chapitre 13 :

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PDV YUNA

Mon père m'aide à me relever, je repense à ce que ma sœur m'a dit tous est logique maintenant... Je suis sacrément connue, quand même, soudain, je sens une vive douleur sur ma joue. Ne me dites pas que...

Flora (en pleurant) : Espèce d'inconscience, va ! Que j'ai fait pour avoir une amie comme ça !

Flora vient de me gifler...

Moi : désolé...

Sergent. H : Ne t'excuse pas, tu n'y es pour rien.

On est arrivé en voiture, mon père était à côté de moi, il me surveillait de très près. On ne change pas une équipe qui gagne, comme on dit.

Moi : Bon, bah il me reste plus qu'à rentrer au foyer.

Sergent. H : Tu retournes à l'hôpital, ton séjour n'est pas fini.

Je palie en entendant ces propos, j'entends Flora se foutre littéralement de ma gueule.

Moi : La ferme, toi ! S'il te plait ne me renvoi pas la bas ....

Il rigole .

Sergent. H : Je rigole . Tu as de la chance que j'ai une connaissance à l'hôpital elle a réussi à avoir des papiers de sortie, donc vous êtes libre comme l'air.

Moi : Il faut que je la remercie alors .

Flora : Enfin, il faudrait déjà que tu puisse l'approcher à moins de deux mètres, hein !

Les autres policiers rigolent aussi, soudain une voiture noire se gare, j'aurais pu la reconnaitre entre mille.

La gérante : Flora Yuna Vous êtes en vie, Seigneur !

Moi : ma mère ne m'a pas appris à mourir, elle me disait que ça coutait trop cher.

Flora : on va enfin pouvoir reprendre une vie normale.

La gérante : aller, on rentre. Je peux vous parler, Sergent ?

Le sergent. H hocha la tête, il partit avec la gérante suivie de Yuna.

La gérante : vous êtes au courant ?

Sergent. H : Oui.

Moi : Attends, tu le sais ?

La gérante : Bah, heureusement, je suis quand même ta grand-mère.

Moi : attends quoi ?

La gérante : Ta mère, c'est ma fille. Bref, revenons sur le sujet principal.
Sergent. H : J'aimerais vraiment apprendre à te connaitre, mais si tu ne veux pas que je rentre dans ta vie, je comprends...

Moi : Moi aussi, j'aimerais... Enfin, tu vois... quoi ?

Elle tourne la tête gênée.

Hondo était plus qu'heureux de savoir que sa fille avait accepté de le considérer comme son père.

La Gérante : Yuna Tu pourrais dormir chez ton père ce soir et on avisera en espérant que ça se passe mieux que dans tes précédentes familles d'accueil, si vous êtes d'accord, bien sûr ?

Sergent. H : Ça marche, on fait comme ça.

Flora : YUNA, tu vas enfin avoir une famille, c'est génial !

Moi : Si tu le dis ?

Ellipse dans le temps

PDV Yuna

On est dans la voiture de mon père vers chez lui.

Moi : Euh... Papa, enfin dit, je peux tappeler comme ça du coup, vu que dans votre famille vous êtes noirs, tu n'as pas peur que certain le prenne mal ?

Papa : Tu m'as appelé Papa ?

Moi : Ouais, pardon, tu préfères que je tappelle Hondo ?

Papa : Non, au contraire, cela me rend heureux. Et pour répondre à ta question, je pense que mon père le prendra mal, mais ma mère et ma copine ne diront rien à ce sujet.

On arrive devant une maison plutôt grande, on sort de la voiture, puis une fois devant la porte, mon père l'ouvre, je pose mon sac que j'avais récupéré au foyer, je sourrit en me remémorant la réaction des autres filles.

Quelques minutes avant
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Aby : QUOI YU TU M'ABENDONNE, mais avec qui je vais voler de la nourriture le soir maintenant !

La gérante : c'était toi ?

Aby : NAN !

Jenna : Vous savez quoi, je vais partir d'ici dans 2 jours, je vais vivre avec ma tante.

Aby : Eh bé, moi qui pensais que le miracle n'éxistait pas.

Moi : Bah, ta tante a intérêt à avoir les nerres bien accrochés, hein.

Je dis cela avec un rictus et mon père me donne une tappe sur la tête.

Papa : Eh !

Moi : AÏ !

Retour au présent
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On arrive dans une salle à manger, une femme est assise à table et une autre cuisine.

Papa : Bonjour maman.

??? :Bonjour mon fils.

Papa : Salut Michèlle.

Il s'approcha de la femme à table et l'embrassa.

J'ai des relents jusque là j'étais resté dérrière mon père, mais il s'est reculé pour qu'elle puisse me voir. Je me sens mal, j'ai horreur d'être le centre d'attention.

Madame H : Qui c'est Hondo ?

Hondo : Je vois présenter ma fille.

Michelle : Pardon !

La jeune femme fondit en larme.

Michelle. Tu m'as caché un détail aussi important. Tu avais prévu de me le dire quand ?

Moi : Euh, attendez, il y a un mal entendu, je crois.

Maman. H : Tais-toi !

Moi : Bon....

Papa : Michelle, laisse-moi t'expliquer !

Michelle : Je pense que je vais dormir chez moi ce soir.

La jeune femme se dirigea vers la sortie. La seule chose que nous entendions, c'est le bruit sinistre de la porte se refermant.

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Salut lecteur/lectrice, Merci pour les 2 k. Désolé de ne pas avoir posté ce chapitre la semaine dernière, mais je ne pouvais pas par manque de temps je m'excuse. Ce chapitre est un peu court, mais nécessaire au prochain chapitre, mais j'espère qu'il vous plaira quand même. J'aimerais aussi féliciter mfromager1 pour ces 2k de vue sur sa fanfiction The Rookie qui est au passage incroyable, je vous invite à aller la lire et à aller vous abonner à elle, de plus elle est super gentille, encore merci ❤✨👋

La fille d'un sergent Où les histoires vivent. Découvrez maintenant