Chapitre 03 - Un mariage forcé ?

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Domicile
15h20

Je me réveille et sent un énorme mal de tête.

Mais je me lève et me dirige vers la salle de bain pour mouiller mon visage et compris qu'il n'est pas à la maison.

Je rentre dans le salon et vois l'heure, quinze heure vingt.

J'ai dormi jusqu'à là, me rappelant de hier ça m'étonne que je puisse dormir tard de la sorte.

Je vais dans la cuisine pour cuisiner un peu avant de me faire tabasser par Mohamed en me disant que je fous rien.

Je sors des pâtes pour faire des lasagnes.

En faisant ça je réfléchis.

Moi ? Je veux partir loin.

Loin de lui...

Je ne le répéterai jamais assez.

[....]

Il est dix-huit heure et Federico n'est toujours pas rentré.

Je suis sur le canapé à regarder le vide, même la télé je ne peux pas l'allumer.

Cette maison.

Je n'en peut plus !

BOUM.

....: Ouvre !

Cette voix n'est autre que sa voix, je m'empresse de lui ouvrir.

Federico : C'est pas trop tôt !

Je ne dis rien et me met face à lui.

Federico : Tiens.

Dit-il d'un ton sec.

Il me tend une robe absolument magnifique ?

Non il y a sûrement un piège, ce n'est pas possible qu'il me passe une robe juste pour me faire plaisir.

Federico : Ton futur mari va bientôt venir donc enfile la.

Il avait un sourire en coin.

Quand il a finit sa phrase j'ouvre grand les yeux.

J'en était sûr qu'il ne me passait pas cette robe en cadeau.

C'était un mariage forcé.

Federico : Dépêche toi.

Je prend la robe et parti l'enfiler de force, Je me suis changé dans ma chambre évidemment.

Après avoir enfilé la robe qui m'allait avec mon corps fin, la robe était noir un peu serré et un décolleté serré.

J'analyser quand j'entends :

-Dépêche toi la !

J'y vais à petit pas, le fait de passer devant cette personne me dégoûte et je sais très bien sa réaction.

Federico : Enfin ! Mais qu'est-ce que t'es bonne il a de la chance ce fils de pute il pourrait te le faire quand il veut.

Il fit un sourire pervers.

Cet humain me dégoûte le plus profond de mon âme.

Je ne fais pas attention à ce qu'il dit même si ça me fait peur.Je prie pour que ce garçon sois un minimum correct.

Federico : Tourne.

Hein ? Comment ? Pardon ?

Jamais de la vie.

Moi : Pardon ?

Federico : Tourne.

Moi : Non.

Il fit un rire mais ça m'avait plutôt l'air d'être nerveux.

Il se leva de sa place pour venir devant moi, Il me faisait peur , il m'a toujours fait peur mais à aucun moment j'lui est montré parce que c'est ce qu'il cherche.

Federico : T'a dit quoi ?

Je ne répondis pas.

Federico : Répète pour voir ?

Moi : J'ai dis-

Je me fait coupé par la sonnerie de la porte.

Il me regarda, on ne se lâchait pas des yeux.

Lui : T'a de la chance mais je réglerais ça après, va ouvrir.

Sa voix calme me fais froid dans le dos mais je me dirige vers celle-ci pour l'ouvrir.

J'ouvre et ? C'est qui lui ?

Un homme qui a sûrement la vingtaine se tenait devant moi, matte de peau, grand, yeux noir charbon, musclé.

L'homme : Ouais.

Moi : Oui ?

L'homme : Ton père est ici ?

Moi : Oui, attendez.

Je vais à la recherche de Federico et le trouve sur le canapé.

Moi : Il t'appel.

Il souffle et se lève mais avant il me dit :

Federico : Vas prendre ce qu'il y a dans la salle de bain parce là t'es affreuse.

Je souffle et pars en y trouvant du maquillage, j'avais en aucune envie de me maquiller ou me faire belle c'était la dernière chose dont ce que je voulais faire, mais pas le choix.

Je prend ce qu'il me paraît être de l'anti cerne.

Je me suis presque jamais maquillée c'est vraiment pas fait pour moi.

J'ai mis l'anti cerne sur ma cicatrice.

Je met aussi du mascara et du gloss a lèvres.

Pour mes cheveux il était lâchés et m'arriver au hanches.

Je me regardé face au miroir je ne me trouver rien ni belle ni moche, rare sont les fois où je me trouve belle.

J'étais dans mes pensées quand j'entends plusieurs voix provenir du salon mais une en particulière.

Federico : Yousra ? Viens ici chérie !

Il le faisait exprès devant tout le monde, il s'inventait une façade devant eux.

Il jouait le père gentille alors que ptdrr c'était le contraire !

Une fois dans le salon toute les personnes qui parlait se taisent, ils s'étaient deux à se rajouter.

Federico : Bah alors tu viens ?

Il se forçait à sourire.

Je m'assoie à côté de lui pour faire bonne figure mais garde mes distances quand même.

De là, je vois l'homme de la porte devant moi et une dame de la quarantaine avec un sourire aussi.

En suite on voit un homme à côté de la quarantaine aussi qui devait être le mari de la dame qui me lâchait pas du regards, mais le plus qu'il me lâchait pas du regards c'est l'homme de la porte.

Federico : Vas-y Houssem je t'en prie

Le dénommé Houssem prend la parole.

Houssem : Alors si on est venu ici...C'est pour demander la main de Yousra.

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Yousra - « Mes malheurs...Et lui »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant