NDA : Le média posté sur Ao3 fait partie des scènes censurées de l'animé, vous voyez pourquoi...?
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– Yep, dit Shin'ichirō C'est moi qui l'ai eu au téléphone.
Hayate le regarda, abasourdie. Elle semblait avoir été foudroyée sur place.
– Qu'est-ce que... ? Dit-elle.
Les yeux de Inupi passaient de l'un à l'autre sans un mot.
Il n'était pas du genre à s'occuper des affaires des gens, mais le regard que tous les deux avaient échangé l'intriguait. Shin'ichirō connaissait cette fille, mais il ne savait pas d'où.
Inupi ramena les yeux sur Hayate et il lui montra la moto.
– Je vous aide à la rentrer dans le magasin ? Lui dit-il.
Hayate se ressaisit.
– Non, c'est bon, dit-elle, je vais le faire.
Inupi et Shin s'écartèrent et elle poussa la lourde Honda jusqu'au milieu de la boutique.
Autour d'elle, des motos de toutes les tailles et de toutes les marques étaient alignées le long des murs. Leurs chromes rutilants brillaient sous la lumière des néons. Près du comptoir, une Suzuki était posée sur sa béquille, une boîte à outils à côté d'elle, et une vieille caisse de sodas retournée servait de tabouret.
Shin'ichirō la rejoignit en s'essuyant les mains dans un chiffon.
– Pose-la ici, lui dit-il en lui montrant un autre espace de travail, dans le fond.
Hayate le suivit sans rien dire, encore sous le coup de la surprise.
Horitaka... Gronda-t-elle en silence.
Quelques heures plus tôt
Hayate poussa la porte du garage d'Arakawa en étouffant un bâillement. Elle avait passé la nuit à enchaîner les courses urgentes pour son oncle, allant jusqu'à Kamakura, au sud de Yokohama, pour remettre des documents à une agence qui les attendait pour finaliser un contrat.
Ces types ne dorment donc jamais ?
Elle était toujours surprise de découvrir le nombre de sociétés qui faisaient travailler leurs employés jusqu'à des heures avancées de la nuit. Au Japon, c'était simple, personne ne quittait son poste avant le patron. Ce qui donnait des armées de bureaucrates au garde-à-vous quelle que soit l'heure à laquelle elle se présentait, l'œil vitreux et le teint blême.
Ils ne vont pas vivre vieux s'ils continuent comme ça...
– Ah Koji ! L'accueillit le garagiste. J'ai besoin de toi pour une moto !
Elle le regarda en soupirant.
– Les motos, ce n'est pas ma partie Horitaka, lui répondit-elle. Je te l'ai déjà dit.
– Oui, mais le fils de mon voisin n'arrive plus à la démarrer, alors je me suis dit que tu pourrais jeter un coup d'œil. Si tu ne trouves pas, je connais un garage du côté de Shibuya, tu n'auras qu'à l'amener là-bas.
– Shibuya ? S'exclama-t-elle. Tu n'as pas trouvé plus loin ?
– C'est bon, lui dit-il, il faut bien faire travailler les collègues... Tu n'auras qu'à prendre la fourgonnette.
À présent, Hayate réalisa que Horitaka souriait largement à ce moment-là.
C'était ça que tu manigançais espèce d'escroc ?
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THE RACE [Shin'ichirō Sano x OC]
Fanfiction[L'écriture de l'histoire est terminée et je publie un chapitre tous les deux jours !] ➤ En cours de publication aussi sur Ao3 - Pouick_Pouick 𝗘𝗹𝗹𝗲 𝗮𝗶𝗺𝗮𝗶𝘁 𝗹𝗲𝘀 𝘃𝗼𝗶𝘁𝘂𝗿𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗹𝘂𝗶, 𝗹𝗲𝘀 𝗺𝗼𝘁𝗼𝘀 é𝘁𝗮𝗶𝗲𝗻𝘁 𝘁𝗼𝘂𝘁𝗲 𝘀𝗮...