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-Il fait une chaleur a mourir aujourd'hui tu ne trouves pas ? me lance Bianca

Cette fille se plains tout le temps, il faut être accroché.

- Il ne fait pas plus chaud qu'hier Bianca, maintenant passe moi la crème solaire s'il te plaît.

C'est vrai quil fait chaud, on est sur la plage, le soleil tape en Italie, mais l'eau est bonne et je suis avec la personne que j'aime le plus au monde, donc tout va bien.

Je me reveille en sursaut lorsque je réalise que je suis trempé. Au dessus de moi mon voisin me regarde avec dêgout, il me jettes mes clés et s'en va. Cet homme est un monstre, il a tué 3 personnes en une soirée puis me laisse dormir sur mon palier, dans le froid recouverte de vomis. Je rentres a toute vitesse dans mon appartement. Je ne me dirige pas vers ma douche en premier non, vers mon frigo j'ai une faim de loup, je manges, encore et encore je ne m'arrête pas. Pleine comme une truie je vais enfin à a douche, sous l'eau chaude je réalise. j'ai vu des gens se faire tuer hier soir, et le tueur habite juste en face de chez moi. Je pleure, de rage, de tristesse. Ce mec me parle comme une merde et il me dit que la vérité. Je n'ai rien avoir avec les filles qu'il cotoit. Et puis pourquoi ça m'atteint ce mec est un connard. Un monstre, qui n'a pas d'âme.

Mais la façon dont-il a dansé avec moi l'autre soir, ça n'a duré que quelque seconde mais il m'a touché, il m'a senti, et lui qu'est ce qu'il sent bon, une odeur que si vous le pouviez vous la mangeriez. Guapa, il m'a appellé Guapa.
Il a tuer. 3 personnes.

Mon téléphone sonne, c'est un message de Darius.

" Salut Nora, vu les événements d'hier le club sera fermé pendant un moment. Les flics vont surement vouloir te parler. Ps: j'espere que tu ne t'es pas foutu dans une merde"

Merde. Merde. Merde. Qu'est ce que je dois faire. Si je le dennonce il me tuera, si je ne dis rien je finierai en prison pour complicité.

Ca sonne à ma porte, mon téléphone vole. Je mets ma main sur mon coeur et essaye de reprendre mes esprits. J'enfile un jogging et un sweat, je ne suis même pas séché. Je ne regarde pas qui s'est et jouvre.

Julia. Qui d'autre à part Julia et la police viennes chez vous sans prévenir.

-Où est notre chat ? tu as une mine affreuse dit- elle en entrant.

- Bonjour Julia, oui ça va merci et toi Julia.

Elle m'embrasse et tourne dans l'appartement pour trouver le petit chat en faisant des bruits étrange.

- Tu ne va pas aller bosser comme ça ce soir ? Rassure moi.

- De un je ne bosses pas ce soir et de deux je t'emmerde. lui lancai-je

- Allez c'est niquel !

- Bon qu'est ce qu'on fait du coup ? me demande Julia

- On va chez toi ! j'ai presque crié ma reponse.

Je ne veux pas être seule et encore moins prêt de ce taré, même si quelque étages seulement nous sépare. C'est déjà ça.

- Let's go girl, prend le chat par contre. m'ordonne-t-elle, j'ai acheté des brookies, ce sont des brownies avec des cookies. Tu va mouiller ma grande.

Je me préssipite dehors et descend vite les escalier pour ne pas être prise pour une folles je mets ca sur le dos des gateaux qui me donne trop envie, une course entre moi et Julia s'entame. Mais comme je n'ai pas de chance il a fallu que dans ma pressipitation je percute un torse que je connais déjà trop bien. Et cette odeur, je fond littéralement sur place, je sens son regard sur le haut de mon crâne. Je ne relève pas la tête et m'excuse doucement avant d'entrer vite dans l'appartement de Julia.

Trois mots, sept lettresWhere stories live. Discover now