CHAPITRE 9

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Elodie, présent

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Elodie, présent.

Le deuxième jour de tournage s'est passé comme sur des roulettes. J'ai commencé la journée avec un petit déjeuné au lit, même s'il était accompagné d'un regard qui aurait pu me tuer s'il le voudrait, et avec des scènes plutôt simples à tourner ou je n'ai pas dû être en présence de mon insupportable colocataire étant donné qu'on ne tourner pas ensemble.

Star a fait ses premiers pas dans son nouveau lycée, et elle a eu une conversation sur le fameux Alex avec sa cousine.

C'était plutôt simple.

Même si je ne peux pas en dire autant pour Preston, qui a fini la journée furieux et est passé devant moi sans me lancer un seul regard.

Peut-être que ça ne se passe pas bien pour lui sur le tournage, et à vrai dire, je m'en fiche.

Je sors de la salle de bain, habiller seulement d'un petit short et d'un débardeur, ce qui m'énerve.

J'ai l'habitude de me promener en sous-vêtement, de base.

Je descends les escaliers, et me dirige vers la sonnette qui n'arrête pas de sonner depuis 5 minutes.

Il est ou, l'abruti ?

J'ouvre la porte, et reste figer en voyant tous les hommes devant moi, des boites de pizza et des bières dans les mains.

Je garde le poignet dans la main et fixe la dizaine de garçons, faisant une tête de plus que moi et quatre fois mon corps.

-Vous êtes qui ?

Ils ne parlent pas, ils m'inspectent de chaque côté ma tenue qui ne cache pas grand-chose.

-Je te trouvais canon en photo, mais ce n'est rien comparer au réel...

Je hausse un sourcil face au grand brun, au trait asiatique, qui est en première ligne, mais avant que je ne puisse dire quoique ce soit, une main se pose sur ma taille et la porte s'ouvre plus grand.

-John.

La voix glacial de mon colocataire incrusté et faux petit ami me fige sur place, je sens la chaleur de sa main jusque dans ma colonne vertébrale, comme si un courant électrique me prenait.

-Pardon, captain. Mais tu sors avec un mannequin, pas de notre faute !

Captain ?

Je rêve où il a invité son équipe ici ?

-On peut rentrer ou vous allait nous laisser poireauter là ? Interviens un autre garçon.

Je ne rêve pas.

Et je n'ai pas mon mot à dire, car en un rien de temps, ma maison est remplie d'hommes aussi grands que musclés, ce qui ne m'aurait pas déplu de base, si je n'étais pas dans l'interdiction d'en toucher un et qu'on n'avait pas le tournage demain.

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