Tout les soirs, à la lueur de la lune. Il m'a semblé voir une ombre couché sur la branche de l'arbre. Aussi sombre que la nuit, pourtant une lueur brille sans fin. Même si mon oncle connait le chemin, il était penaud et ne répondit à l'interrogation. La symphonie sonnait crystalline comme si le son traverse des miroirs qui amplifie le volume et la mélodie désaccordé s'accorde au tintement des notes. *On aurait dit* ce désaccord est un désespoir éternel cherchant sa moitié égaré au milieu des étoiles de la nuit. Dès que je me retournais vers l'ombre, ma perception me déçu, car à la vue il n'y avait que la colombe et le son disparu. Étrangement la litanie est dirigé vers les étoiles comme si la personne est décédé. Contre ma volonté une larme roula du coin de mon oeil comme si nos pensé suivait le sens unique des émotions. Je ne saurais dire si la personne est en vie mais jusqu'à preuve du contraire les étoiles enseigne à garder espoir. La légende raconte que les étoiles résonne entre elles comme un lustre pour transporté les messages. Un jour la personne comprendra que les étoiles l'appel.
(inspirer de "je mens pour que l'on se voit", "tu mens pour te sauver de moi")
PS : l'expression "les étoiles m'appel" parle de suicide à prendre au sérieux.
Pour contexte, l'horloger n'a pas pu répondre, car celui-ci ne sait pas tout ce qui se trame au château. Il est maitre de son silence et sait parler quand le besoin se pointe. Il n'a jamais vraiment connue la colombe, car sa chaise était toujours vide au conseil. Pourtant jamais il ne s'en mêlerait parce que lui ne connait pas la cause de son absence.
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Présent de l'imparfait
Gizem / Gerilim"Je suis Eos. On m'a toujours dit que mes proches étaient morts, jusqu'au jour où j'ai rencontré mon oncle... 119 ans trop tard. C'est là que j'ai compris que je ne suis pas un être ordinaire, et que je me trouve désormais au cœur d'une histoire où...