-Alex la vie que si on arrive en retard...je te fais bouffer...ton sac...et ce...devant tout le monde, m'énervai je essoufflée.-Oui bah...désolé si madame ne veut pas que...je sois un minimum...présentable...pour les cours.
Nous étions tout deux en train de courir vers l'université pour notre premier jour de cours soit le cours de Littérature. Mais mon très charmant meilleur ami, nous avait mis en retard car je cite : «Je dois me faire beau si je veux être remarqué». Il m'exaspère !
Nous arrivâmes pile à l'heure youpi...et bah non car monsieur j'ai pris mon temps ce matin a décidé de s'arrêter et pourquoi faire ? PRENDRE UN CAFÉ ! GENRE C'ÉTAIT LE MOMENT ?
5 minutes plus tôt
-Roh j'ai trop soif et je suis fatigué. J'ai pas eu le temps de prendre un café ce matin, se lamenta l'autre.
-T'avais qu'à y penser avant comme ton réveil le mettre avant.
-C'est bon, j'ai compris je crois et...OOOHH un stand de café.
-N'y pense même pas.
-Allez Laya s'il te plaît, dit-il avec les yeux doux, tel un enfant.
-Bon allez si tu veux, m'exaspérai je
Maintenant
On entrait dans la classe de littérature et s'excusait au professeur de notre retard ainsi qu'à notre dérangement du cours.
Une fois fini, oui je vous passe les détails j'ai trop la flemme de vous raconter un truc que je n'ai rien compris et qui vous ennuierai, le moment était venu de manger à notre nouvelle cafétéria et vous pouvez me croire cela était le moment de la journée que j'ai préféré.
Une fois cette première journée de cours finie, avec Alex nous sommes allés chercher mes affaires pour enfin emménager chez moi et j'ai apparemment un colocataire mais ça ne me dérange le moins du monde si cette personne me laisse tranquille.
Arrivés devant la maison, et oui c'est une maison vous croyez quoi ? Genre moi dans un appart. Elle était assez grande avec de larges et longues fenêtres ornée de rideaux blancs.
Nous entrâmes et vîmes son immensité. Le salon était juste à l'entrée où se trouvait un canapé en cuir noir mais juste géant tout comme la télévision qui prenait pas mal de place sur le mur.
Les deux personnes assises sur ce dernier se retournèrent en entendant Alex qui criait pour «tester» l'acoustique de la pièce. Les deux hommes en face de nous se levèrent.
Le premier à se lever avait les cheveux roux était un peu plus grand que moi mais de peu, n'oublions pas que je suis grande...non c'est faux, et assez musclé tandis que l'autre était brun , grand et musclé avec les yeux vert et perçants, oui le gros stéréotype quoi.
Le rouquin qui avait plus l'air accueillant brisa le blanc qui j'avoue était gênant,:
-Tu dois être celle qui va habiter ici, je m'appelle Jules et celui derrière moi ,qui ne parle pas, c'est Aaron 25 ans, il fait 1 mètres soixante-dix-hui...
- Tu compte raconter toute ma vie ? Allez bouge au lieu de squatter chez moi, ça fait trois jours que t'es ici.
C'était chez lui ! Bon bah go vivre avec une personne qui semble nonchalante, non qui est nonchalante. J'aurais préféré l'autre, il avait l'air plus sympathique !
Nous nous regardions depuis plusieurs longues minutes.
-Vu que personne parle, ça devient vraiment chiant donc Alex...Laya, dit mon idiot d'ami tout en nous pointant du doigt et nous sauvant de cette situation de grande gêne, Moi perso je pars, tu peux te débrouiller toute seule enfin tu ne l'est pas au vu du beau gosse qui va te servir de coloc chanceuse.
Et ça y est ! Si il continu de parler comme ça devant mon nouveau coloc sur mon nouveau coloc je vais l'étriper.
Il compris mes pensée rien qu'en voyant mon regard noir et parti limite en courant.
Le brun ténébreux fini par me faire visiter la maison qui était beaucoup mais vraiment beaucoup plus grande que ce que je pensais puis fini par me montrer ma nouvelle chambre pour ensuite aller s'enfermer dans la sienne. Cool au moins j'aurais la paix avec lui !
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A Double Tranchant
Teen FictionLaya, 24 ans, et son meilleur ami Alex sont des « espions » de leur famille dans la mafia et partent pour l'université d'Edinburgh en Ecosse. Un colocataire très spécial, Aaron aussi dans la mafia (russe, écossaise), va lui mener la vie dure mais v...