartement dans lequel je séjourne que je vais quitter à dix heures pour prendre l'avion à treize heures.

Et il est bientôt trois heures du matin.

C'est un penthouse à trois chambres et quatre salle de bains, un appartement des plus basiques à New York, fin pour un appartement qui est à des millions de dollars car j'ai bien conscience que ce n'est que trente pourcent ou un peu plus des appartements qui ressemblent à ça.

Je monte dans ma chambre, je me déshabille pour juste enfiler un t-shirt et une culote puis je me rend sous mes draps. Je suis à New York seule car mon père m'as confié une mission à faire seule, étant une mission d'infiltration qui comporté aussi un meurtre à la fin il voulait que j'y aille.

Surtout qu'elle est confidentielle mise à part mon père, ses deux frères et moi, personne n'a connaissance de cette mission.

Ayant toujours fait des missions cachées des autres, c'est logique qu'on m'attribue ce genre d'affaires. Même si des fois c'est un peu lourd de tout caché mais j'ai appris à vivre avec, et mon père à donner naissance à une excellente menteuse à cause de ça, ou grâce je ne saurai dire.

Merci père.


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Ca fait depuis quinze minutes environ que je me suis réveillé, pour le vol je me suis simplement attaché les cheveux en chignon puis mis un jogging puisque j'ai 6 heures de vol, je veux être habillé de la manière la plus confortable. Je mange une pomme qui était déjà là à mon arrivé avant-hier tout en regardant la télé, les infos et comme d'habitude ça parle de politique donc j'éteins la télé au bout de quelques minutes de pur ennui.

AtlasOù les histoires vivent. Découvrez maintenant