The end of an affair

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Cassie :

Je lisais un livre quand mon téléphone sonna. Numéro masqué ?

Cassie : je suis en train de lire Twilight. Vous devez avoir une bonne raison pour me déranger.
Katherine : je te manque ?
Cassie : Kate. Où es-tu ?
Katherine : cachée derrière ta fenêtre en train de dépérir.
Cassie : qu'est-ce que tu veux ?
Katherine : j'ai le mal du pays. Quoi de neuf ?
Cassie : Sérena et Stefan sont toujours avec Klaus, Elena pense qu'elle peut les sauver et personne n'a pensé à toi depuis ton départ.
Katherine : et toi ? Maintenant que tu as lâche ton frère et ta meilleure amie, tu dois chercher un moyen de contacter ton mari ?
Cassie : Klaus a planté Elijah. Et je ne les ai pas lâché, je ne ne sais pas où ils sont.
Katherine : ah.
Cassie : mais toi, si. Tu les pistes ?
Katherine : un hybride qui veut ma mort, une jolie blonde sans remord et accrochée au lèvres de l'hybride et leur acolyte qui a déraillé ? Je suis très loin d'eux.
Cassie : donc tu sais où ils sont.
Katherine : je sais que Klaus a piqué une colère à cause de ses hybrides ratés. Il veut savoir pourquoi.
Cassie : comment le sais-tu ?
Katherine : si tu fuis pendant 500 ans, de gens veilleront sur toi.
Cassie : c'est ce que tu fais ? Tu veilles sur mon frère et ma meilleure amie ?
Katherine : peut-être, peut-être pas. Je suis tiraillée.
Cassie : où sont-ils ?

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Sérena :

On vient d'arriver à Chicago.

Klaus : bienvenue à Chicago, vous deux.

Je sortis de la voiture suivi par Klaus et Stefan.

Stefan : qu'est-ce qu'on fait là ?
Klaus : tu adorais cet endroit.

Klaus ouvrit une énorme porte en bois.

Klaus : ça te rappelle des souvenirs de l'époque du boucher, Stefan ?

Un camion arriva.

Stefan : j'ai à peu près tout oublié. Du sang, des fêtes, j'ai oublié les détails.
Klaus : c'est vraiment dommage. Ce sont les détails qui font la légende. On dit que le boucher de Montrrey s'ennuyait. Alors il est allé en ville. C'était la Prohibition. Tout était interdit à l'époque, c'était tellement mieux.

Souvenirs perdus de Stefan, Chicago, 1920

Je tua ma victime. J'essuya ma bouche, pris sa barrette, la mis dans la poche de mon costume et sortit de la voiture. Je toqua à une porte.

La porte s'ouvrit. J'entra dans le bar. Je se mis à la balustrade. Gloria chante.

Gloria : devinez qui je viens de voir, mesdames. On veut s'amuser, M. Salvatore ?
Stefan : réserve-moi une danse, Gloria.

Je descendis les escaliers. J'allais prendre un verre mais une femme le fit à ma place.

Stefan : je vous en prie, servez-vous.

La femme se retourna.

??? : c'est ce que je fais toujours. Attention, M. Salvatore.

Elle s'approcha de moi et se colla. Elle me chuchota.

??? : vous portez encore votre petite amie. Elle est adorable.

Elle allait partir. Je lui pris le bras.

Stefan : non, non, non. Qui êtes-vous ?

Elle mit son doigt sur sa bouche et partit.

Fin des souvenirs perdus de Stefan, Chicago, de nos jours.

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