LE IKÉA DE LA TOURMENTE - [en réecriture]

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Moi je m'appelle ——— (INFORMATION RAYÉE DU JOURNAL) , je pense qu'aujourd'hui j'ai environ 26 ou 27 ans, je ne sais pas. On ne voit pas le temps passer ici... J'espère que les lignes que j'écris ne seront pas les dernières. Au moment ou j'écris dans ce journal les lumières se sont éteintes et ça fait au moins 30 minutes, c'est la "Blood Night" et il fallait que je tombe sur des EC... En tout cas si je meurs cette nuit, à quiconque trouvera ce journal, vous ne pouvez pas survivre ici. J'ai fais ——— (INFORMATION RAYÉE DU JOURNAL) et ça en a valut ma mort.

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- Jeudi 17:39

J'arrive après les cours à mon "travail" comme d'habitude, je travaille dans un Ikéa juste après ma journée de cours car j'ai besoin de faire de l'argent, je ne devrais pas mais une personne qui travaille aussi ici m'a permis de pouvoir me faufiler ici ! Haha ils sont vraiment cons !

Peut importe, j'enfile ma tenue de travail et je commence à aider un peu Olivier et Yanis avec les colis qu'on doit charger dans le camion.

"O : ah ben t'es enfin là c'est pas trop tôt ! moi et Yanis avons dû décharger tout ce merdier tout seuls !

E : excuse, va falloir que je demande à changer mon emploi du temps tu sais je travaille pas que ici...

O : oui c'est vrai, mais tu vas pas travailler ici toute ta vie il y a des jobs meilleurs que de travailler dans un Ikéa mon pote. Il me tapote l'épaule puis repart chercher d'autres colis.

Y : Pour le coup il a vraiment eu une idée de merde en voulant travailler ici, sachant qu'il peut se faire virer à tout moment parce qu'il n'a pas l'âge de travailler ou qu'il est toujours pratiquement en retard ! Il commence à se foutre de ma gueule.

E : J'ai besoin d'argent moi ! Mes parents refusent de m'en donner alors vu que j'ai les contacts autant en abuser un peu. Je fais un sourire sadique.

Y : On peut te balancer si tu fais trop le malin t'sais ? Bref peut importe, vient nous aider à mettre les colis dans le camion stp.

E : ouais !"

Pendant 20 minutes j'ai aider Olivier et Yanis à charger les 2 camions puis les chauffeurs sont partis.

"O : Vivement qu'Antoine et Dylan reviennent ! à moins qu'ils essayent de se faire virés !

Y : Ouais j'avoue ça fait déjà 3 jours qu'on les à plus revu et j'ai mal au dos à force de les remplacer !

E : En parlant de ça... Vous trouvez pas ça bizarre qu'ils ont été portés disparus comme ça ?

Y : Quoi tu penses à quoi ?

E : Bah ils ont disparus comme ça ! Plus aucune nouvelles d'eux et ni leurs proches en ont !

O : Alala pense pas à des conneries pareilles, ça se trouve ils se sont juste fait chopés en train de vendre de la farine !"

Yanis et Olivier se tappe un fou rire, j'ai l'impression qu'il y a que moi qui se soucie de cette affaire...

"E : N'importe quoi... Bon bref je vous laisse je vais aller décharger des palettes pour après.

Y : Ok! A toute !"

Je me dirige vers "l'entrepot" en tout cas c'est comme ça que je l'appelle cet endroit, il est assez loin de la caisse et de l'endroit de déchargement. Je commence à prendre quelques palettes avec la déchargette (c'est comme ça que je l'appelle), puis je pars pour rejoindre Olivier et Yanis.

Sachant que la déchargette va à quelques kilomètres heures c'est assez long mais la j'ai l'impression que c'est beaucoup plus long que d'habitude...

"E : Est ce que c'est possible que tu ailles plus vite des fois ? J'aimerai pas que mon salaire se réduise."

Voyant le temps que ça prenait je décide de descendre de la déchargette et puis je commence à regarder aux alentours. Je sais pas si je suis fou mais quelque chose ne va pas. J'en suis casi sur et certain que l'entrepot n'était pas aussi long que ça.

"E : les gars arrêtez vos blagues c'est pas drôle."

Je commence à courir tout droit mais j'ai l'impression que l'entrepot ne se finit pas, je vais encore plus vite et je n'entends plus les clients dans le Ikéa, je n'entends plus personne à part moi. C'est surement moi qui m'est tromper d'endroit !

Je vais donc en direction opposé et je me retappe un sprint...

Mais la déchargette n'est plus là.

Pourtant elle était en plein milieu du chemin ! Puis j'ai enfin fini d'être dans cet entrepôt de merde mais... pourquoi je suis dans le rayon canapés ? Tout droit il est censé y avoir les stocks ?

Je commence à paniquer puis je cours dans tout les rayons, je ne suis plus dans le Ikéa. Ce n'est plus une mauvaise blague de la part d'Olivier et Yanis.
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VOILÀ C'EST LA FIN DU CHAPITRE 1 J'ESPÈRE QUE VOUS L'AVEZ APPRÉCIÉ

Je ne saurai pas dire si c'est un prologue ou un chapitre mais je m'en fou. Pour une fois je fais une histoire qui me plait haha :-)

Bref merci d'avoir lu !

- Anonyphe