Chapitre 20

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Précédemment :

Il démarre, et quelques minutes après, on arrive vers un endroit de grec. Je me tourne rapidement vers lui.

Moi : c'est une blague ?! je dois rentrer chez moi de base !

Hamza : faudra attendre un peu, la miss.


[...]

Quelques parts d'autres...






Dans la peau d'Isleme







Je me retrouve à faire la bénévole frère c'est quoi ça !

Mon très chère grand frère m'a ordonné lui faire à manger car ma mère était sorti aller chez sa copine, donc je me retrouve dans cette fichu cuisine.

Il est con aussi, il a oublié que j'savais pas cuisiner ? zeh force à lui, j'espère qu'il s'étouffe avec ma bouffe.

Je fais, enfin "j'essaye" de faire des crêpes. Beh ouais mais frère, fallait pas me le demander à moi aussi.

En parlant du loup, il vient d'arriver.

Moi : t'as réussi à trouver quelques indices ?

Amir : nan, toujours aucune signe.

Je souffle. On n'a toujours pas trouvé quelques choses par rapport à mon père, parce que oui je dois vous rappeler que mon père est porté disparu. Enfin, c'est ce que je crois personnellement, car on n'avait pas retrouvé son corps dans l'explosion qui a coûté la vie à pleins de gens. Et comme on dit : pas de corps, pas de mort.

Amir : tu fais quoi ?

Moi : voit par toi même ?

Il s'approche de moi et voit mes crêpes ratés.

Amir : wsh t'as fait du vomi ou c'est comment ?

Moi : juge pas ce que je prépare hmar ! c'est toi qui m'a demandé de faire, c'est ton problème !

Amir : ah mais c'est mort j'mange pas ça le soir moi.

Il va au frigo prendre les restes d'hier, un sourire en coin, tandis que moi je me décompose.

Moi : tu t'fou d'ma gueule ?!

Amir : sah ? ouais.

Il va s'asseoir à la table de la cuisine, le sourire au lèvres en mangeant.

Moi : mais j'ai préparé des crêpes pour rien !!

Amir : c'est bon c'est pas la fin du monde.

Moi : POUR MOI SI.

Amir : bele3, tu parles trop.

Je grogne, et éteint le feu pour ranger la moitié du matériel que j'ai sorti. Vous voyez le plaisir d'avoir un frère comme lui à mes côtés ?

Je prends les crêpes que j'me suis faite, et je vais m'asseoir en face de lui, avec du sucre à mettre par dessus.

Moi : tu rates la vie, c'est gavé bon !

Chronique d'Ayline : « Mieux vaut oublier »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant