Personnality Disorder

. La tentation des innocents .

quand vous voyez le mot "maintenant" mettez : ed shereen freinds . je vous souhaite une bonne lecture 

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Je soupirais en préparant à manger, je n'aimais pas particulièrement cela mais Louis n'avait pas eut le courage de le faire.

- Eh Hazza ! Dit-il d'une voix rauque.

Je grognais au surnom et lui jetais un coup d'œil. Il était encore en boxer et se baladait torse nu dans mon appartement. Je grognais à nouveau.

- Heureusement qu'y a pas des pervers qui t'observent à la jumelle, grommelais-je.
- Et qu'est-ce que tu en sais ? T'as été vérifié ? Demanda t-il d'un ton curieux.

Je haussais les épaules et retournais à ma casserole qui chauffait. Non, je n'avais pas été vérifier mais je préférais me rassurer en me disant que personne ne regardait. Je sursautais quand Louis se plaqua contre moi, enroulant ses bras autour de ma taille. Je grimaçais en me débattant.

- Arrête,Louis ! 

- S'il te plaît.

Je sursautais en entendant sa voix suppliante. Je savais qu'il n'allait pas bien depuis qu'il était entré chez moi mais de la à utiliser ce ton de voix si... fragile et quémandeur. Je fermais brusquement les yeux quand ses bras serrèrent plus ma taille et poussais un cri quand je remarquais son érection contre mes fesses.

- Louis. Stop, ordonnais-je d'une voix tremblante.
- S'il te plait, Harry, continua t-il d'une voix rauque.

Sa respiration était heurtée et il soufflait comme si il avait mal. Mes mains étaient agrippés à ses bras, essayant de l'empêcher de faire quelque chose. Mais je savais que je me débattais faiblement, c'était comme si je... Je sursautais... Comme si je ne voulais pas qu'il s'arrête. Tout ça, tout ce que je faisais, c'était de la comédie. Le contact de son sexe contre mon dos était brûlant et j'ouvrais la bouche à la recherche de mon souffle. Je gémissais quand il m'attira loin de la casserole, coupant le gaz au passage d'une main pressée.
J'arrêtais de me débattre. Je sentais mes joues rougir quand il s'approcha de moi à pas lent.

- Tu le veux pas vrai ? Demanda t-il à voix basse.

Je frissonnais au ton qu'il avait prit. Ce n'était plus la voix suppliante, c'était un ton dominateur. Je sursautais quand il prit brutalement mes mains, les nouant sans hésitation derrière son cou et je poussais un petit cri de surprise quand ses mains saisirent mes fesses pour me poser sur la table de la cuisine. Je me laissais retomber le dos sur la table, l'esprit vide. Est-ce que j'étais réellement ce genre de personne ? Je gémissais quand Louis tira violemment sur le jean que j'avais enfilé. Étais-je réellement ce genre de personne, le genre qui se laissait faire et qui aimait être ainsi soumis ? Non. Je n'étais pas comme ça. Je ne pouvais pas me résoudre comme ça, me laisser faire sans agir.

Je criais quand Louis profita de mon inaction pour enlever mon sous-vêtement. Je rouvrais les yeux et le regardais, frissonnant à l'image qu'il me donnait. Ses cheveux étaient éparpillés n'importe comment autour de son visage, je geignais quand je suivis le mouvement de sa langue sur ses lèvres et déglutis difficilement en baissant le regard sur sa verge. Sa vue m'excitait. Son ventre était contracté, montrant sa musculature délicate, mais bien présente et une traînée de poils en dessous de son nombril menait à son érection tendue. Sans m'en rendre compte, j'entrouvrais les lèvres, mon souffle se coinçait dans ma gorge tellement je me sentais brûlant. Louis suivit mon regard avec un sourire en coin, relevant ensuite la tête pour planter ses yeux dans les miens. La lueur de son regard était sauvage, chaude. Je poussais un gémissement quand il posa brutalement sa main sur mon sexe, le masturbant lentement, me faisant perdre toute mesure. Je haletais quand il se pencha à mon oreille, tendant mon cou dans l'espoir qu'il m'y embrasse. Louis souffla lentement sur ma peau brûlante puis ricana en remarquant mon frisson.