j'ai regardé allongée par terre
le ciel étoilé d'une heure du matin
certaines ont filé par-dessus moi
je les ai comptéessix
elles ont fendu l'obscurité
emportant mon voeu avec elles
toujours le même
elles étaient désespérées de mon désespoir
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mots à maux
Poésiesi tu savais combien de larmes j'ai versé pour écrire ces putains de poèmes
XLXXIX
j'ai regardé allongée par terre
le ciel étoilé d'une heure du matin
certaines ont filé par-dessus moi
je les ai comptéessix
elles ont fendu l'obscurité
emportant mon voeu avec elles
toujours le même
elles étaient désespérées de mon désespoir