The Dangereous Start

Chapitre 13

Esma

Grosses couilles. Je ne pourrais jamais lui dire qu'il ne tient pas ses couilles encore moins maintenant quand je suis avec Léandro face à face à Ruslan Silliwisky l'ex plus grand mafieux. Depuis 5 minutes le russe était assis sur son fauteuil silencieux. Notre présence ne semble pas le déranger. Cela ne m'étonne pas. Les Russes ont toujours été comme ça. Léandro bois une gorgée du Rhum qui était mis dans une bouteille sur le bureau. Enfin, il prend parole.

- Bien bien bien. On veut reprendre sa place ?

Ruslan mène son regard joignant celui du brun à mes côtés.

- Tu sais que tu es déjà plus riche que moi ce n'est pas la peine de-

- De quoi tu m'accuse ?  Lui coupa la parole le blond.

Avoir été couper semble avoir agacé Léandro puisqu'il resserre son emprise sur son arme qui était encore diriger vers le questionner.

- Quel est votre stratégie ?  Demande-t-il voulant avoir des réponses.

- Bordel de quoi tu parles toi ? L'alcool te fait perdre la tête mon vieux !

Cette simple phrase. Ces simples mots auront suffi à énerver Léandro. A peine les mots sortis de la bouche de Ruslan que Léandro se retrouvait à l'étrangler de sa main en mettant son arme sur la tempe du pauvre russe. Ils se regardent tout deux. Moi, je suis spectatrice de cette scène. Ruslan dirigea son regard sur moi. Une détonation se fit entendre. Léandro venait de tirer dans le mur. Pile à côté de la tête de sa proie.

- Ose encore une fois la regarder ne serait-ce qu'une millième de seconde je te promets de transpercer ta cervelle avec ce putain de flingue. Menace t'il.

Ruslan gloussa face à la menace mais il se tena tranquille sachant pertinemment qu'une promesse tient toujours sa route. Encore plus lorsque c'est Léandro qui prononce une promesse. S'il y a bien quelque chose qui semble précieux pour le mafieux autre que sa mafia, ça serait probablement les promesses. Il a l'air d'y tenir dur comme fer. Un homme de parole. C'est ce qui définit Léandro. Le fait qu'il tienne toujours ses promesses fait de lui l'image d'un homme de parole. Je n'ai pas besoin de le connaitre depuis longtemps pour le comprendre ou le savoir. C'est tout simplement le cas. Un pur homme de parole. Enfin pur. Le mot est grand pour quelqu'un qui pointe son flingue sur un homme et l'étrangle à l'instant même. Les deux se fixent. Léandro à l'air d'exercé une certaine pression. Tandis que Ruslan reste du moindre calme. Impassible. Je viens me servir un verre de whisky. Prenant le premier verre venu. Je bois dans son verre.

- Je ne sais pas de quoi tu parles mais je n'ai rien fais Léandro. Lance Ruslan.

- Ferme la je suis sûr que c'est toi ! S'énerve un peu plus Léandro.

Je souffle commençant par m'agacer de la situation. Il me lance un regard puis regarde de nouveau Ruslan. Les deux continuent de se chamailler ainsi pendant plusieurs minutes. Mise à part augmenter la tension et énerver Ruslan qui tenait sa patience, Léandro n'y gagne rien.

- ASSEZ ! Criais-je en lançant le verre à terre qui se brise en morceaux. TOI TU ARRET DE LE POINTER AVEC TON FLINGUE DE MERDE CA SERT A RIEN CE N'EST CERTAINEMENT PAS COMME CA QUE TU AURAIS DES REPONSES !

Léandro et Ruslan c'étaient tut dès l'instant où j'ai crié. Tous les ceux outrés que je sorte du silence. Léandro me regardait avec un sourire en coin. Me voir énervée semblait le satisfaire.

- DONC MAINTENANT TU TE DEGAGE DE RUSLAN ET ON PART ! J'AI MAL AU PIEDS MOI AVEC CES FOUTUS TALONS !  Continuais-je.

Etonnement il m'obéis libérant enfin Ruslan. Il range son flingue dans la ceinture de son pantalon. Puis il me tira hors de la pièce partant après qu'il est dit un simple pardon au mafieux russe. Je ferme la porte puis me retourne face à Léandro.