Mission "Changé La Fin" (OC X Malfoy) [Tome 1]

Chap.10: POV Mathéo

Les vacances étaient quasiment terminées, Draco et moi étions avec Malfoy au chemin de Traverse. A peine entrer dans la bibliothèque que le prénom qui a failli me faire tuer blondie se fit entendre.

- Se n'est tout de même pas Harry Potter, s'exclama Lockart.
- Pff toujours «saint Potter».

Sa c'est le jaloux.

- Draco, arrête il a rien fais là, soufflais je.

Sous les flaches des caméras je ne me rendis pas compte que Potter, les Weasley et Granger nous faisaient faces. J'avoue que j'écoutais pas vraiment la conversation, trop occupé à regarder mon amie, la brune avais vraiment se «petit quelque chose» qui m'attirait chez elle, pas comme un amour mais un sentiment familier, le même qu'avec Draco.

- Vous devez être courageux pour osé prononcer son nom ou très imprudent, et la voix de Lucius me sorti de mes pensées.
- Avoir peur d'un nom ne fais qu'accentuer la peur de la chose elle-même.

« Ouch, sa c'est de la répartie. »

- Miss Lefèvre je suppose, demanda Lucius à son fils, oui Draco et Mathéo m'ont beaucoup parlé de vous, que fais une née-moldu à serpentard, ajouta il.

En réalité je l'avais mentionné quelques fois, contrairement à mon frère de cœur qui faisait une vraie fixette dessus.

- Ce ne sont pas tes affaires Lucius.

« Elle est folle !? »

Le bon point c'est qu'elle l'avais fait taire, le mauvais c'est qu'en partant monsieur Malfoy avais laisser tomber le journal de mon père.

« Exprès !!! »

- Espérons que cela fonctionne, fit blondi senior.

Tout se que j'espérais est que ça rate ou au moins que Lou ne soit pas impliquée. Mais comme si le destin avait décidé d'être contre moi, je ne fut pas surpris de reconnaître le carnet maudit lorsque Parkinson lui arracha des mains.

« Merde !!! »

- Ta vie est si pourrie pour qu'il n'y ai rien dedans, rigola la brune.
- Pansy rends lui, fis je en sachant parfaitement le pouvoir de l'objet.

Étonnamment elle m'écouta, non sans se plaindre tout le reste du trajet et durante les premières semaines je surveillas Lou.

- Foutez lui la paix, m'énervais je un soir où Draco se moquais d'elle avec les autres.

Se serais mentir de dire que je n'avais pas remarqué son habitude d'utiliser le journal après chaques altercations avec eux.

- Tu fais quoi, demandais je en m'installant à ses côtés.
- J'écris, souffla t-elle.

A peine elle eu finis son texte que je lui enleva le carnet de mon père, lui demandant se qu'elle lui avais dis.

- Rien d'important, avait elle osé me répondre.
- Menteuse, l'insultais je.

Et énervé qu'elle ne se pose pas de question sur mon possible lien avec « l'homme » à qui elle écrivais j'ouvri l'objet.

- Si tu me le demande je peut t'aider à leur faire du mal, était la réponse de mon géniteur.

Inquiet, je lui demanda qui était concerné et honnêtement ce qu'elle e répondis me fit froid dans le dos. Incapable de réagir, je laissa tomber le journal et m'en alla, la bousculant légèrement au passage. Même si je l'évitais le plus possible, lorsqu'elle était dans mon champs de vision sans que je ne puisse fuir, je ne pouvais m'empêcher de l'observer. Jusqu'au fameu soir... Théodore et moi étions sur le chemin pour retourné aux cachots après avoir fumer à la tour d'astronomie, quand au 3ème étage une foule d'élèves fixait un mur.

- La chambre des secrets à été ouverte, ennemis de l'héritier prenez garde, lut Malfoy.

"Putain !!!"

- Les prochains seront les sangs de bourbe, ajouta t-il.

Et il aurait mieux fais de se taire puisque après ça je fis l'objet d'une surveillance plutôt agaçante par les professeurs et surment le trio d'or qui se trouvait jamais bien loin, peut importe où j'étais. Je connaissais le vrai coupable et j'aurais pu le dénoncé mais qui m'aurait cru ???

"Personne."

- Laisse là crétin, dis je à Crabbe lorsqu'il demanda à la brune par quel miracle elle n'était pas là première "victime".

Sauf qu'il n'écouta pas et la fit partir. Il avait du sincèrement la blessé car le reste de la semaine elle évita l'entièreté de notre maison. Sauf Parkinson, avec qui elle partage son dortoir. Un soir Lefèvre est venus me demandais mon aide pour je ne sais quel raison, elle semblait paniqué, mais je l'ai envoyer voir ailleurs. Parce que la défendre de mon plein gré est une chose et le faire parce qu'elle me le demande en est une autre. Évidemment je me rendis compte de mon erreur trop tard, lorsque après une énième dispute avec elle, Crabbe était INTROUVABLE.

- Putain Lou, qu'est ce que t'as fais, m'énervais je en entrant dans la salle commune.