Sienna
08/07/24
📍Madrid
11hJe viens de descendre dans la cuisine pour prendre mon petit déjeuner mais je ne trouve personne. Je regarde donc si il n'y as pas un mot sur le frigo.
Bingo ! Il y en a un.« Nous sommes tous les 3 parties au stade faire un foot, si tu veux nous rejoindre tu peux, Sad. »
Je prends donc mon petit dej, puis je vais prendre une douche pour ensuite me préparer. J'ai mis un tenue de sport puisque je compte bien les rejoindre.
Cela fais 10min que je marche et j'aperçois enfin les garçon. Il fait une chaleur, et on est meme pas en pleine après-midi.
Jude me voit arriver et court vers moi.
Jude – Heyy !! bien dormis ?
– oui super, mais j'ai quand même hâte de retrouver ma maison.
Jude – umm justement... dis-il d'un ton moins enjoué
– qu'est ce qu'il y a tu es devenu tout bizzare ?
Jude – Va voir ton frère c'est pas à moi de te le dire.
– euhh ok, j'y vais.Je me dirige donc vers mon frère qui étais entrain de faire quelques passes avec Jobe.
– Je crois que tu dois me parler Sad
Sandro – oui, j'allais le faire. Je reviens. en s'adressant à jobe.
Jobe – t'inquiète.Nous nous écartons un peu pour que nous puissions discuter tranquillement.
– dis moi là ça me fait peur.
Sandro – umm, les propriétaires de la maison nous.. nous on retiré la maison
– Quoi ? cet a dire ? Je ne comprends pas trop Sad
Sandro – Cet a dire que nous n'avons plus de maison.
– ok super ? et on fais quoi là du coup ?
Sandro – on va en rechercher une autre. Donc pendant ce temps là on reste vivre chez Jude.
– ouaiii super. dis-je faussement enjoué
Sandro – c'est bon t'inquiète, on va faire en sorte à ce que ça dure le moins longtemps.
– oui bah j'espère bienOn reviens donc vers les gars qui étaient en train de s'entraîner sur des tirs au but.
Bon je vais pas vous mentir, mais c'est pas parce que je traine avec des footballeurs que moi j'en suis une.
Je suis vraiment nul mais alors nul au foot. Après moi je fait du basket donc bon je préfère utiliser mes mains que mes pieds.Jude – on fait un 2 contre 2 ?
Sandro – ok mais une seule chose.
Sandro – je ne veux pas être avec sienna
– je ne veux pas être avec sienna. Dis-je en répétant après lui en l'imitant.
Jude – ok jobe tu te met avec elle
Jobe – Hein, et pourquoi pas toi ?
– je dois le prendre bien ou c'est comment ?
Jobe – bon ok c'est bon.Jobe est très mauvais joueur donc j'ai pas intérêt à faire de la merde, même si je sais très comment va se finir cette partie.
Bon ça fais une heure qu'on joue, et sur 5 parties on en a gagné qu'une. Et comme je l'avais dis, Jobe me fait clairement la gueule.
Jobe – c'est bon on arrête de jouer ça m'énerve.
Jude – oui on va arrêter c'est mieux pour tout le monde. lance t'il en rigolant
– Ju c'est vraiment pas drôle.
Sandro – Bon aller on y va et on commande parce que on as pas le temps de faire à manger la.J'avoue qu'on a pas trop regardé l'heure et il étais déjà 14h. Donc on se dépêche de prendre une douche, puis on ce décide à commander BK.
Il est 15h30 et Jobe et moi nous sommes toujours pas parler. A vrai dire, il n'a toujours pas digéré la défaite de ce matin.
Je décide d'aller dans sa chambre pour aller le voir.– Je peux entrer ? en toquant à sa porte
Jobe – oui vazy.J'entre tout doucement, parce je vais pas vous mentir il fais un peu peur quand il est énervé.
Je reste debout devant son lit.Jobe – tu peux t'asseoir je vais pas te manger.
– ha ouai ? pourtant j'aurais cru que tu allais le faire.Je suis assise au bord du lit face à sa porte, lui il est assis contre sa tête de lit donc nos regards se croises pas. Mais il décide de venir s'asseoir à coter de moi.
Jobe – désolé j'aurais pas du réagir comme ça.
– Nan c'est bon je comprends je suis une merde au foot.
Jobe – je t'apprendrai. Lance t'il en faisant un clin d'œil.
– Ok mais tu viendras faire du basket avec moi alors ?
Jobe – Si tu veux, je me trouve pas nul.
– Scuse nous, monsieur est fort dans tout les sport.
Jobe – qui a dis ça ?
– tu l'insinues.Sandro – VOUS VOULEZ VENIR DANS LA PISCINE ? crit t'il d'en bas
Je me met à rigoler.
Jobe – OUI J'ARRIVE
– MOI AUSSI.
– Bon je vais me changer du coup.
Jobe – oui c'est mieux, vaut mieux pas que je te balance dans la piscine habillé ça serait dommage pour tes jolie vêtements.
– ouhhhh, je prend ce que tu m'a dis pour un compliment.
Jobe – j'ai juste dis que tes vêtements étaient beaux, je n'ai pas parler de toi...Je lui lance un coussin puis part me mettre en maillot de bain.
Jobe – C'est bon t'es prête
Il m'a attendu ? il le fait pas à la base
– oui j'arrive.
J'ouvre la porte et le voit en maillot de bain.
On va pas se cacher mais Jobe a un super beau corps, physiquement parlant c'est mon style mais mentalement parlant je ne le connais pas assez pour dire ce que j'en pense.Jobe – aller go.
Et là le mec commence à me prendre comme un sac à patates et se dirige vers la piscine.
– Nan s'il te plaît Jobe ne fais surtout pas ça. Dis-je en lui tapant le dos
Jobe – Oh que si, croit moi je vais pas me gêner.
– je te déteste Jobe Bellingham
Jobe – J'aime bien quand tu prononce mon nom en entier comme ça, ça donne un style.Puis il me balance dans l'eau, suivie du rire des garçons.
– je vous déteste tous sans exception.
Sandro – Même pas ton frère chéri adoré ?Je le dévisage avec un regard noir.
Puis Jobe ce décide à faire une bombe jute à côté de moi, comme si j'avais pas envie de lui crever les yeux.
Je m'approche de lui et essaye de le couler mais bon c'est moi qui vais dominer avec un physique comme lui en face de moi.
C'est donc lui qui finit par me couler.Jobe – t'as voulu jouer, t'as perdu.
Puis il me recoule.
Je reviens donc à la surface et je me retrouve très proche de lui. Il me regarde avec la tête baissé puis qu'il fais au moins 20 cm de plus que moi.
Il me regarde toujours sachant que moi aussi je le regarde. On va pas se mentir j'aime ce moment.
Arhhh mais qu'est ce que je raconte, y'a même pas 2 semaines je le détestait.
Je détourne donc le regard et décide d'aller nager.________________
Je préfère le redire, mais il y'a des choses que j'invite cet a dire qui ne sont pas issues de la réalité.
Par exemple quand Jobe parlais de sa mère sur le fait qu'elle lui disait que c'était grâce a son frère qu'il en était là.