Ma policière

Chapitre 8 : L'Opération Bianchi

Lisa

Les informations fournies par Marella étaient précieuses, mais cela ne signifiait pas que je pouvais les utiliser sans précaution. J'organisai une opération minutieuse pour infiltrer la villa de Carlo Bianchi. Chaque détail devait être parfait.

L'équipe était prête, chacun connaissait son rôle. Nous nous approchâmes de la villa dans la nuit, profitant de l'obscurité pour nous camoufler. Le silence était pesant, mais la tension était palpable.

À l'intérieur, nous trouvâmes des preuves accablantes contre Bianchi. Des dossiers, des enregistrements, tout ce dont nous avions besoin pour le lier à de nombreux crimes. Mais avant de pouvoir célébrer notre succès, une alarme se déclencha.

"On doit partir, maintenant!" criai-je à mon équipe. Nous nous précipitâmes vers la sortie, mais des hommes armés nous attendaient à l'extérieur.

Marella

J'avais été informée de l'opération par l'un de mes contacts. J'étais en sécurité dans ma nouvelle prison, mais mes pensées étaient constamment tournées vers Lisa et son équipe. J'espérais qu'elle parviendrait à s'en sortir sans encombre.

Lorsque j'appris qu'ils avaient réussi à infiltrer la villa mais avaient été pris en embuscade, une vague d'inquiétude m'envahit. Contre toute attente, je me surprenais à m'inquiéter pour elle.

Lisa

Les informations fournies par Marella étaient précieuses, mais cela ne signifiait pas que je pouvais les utiliser sans précaution. Chaque détail devait être vérifié, chaque plan minutieusement préparé. J'organisai une opération minutieuse pour infiltrer la villa de Carlo Bianchi. Chaque détail devait être parfait.

L'équipe était prête, chacun connaissait son rôle. Nous nous approchâmes de la villa dans la nuit, profitant de l'obscurité pour nous camoufler. Le silence était pesant, mais la tension était palpable. Le moindre faux pas pouvait nous coûter la vie. Mon cœur battait à tout rompre, mais je ne pouvais laisser la peur m'envahir. Je jetai un coup d'œil à mes collègues, leurs visages concentrés et déterminés me rassuraient. Nous étions une équipe, et nous allions réussir.

Nous avançâmes prudemment, contournant les caméras de sécurité et les gardes patrouillant autour de la propriété. À l'intérieur, nous trouvâmes des preuves accablantes contre Bianchi. Des dossiers, des enregistrements, tout ce dont nous avions besoin pour le lier à de nombreux crimes. La découverte de ces documents était une victoire en soi. Nous avions enfin de quoi faire tomber cet homme qui terrorisait la ville depuis trop longtemps.

Je sentis un moment de soulagement et de triomphe, mais il fut de courte durée. Avant de pouvoir célébrer notre succès, une alarme se déclencha, perçant le silence de la nuit comme une cloche de malheur. Mon sang se glaça.

"On doit partir, maintenant!" criai-je à mon équipe. Mon cœur battait à tout rompre alors que nous nous précipitions vers la sortie. Les preuves en main, nous devions nous échapper avant que les gardes ne nous attrapent.

Mais à l'extérieur, des hommes armés nous attendaient. C'était une embuscade. Ils avaient anticipé notre mouvement, et nous étions piégés.

"Merde," murmurai-je en voyant les armes pointées vers nous. Je savais que la situation était désespérée, mais je ne pouvais pas abandonner. "Courez! Séparez-vous!" ordonnai-je, espérant que dans la confusion, certains d'entre nous parviendraient à s'échapper.

Marella

J'avais été informée de l'opération par l'un de mes contacts. Bien que j'étais en sécurité dans ma nouvelle prison, mes pensées étaient constamment tournées vers Lisa et son équipe. J'espérais qu'elle parviendrait à s'en sortir sans encombre. Je me retrouvais à m'inquiéter pour elle, une sensation étrange et dérangeante.