Recueil lemon Bardella x Attal

Surpris

L'Élysée, tard dans la nuit. Les couloirs sombres et silencieux ajoutent une atmosphère clandestine à la situation. Jordan Bardella et Gabriel Attal se faufilent discrètement, vérifiant constamment que personne ne les voit. Ils arrivent finalement dans le bureau du Président.

-Tu es sûr que tu veux le faire ici ? demande Jordan.

-Oui c'est tellement fou.

Gabriel connaissant bien le bureau, allume la lampe posé dessus pour ne pas attirer trop l'attention.

Jordan embrasse Gabriel tendrement. -Je n'arrive pas à croire que nous soyons ici. C'est si excitant et interdit.

Gabriel rigole doucement, en caressant la joue de Jordan. -Oui, mais il faut faire attention. Personne ne doit savoir. Maintenant, viens ici...

Ils s'embrassent passionnément, oubliant momentanément l'endroit où ils se trouvent. La tension et l'excitation montent. Jordan laisse échapper un petit gémissement alors que l'aîné lui retire ses vêtements. Il fait de même et Gabriel s'assoit sur le bureau face à Jordan qui approche son gland à son entrée.

-Prêt Monsieur le Premier Ministre ?

-Oui dépêche toi, sourit Gabriel.

Sans plus attendre, Jordan rentre entièrement dans Gabriel, le faisait crier de plaisir.

-Gabriel arrête de faire du bruit on va se faire cramer.

-C'est plus facile à dire qu'à faire, se plaint l'aîné.

Alors que Jordan continue ses poussées, il saisit les hanches de Gabriel.

-Argg plus vite Jordan, gémis Gabriel.

Jordan obéit et lui assène plusieurs coups de reins profonds et brusques. Il lui claque les fesses lorsque que la porte s'ouvre.

Quelques minutes plus tôt

-Je n'ai jamais fait ça ici avec Brigitte, déclare Macron.

-Eh bien, enfin quelque chose que je serais la première à faire avec toi, s'exclame LePen.

-C'est plutôt audacieux, sachant toutes les personnes importantes qui sont venus dans mon bureau.

-Il va falloir ranger après pour ne laisser aucune preuve.

-Oui ne t'inquiètes pas Marine, mon bureau est sur le droite, j'avais laissé la porte ouverte pour nous.

Présent

La porte s'ouvre brusquement, révélant Jordan et Gabriel. Leurs visages se figent, rougissant de surprise et d'embarras.

-Qu'est-ce que... Bardella ? Gabriel ? Que faites-vous ici ? S'écria Emmanuel étonné.

-Eh bien, voilà une situation intéressante. Je ne m'attendais pas à vous trouver ici ensemble, et encore moins dans cette position, déclara Marine.

-Non mais Gabriel c'est quoi ça ? Demande Macron pointant du toi Jordan.

-Hé !  "Ça", c'est ce qui arrive quand on mélange génie et beauté, réplique le cadet.

-Monsieur le Président, Madame LePen.. Nous... Nous pouvons expliquer, répondit Gabriel tout rouge et essayant de garder son calme.

-Pas besoin, à cette heure-ci et ici, vous devez comprendre que cela semble... évident, s'exclama Macron.

-Nous ne sommes pas les seuls à avoir eu cette idée Manu.

-Il semble que l'Élysée ait inspiré plus d'un couple ce soir. C'est assez ironique, vous ne trouvez pas ? répondit il d'un ton amusé.

-Et vous Mr. Le Président vous trompez Brigitte ? Demanda Jordan.

-Oh ça va hein, de base j'avais proposé un plan à trois mais elle voulait pas donc j'ai pas eu le choix.

Gabriel gêné, essayait de détendre l'atmosphère. -Eh bien, peut-être devrions nous tous oublier ce moment... et partir sur une note discrète ?

Marine haussa les épaules, souriant légèrement. -Pour une fois, je suis d'accord avec toi. Peut-être devrions nous tous simplement prétendre que cette rencontre n'a jamais eu lieu.

-Bah en même temps c'est logique on va pas faire une partouze hein, répliqua Bardella.

-Par contre, je te préviens Bardella si tu fais du mal à mon fiston je te brise les rotules à coup de club de golf compris ?

-Euh..oui Monsieur le Président.

-Et ça vaut aussi pour toi Attal, t'as pas intérêt à blesser mon fils sinon je te fais une nouvelle coupe de cheveux à la tronçonneuse, rétorqua Marine.

-Oui Madame Lepen.

-Une histoire de plus pour les annales secrètes de l'Élysée. Bonne soirée à vous, et... amusez-vous bien, mais ailleurs, conclut Macron avec un clin d'oeil.

Le jeune couple s'enfuit en vitesse du bureau, ne voulant pas rester une seconde de plus dans cet embarras. Macron et Le Pen les regardent partir, puis échangent un regard complice.

-Alala nos bébés ont bien grandi, souffla Marine.

-Oui. Il ferma la porte à clé. Mais la nuit n'est pas terminée pour nous...